Plafonds Inconnus [PV]

Date de naissance du joueur

Depuis bientôt un ou deux petites heures, le parc était plongé dans de sombres ténèbres. Par la passé celui-ci était éclairé par de grandes torches rougeâtres le long des murailles, par une chaleureuse cabane anciennement habitée, par un château illuminant tous les environs à des dizaines de miles. Mais aujourd‘hui, ces impressionnantes flammes s’étaient transformées en petits et froids halos de lumière, la cabane avait été aspiré par la noirceur du décors et le château n’avait gardé qu’un sinistre air fantomatique.

Ce soir là, une petite lumière non loin des serres de Poudlard brulait au milieu de cet profonde obscurité. Au fond de cette glaciale pièce, un corps démuni de toutes forces était affalé sur le comptoir. Le visage angéliquement endormi sur toute une étendue de paperasse, une jeune demoiselle s’était délicatement glissée dans les bras de Morphée. Son sommeil l’avait délaissé là sous l’emprise de cruelles rêveries, en dessous de ces plafonds inconnus, à nue de tous repères. En ouvrant les paupière, son trouble finit sournoisement son ascension. Oui on pouvait le dire, ses sens étaient impuissants face à cette désorientation.

- Mais… Ou suis-je ?

A l’affut du moindre indice pouvant lui redonner ses repères, des yeux craintifs se mirent à parcourir tout ce décor. Elle ne semblait ne connaitre ni cet endroit, ni la date de cet instant. C’était comme si un nouveau monde, à la fois si réel mais tellement étrange, la retenait comme prisonnière au milieu de cette scène.

- Oh non…

Tout juste sortie de son sommeil, celle-ci replongea sa tête dans l’obscurité. Elle venait de comprendre. Cela ne faisait que quelques temps que de Mitsuko était arrivée en Angleterre et à la sortie de chaque rêve, des rêves qui la replongeait mélancoliquement dans le passé, elle espérait retrouver les décors de son chez-soit, ce seul endroit où elle était si bien, loin de tout, loin de rien, mais proche de lui. La petite asiatique se massa lascivement les cheveux, rajusta sa tunique et leva le poignet face à son visage.

- Neuf heures moins quart ? … Il faut que je me dépêche.

Légèrement embêtée, la brune se remit au travail, maniant et remaniant ses parchemins dans tous les sens. Seul un lourd silence faisait acte de présence et tenait sagement compagnie à la japonaise. Puis, au bout de quelques minutes, de légers crépitements d’herbes se firent entendre.

Quelqu’un s’approchait des serres.

HJ -- J'espère que ça te conviendra John ^^

Date de naissance du joueur

Quelle journée de merde, se disait John en allant à Pré-Au-Lard, en début de matinée. Il n'avait pas cours, il allait donc se balader, Bellairs avait exceptionnellement, comme Arthur Nott était mort, permi aux élèves de ne pas aller en cours. En toute somme, c'était une journée de deuil. Il était seul, comme d'habitude. Il avait bien essayé de traîner avec des personnes de sa promotion, mais soit ils étaient comme lui, solitaires et taciturnes, soit c'étaient des idiots finis. Le préfet s'était donc résigné à être seul. Et ce n'était pas pour lui déplaire à cet instant précis. Il avait mal à la tête, une migraine de folie. Il se tenait la tête en marchant, sans regarder ou il allait, sans prêter attention aux gens autour de lui. Il aurait du.

Il rentra dans un Gryffondor de quatrième année. Le Gryffondor tomba à terre, alors que John trébucha, mais resta debout difficilement. Il releva la tête. Le Gryffondor avait le visage écarlate, deux de ses compagnons le relevaient et trois autres regardaient John sans aménité. Le plus grand d'entre eux s'avanca vers John. Avec trois, quatre ans de moins, il ne faisait qu'une demi tête de moins que le Serpentard. Automatiquement, John sentit qu'il y allait avoir bagarre. Il le va son genou pour le planter dans le ventre de son adversaire, puis lui frappa violemment la nuque, de façon à ce qu'il tombe dans les pommes. Puis, il dégaina sa baguette, et lanca un Flipendo sur l'un des Gryffondors debout, qui fut expédié deux ou trois mètres plus loin. L'autre, un petit maigrelet, qui avait l'air hargneux, lanca un Lacornum Inflamare sur le préfet, qui para et l'envoya s'éteindre sur la facade des Trois Balais. John se mit près du mur, pour ne pas être pris dans le dos, car le Gryffondor bousculé et ses deux comparses étaient revenus, ainsi que la victime du Flipendo. L'autre était à terre, sonné pour un bon bout de temps. Le petit maigrelet lança un Flipendo, paré par John, qui transplana ensuite pour éviter le Stupéfix du chef de bande, celui qu'il avait renversé? Il réapparut derrière les deux qui avaient relevé leur ami, et leur frappa violemment sur la tête, profitant de sa grande taille. Il n'était plus que trois face à John. Il maîtrisai facilement le combat, sans pour autant être outrageant. Il attendait que les Gryffondors attaquent. Ce fut la victime du Flipendo, rancunier, qui lanca un Tarentallegra sur le Serpentard, qui se protéga à temps et qui lança un Expulso ravageur qui envoya le pauvre Gryffondor sur les badauds. Il se cogna violemment contre le sol. Il était fini. Le maigrelet, d'un Cracbadabum, faillit lui faire un coupe de cheveux, mais ce fut le chef de bande qui atteignit John d'un Diffindo à l'épaule. Enervé, John utilisa un Sectusempra, sortilège prohibé, qui envoya le chef au sol, tailladé au niveau du torse, sous les cris d'horreurs de la foule. John profita de l'ébahissement du maigrelet pour le frapper au niveau du rein et pour s'enfuir. En effet, d'autres Gryffondors, plus nombreux, et plus vieux surtout, arrivèrent, énervé. Ils prirent en chasse le Serpentard qui lanca un Impidementa par dessus son épaule. Le cri qu'il entendit lui indiqua qu'il avait touché quelqu'un, mais il ne savait pas si c'était un assaillant ou un simple passant. Il bifurqua soudainement, empruntant une ruelle déserte et sombre, et se planqua derrière un contenaire. Mais pas la peine, il avait déja semé ses assaillants. Il haletait, épuisé d'avoir tant couru. Soudain, une ombre passa. Il tourna la tête, et ce qu'il vit le glaca d'horreur. IIl prit sa baguette, tenta de ramper pour échapper à la personne qu'il voyait, mais en vain. Un sortilège le frappa en pleine tête, et des fourmillements lui parcoururent le corps. Il se sentait bien, détendu... Il buvait les paroles de celui qui lui parlait, hébété. D'un coup de baguette, son maître le congédia. Après tout, il pouvait faire ce qu'il lui disait... Il se sentait si bien... Ca pourrait être amusant... Malgré tout, il ressentait un certain malaise.

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Cric, crac... Il était tard. Neuf heures moins le quart. Il était tard pour aller un botanique, surtout un jour ou il n'y avait pas cours. Il faisait nuit. Il avait attendu une journée entière dans la même ruelle, béat, à attendre. Mais John n'en avait cure. Il était détendu.

La baguette dans la main droite, il marchait vers la salle de Mitsuko Uehara. Sa démarche sacadée et lente le rendait ridicule. Mais John n'en avait cure. Il était détendu.

Il avait un peu mal au coeur, et des fourmillements partout. Il ne se demandait pas pourquoi, il ne se demandait même pas pourquoi il obéissait à cet homme. Il ressentait un certain malaise. Mais John n'en avait cure. Il était détendu.

Elle était là. Belle, fragile. Mitsuko Uehara. Il devait la capturer. Vive. Mais il pouvait lui faire mal. Certes, elle était prof, donc plus fort que lui. Mais John n'en avait cure. Il était détendu.

Un rictus aux lèvres, il pénétra dans la serre ou se trouvait Mitsuko. Il leva sa baguette, et d'une voix d'outre tombe, plus grave que d'habitude, il lanca un Sectusempra. Le sortilège passa à proximité de la belle jeune femme, et brisa une paroi de la serre, répendant du verre un peu partout. Mais John n'en avait cure. Il était détendu.

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Date de naissance du joueur

John M. ~> 5pv (si je ne me trompe pas)

Mitsuko U. ~> 12pv

Par l’entrebâillement de la porte, on pouvait voir une ombre - proche de celle d’un corps sans sa lucidité, sans son âme, vide - clopiner lentement vers la serre. Un regard du coin de l’œil le suivait tandis qu’une petite main frêle continuait sa caresse sur le parchemin. Qui était-ce ? A une heure aussi tardive, rien ne pouvait mener une personne à vouloir se recueillir auprès des plantes. Déjà que personne ne le faisait en temps normal. Alors c’était elle, que l’on pouvait voir…

Finalement cette ombre se glissa à l’intérieur de la pièce. Avant même qu’elle n’ait pu détacher un mot de sa bouche, un rayon de lumière de détacha de ce qui semblait être un sinistre élève. Son regard n’avait aucunement eu le temps de se poser assez longtemps sur le visage de ce stupide garçon pour en retenir les traits mais l’insigne sur sa poitrine le trahit.

- Mais depuis quand les élèves atténuent aussi ouvertement les profs! Ces serpy sont encore plus fous que je ne le pensais…

Son bureau venait de lui servir de refuge face aux débris de verres mais rapidement, Mitsuko s’en détacha et orienta sa baguette vers l’autre bout de la pièce.

- Futen* !!!

Une bourrasque glaciale balaya la serre renversant ça et là quelques petits pots faiblard. Cela faisait encore plus de ménage à faire pour la japonaise mais elle aussi, elle en avait cure. Une cruelle envie la démangeait de l’intérieur et la poussait à en savoir plus sur lui.

C’est alors qu’elle le vit enfin, décomposé, le regard sournois et le sourire flingueur. Son allure cadavéreuse portait en elle une pointe diabolique et faisait de lui un élève presque… inhumain? Au départ, une meurtrière haine l’avait envahit pour cet homme. Seulement avec plus de recul, peut-être parce qu’il s’agissait d’un élève, parce qu’elle le trouvait bien comique d’agir de la sorte ou bien parce que son humeur était plutôt joueur ce soir là, la rencontre prenait un timbre plus intéressant et pimenté.

- T’es vraiment culoté toi…

* Dieu du vent selon la mythologie japonaise

Manrey...

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[ Eh eh, John va se faire latter... ]

Froid. Il faisait vraiment froid. John, du fond de lui-même, voyait bien que la bourrasque ne lui avait pas fait du bien. La chair de poule qu'il avait aux bras, qu'il avait bien sûr découvert avant d'aller à Pré-Au-Lard, imbécile qu'il était... Ses poings se contractèrent violemment, et devinrent violet sous l'effet du froid, il saignait même à la jointure de l'index droit. La riposte d'Uehara, qui s'était auparavant abrité grâce à son bureau, avait fait mouche. Mais si le corps de John avait sévèrement souffert, son esprit, lui, semblait indemne... Même si John avait ressenti très légèrement la douleur. Penser lui paraissait immensément confus, il était embrumé, comme si il était bourré avec du coton, comme un revolver, pour empêcher les balles de partir. Mais John avait entrevu une possibilité d'échapper au contrôle de celui qui l'avait ensorcelé. Il ne revoyait pas son visage, il portait un masque... Mais il lui semblait jeune, dans son maintien comme dans son comportement désinvolte. Il fallait essayer d'arrêter le massacre... Il ne pouvait pas s'arrêter, et il ne faisait pas le poids question magie... Il tenta de lever un bras, pour retrouver l'usage d'une partie de son corps. Mais la douleur que cela lui procura vu l'engourdissement auquel était soumis son membre lui fit perdre le lien et retomber dans les filets du marionnetiste qui l'avait saisi au détour d'une ruelle de Pré-Au-Lard.

John vit la jeune asiatique agiter les lèvres. Que disait-elle ? Il ne l'entendait pas. Mais apparemment, son maître, si. Inconsciemment, il ouvrit la bouche et murmura d'une voix grincante : "Comme on se retrouve, Mitsuko..." Soudain, des mots s'insinuèrent en lui, emplirent tout ses pensées, et son esprit béat se braqua sur un seul objectif, cet ordre comme gravé au fer rouge sur son cerveau :
"ARRÊTES-LA ! "John leva sa baguette d'un geste prompt et alerte, bien que soudain, comme si on avait tiré d'un coup sec sur son bras pour le lever. Une fraction de secondes, une recherche. John chercha quel sortilège utiliser. Son imagination était encore en marche, mais bridée et dirigée, contre son gré. Il fallait blesser Uehara, lui faire mal, la surprendre... Bon. Il braqua sa baguette sur son opposante, et prononca distinctement trois syllabes qui résonnèrent dans l'immensité de Poudlard, comme trois coups de tambour parmi l'immensité pleine d'arbres, avec les étoiles au dessus du duel et en dessous, puisque les bouts de verre reflétaient la lumiière des astres. "Ju-Gu-La"

Salut César, les morts te saluent. Un sort piégeux et efficace. Instinctivement, l'adversaire s'attendait à une attaque frontale et recevait une lame d'épée au niveau de la nuque. Sobre et efficace. Et ca ne manqua pas. Uehara lanca un sortilège de protection étendu et très efficace devant elle, mais la lame arriva de façon piégeuse dans son dos. Problème, le bruit de sifflement de la lame la fit sursauter, et elle n'eut qu'une profonde estafilade horizontale dans le dos. Mais rien d'handicapant. John ne se dépara pas de son rictus et droit comme lun pic, silhouette inamovible, attendait le sortilège de Uehara, son destin entre les mains d'un homme.

[LA MOULE, REUSSI DEUX FOIS, DANS LE TOP SITE AUSSI CA A MARCHE ! ]

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Date de naissance du joueur

Quelle drôle de folie meurtrière consumait tout son être. Jamais Mitsuko n’avait croisé un élève dans un tel état démentiel et finalement elle le comprit ; il ne s’agissait pas que d’un simple élève. Celui qui gouvernait ce corps devait être d’une saleté bouffonne pour dominer la pensé d’une personne en Poudlard. Mais ce que la japonaise ne comprenait pas, c’était ce qu’une mortel en dehors du seigneur des Ténèbres pouvait bien lui vouloir. Car oui, s’il s’agissait de l’un d’entre eux, jamais un élève aurait été utilisé.

- Ouai… Et je peux savoir à qui j’ai à faire ?

Malgré la douleur, son impatience s‘adoucissait, son sérieux restait le même mais sa rage se décuplait à chaque instant. Et si le finaud maitre de ce pantin croyait que son innocence allait l’empêcher de détruire ce petit garçon jusqu’à ce que la mort le frôle, il se trompait joliment.

Une délicate fureur prit contrôle soudainement de la japonaise et d’un vif mouvement elle visa encore une fois l’élève.

- Bombarda

L’explosion venait d’être probablement fatale pour le garçon, tout cas elle l’était pour la serre. Sans perdre une seule seconde de plus, son corps se jeta dans l’épais nuage de poussière qu’avait formé son sort. Tâtant un peu partout au sol l’existence d’un quelconque cadavre, se mutilant la peau à quelques endroit à causes des nombreux débris de verres dispersé un peu partout.

Son pied vint enfin se heurter contre un semblant de jambes dans le fond de la pièce. Elle se mit croupis, empoigna le garçon par la col et le plaqua violement contre l’un les barreaux en ferraille qu’il restait des murs. Puis elle posa dangereusement la pointe de sa baguette dans l’un des creux du cou de l’élève, d’une voix hargneuse elle lui beugla :

- Ok ! Maintenant tu vas arrêter de faire le mariole, me dire qui tu es et qu’est-ce que tu me veux...

John M. ~> 2pv

Mitsuko U. ~> 10pv

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Date de naissance du joueur

Rien de tel qu'un Bombarda pour reprendre ses esprits.

John reprit le dessus juste après s'être pris le sortilège de plein fouet... Pris dans une tornade de verre, de plantes et de fertilisants, il tomba violemment au sol. Le bruit mat de son corps sur le sol fut complètement caché par celui des murs de la serre, dont il ne restait quasiment plus rien, hormis quelques barreaux... Il haletait, sa poitrine montant et descendant sur un rythme frénétique... BOM-BOM-I-WHooMP-OOP-BOM-BOM... SHAKA-SHAKA-Whoompy...

Soudain, il entendit des bruits sourds et des jurons. Putain. Uehara était indemne, et voulait le tuer ! Malgré les douleurs intenses qu'il ressentait, il rampa pour échapper à celle qu'il considérait à présent comme sa tortionnaire. Mais en vain ! La Japonaise s'accroupit et le plaqua contre un barreau de fer, vestige d'une pièce anciennement chaude, humide et rempli de vie. Les douleurs de John s'intensifièrent quand elle planta sa baguette magique dans le cou de John, et bien dans un creux en plus.

- Ok ! Maintenant tu vas arrêter de faire le mariole, me dire qui tu es et qu’est-ce que tu me veux...

Putain, mais que dire ! Quel connard, celui qui m'a fait ça ! John ouvrit la bouche, mais la referma aussitôt, résistant à l'envie de lui cracher à la figure. Son naturel insolent revenait au galop, exacerbé par la haine qu'il éprouvait à cet instant, et en plus, Uehara faisait parti de l'Armée De Dumbledore, ne serait-ce que deux années auparavant... John était en cinquième année. Et deux ans après, alors qu'il pensait pouvoir être un monument de Poudlard, les petits Rangers revenaient pour faire la misère et réduire en cendres les ambitions de pouvoir de John... Et en plus, il fallait qu'il tombe sur un taré pour l'ensorceler par ses temps troubles... Tout cela est SI injuste, SI injustes ! John n'osait pas bouger, de peur de se prendre un maléfice à bout portant dans la carotide... Finalement, il articula, péniblement...

[color=green]- Un fou furieux... Veut vous voir... Un Impero... Danger pour vous... Pour moi... Si vous... Pas venir... N'Y ALLEZ PAS !color]

[i]John n'était pas fier de cette tirade digne de Tarzan, mais il avait tout tenté pour la prévenir, malgré le goût d'hémoglobine qui affluait dans sa bouche, il reconnaissait surtout son arrière goût quelque peu métallique. Mais son maître tentait de reforcer à nouveau sa barrière mentale... Et ce fut chose faite. A nouveau, le corps et l'esprit de John se détendirent, et ce fut son marrionnetiste, tel un Roland de Gilead, qui repassa au premier plan. Le faciès du londonien s'affaissa, et ses traits se tendirent en un rictus assez inquiétant. John entendait la voix lui murmurrer d'attendre... Mais quoi ? Si ca se trouve, il allait se faire tuer... Tout reposait entre ses mains.

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