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'Sorcier Dangereux' :

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C'était une de ses journées où vous êtes là, mais pas vraiment en fait. C'est à dire que vous avez la tête pleine de pensées qui se mêlent, se confondent et sèment la zizanie dans la moindre parcelle de concentration que vous pouvez avoir. Tout vous semble pénible et compliquer. Courir le matin pour rester en forme n'aura jamais été aussi fastidieux, vous n'êtes même pas certain d'avoir déjeuner tellement vous étiez ailleurs, mais heureusement, vous avez mis la robe de sorcier et vous êtes maintenant assis dans la bonne classe, à la bonne heure. C'est déjà ça, ouf.

Pourtant, s'il y a bien une classe où il faut être éveillé de corps et d'esprit, c'est la classe de magie noire. Domaine où Matthew a fait beaucoup de progrès, selon lui. Lors du cours de duel, il a pu montré sa certaine maîtrise des sorts appris jusqu'ici, sans oublier qu'il se sent de plus en plus à l'aise avec se secteur de la magie, que certains répugnent encore à utiliser. Allons, un peu d'ouverture d'esprit ne fait jamais de mal.

Un peu perdu dans ses pensées, il n'ouvrit ses cahiers de notes qu'au milieu de la leçon donnée par le professeur Bröm. Matthew repense à duel, pense à Prudence, se demande se qu'il fera après Poudlard et se pose d'autres questions qu'il se garde de penser trop fort. Vaut mieux se reprendre et se concentrer sur la leçon.

Sagitta, une flèche d'argent pouvant tuer. Merveilleux, il ne lui en fallait pas plus aujourd'hui. Maintenant, les sorciers faisaient la file pour faire une partie de dards magiques. Les gens essayaient d'être le plus précis possibles et certains s'en sortaient bien, d'autres échouaient lamentablement. Matthew, comme beaucoup d'autres, viseraient le centre, rien de moins. C'était un risque, mais en même temps, s'il y a bien quelqu'un qui sait vivre avec le risque, c'est bien lui.

Après la vipère à la tête basse qui échoua lamentablement, c'était enfin son tour. Matthew se gratte brièvement la tête et se concentre plus sérieusement, essayant de faire le vide malgré l'état dans lequel il est. Il incante le sort et fait jaillir la flèche du bout de sa baguette une fois qu'il a dit:

-Sagitta

Matthew ne put s'empêcher d'esquisser un sourire presque prétentieux, soufflant d'un petit souffle sur sa baguette, comme si c'était un pistolet dont la fumée s'échapper du canon. Il lança aussi un petit regard amusé à la Serpentard qui avait raté sa cible. Lui l'atteignait en plein centre, rien de moins et il en était bien fier. Encore une fois, la magie noire lui allait bien.

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Depuis le début du cours, Brian était assis a écouté le professeur posé ces question, sur la disparition de la Magie Noire. Une élèves tenta de répondre mais Brian detecta tout de suite la mauvaise réponce, et ce fut un élèves de Serdaigle... Jake Clark qui la corigea en premier, apportant 25 points a sa maison. Déjà qu'au dernier cours il avait eut un Optimal et Brian un effort exceptionelle.

A préséent qu'ont avait répondu a sa question le professeur voulait qu'ont envoie une flèche d'argent au millieu d'une cible, et le sort qui permettait de faire celà était "Sagitta". Bien entendu a peine le Prof avait-il finit de dire celà que les élèves envoyait en même temp leur fl-che d'argent au millieu dy centre, quelqu'uns loupèrent, comme Jake Clark par exemple... une fois que tout les élève avait finit de se montrer en spectacle avec ce sortilège qu'il avait décidé de retenir car il le trouvait très impressionnant, Brian O'Connor sans même se lever de sa chaise leva sa baguette puis avec rapidité visa le centre tout en prononçant la formule magique

Sagitta

Loupé... quelque centimètre au dessous... boarf... tant pis

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La précision est à mi-chemin entre la perfection et l'incompétence. Elle représente à elle seul les efforts à accomplir pour parvenir à ses fins. Brom aimait celà, la précision, la maîtrise, ce qu'il préférait nommé comme le doigté. Il estimait que c'était sans nul doute la meilleur qualité que pouvait posséder un sorcier digne de ce nom. La connaissance est puissance quand la maitrise est acquise.


Bien !

Victoria Swan remporte donc ce petit divertissement pour sa rapidité d'exécution et sa précision dans le geste. Son propre retard à la séance, preuve sans nul doute du manque d'intérêt qu'elle porte à la ponctualité, lui fera baissé la note acquise à Effort Exeptionel, et elle sera tout de même dispensée de devoirs pour cette leçon.

Pour les personnes ayant échoué dans leurs tentatives je leur rappellerai qu'à vouloir viser la lune, en cas d'incompétence, on ne finit que par se perdre dans les étoiles.

Vous pouvez rejoindre vos places.

D'un coup sec de sa propre baguette magique, Léon fit voltiger les cibles vers la malle où elles se rangèrent fort docilement. Le viel homme attendit une paire de minute, que chacun soit de nouveau assit sur les bancs de pierre de sa classe, celà ne lui ressemblait pas trop, mais ce qu'il allait faire maintenant était assez unique en son genre.

Nous sommes donc au Moyen Age, peuplé de moldus en armues avec des épées qui cherchent à trancher le plus de sorciers possible. Le Sortilège précédant a illustré la façon dont certains mages ont fait de la magie camouflée en acte moldu ce qui est, entre autre, un des facteurs qui mena au décret du Secret Magique..

Attention aux méprise, le décret n'arrive que quelques siècles plus tard, ce genre de comportement n'était pas légion et démontre que la Magie Noire que vous avez la chance d'étudier désormais était un art secret.

Brom s'arrêta un moment, pour laisser les plumes finir de gratter le parchemin neuf, il reprit alors.

A l'instar de bottes secrètes dans les arts militaires moldus, la Magie Noire fut entourée de mystère à cette époque, il s'agissait de laisser sous-entendre que les Mages Noirs était invincible face à de simples sorciers, que cette science à part pemettait d'acquérir des puissances hors normes. Celà est évidemment faux, un peu comme l'histoire de la Baguette de la Mort qui serait invicible alors que chaque esorciers la possédant meurt en se battant avec elle...

Le mystère fut renforcé par l'apparition de trois sortilèges qui furent nommés les 3 Divins, les 3 Pêchée ou les 3 Dominants. Aujourd'hui nous les appelons les Impardonnables, conformément à l'arctile les dictants comme interdit d'usage envers d'autres êtres humains.

Léon ne parla plus pendant quelques secondes puis il agita sa baguette magique et des cages renfermant des Lutins de Cornouaille apparurent devant les élèves. Il était clair que les créature ne ferait pas de figuration dans ce cours...

Nous allons commencé par le plus simple des trois...

Une jeune poufsouffle émit un petit cri strident en réactions aux paroles, Léon s'en aperçut, tout naturellement et il se dirigea vers elle d'un pas lent et froid tout en reprenant l'explication.

Le sortilège de Doloris permit par le passé de dénouer bien des langues... La souffrance doit être voulue, la formule ne suffit pas à faire mal.

Endoloris !

Le sortilège frappa l'élève de Poufsuffle qui ne ressentit pas la moindre douleur, à peine eut-elle ressentit un pincement là ou le sortilège la toucha.

Vous comprendrez aisément que je ne vous ferai pas pratiquer cet exercice deux par deux malgré la jubilation certaine qu'un tel exercice pourrait sucité...

Vous allez toruturer vos lutins. En silence.

Si ils ne crient pas c'est que vous ne savez pas discipliner votre volonter et que donc le sens même des Impardonnables vous échappe complètement.

Allez-y !

[HRP] Sortilège difficile, le dé "Sorcier dangereux" doit être utilisé.[/HRP]

Matthew fut le dernier à atteindre le centre de la cible. Il en était encore tout heureux, mais c'est Victoria Swan, celle-là même qui avait cassé la glace qui eut droit aux louanges du professeur Bröm. Elle pouvait être fière la Serdaigle. D'abord, le cours de potion et maintenant, le cours de magie noire. Seulement, si Matthew n'est pas le plus compétent en potion, en revanche, il s'est découvert un certain don, du moins, une habileté pour les sorts de magie noire. Chose qui le surprend assez d'ailleurs. Comme quoi on ne se connait pas si bien soi-même. C'est pourquoi il faut toujours être ouvert d'esprit et non se refermer sur soi-même en se prenant pour acquis.

Le Gryffondor retourna s'asseoir à sa place et sortit plumet et parchemin, sachant que le professeur, qui combinait tour à tour phase théorique et phase pratique, ne tarderait pas à aborder la théorie de la prochaine étape. Quand le professeur parla du Moyen Âge, il ne put s'empêcher d'esquisser un petit sourire amusé. C'est qu'il s'imaginait les Moldus en armure et tout se que décrivait le professeur. Il retint que le sort Sagitta est avant-tout un sort discret. Quand Bröm mentionna les bottes secrètes, Matthew plissa des yeux. Il comparait donc, d'une certaine façon, la magie noire à une espèce de technique secrète que seul une personne en particulier connait, ou bien un groupe de personnes. Autrement dit, les gens de cette classe sont parmi les premiers initiés à une magie qui jusque là, tenait du plus grand secret. Matthew trouvait cela fort intéressant.

Le sujet se précisait au fur et à mesure que le professeur parlait. Les trois interdits, trois sorts funestement célèbre que même l'élève connait par cœur. Le simple fait des mentionner et d'y penser peut vous donner des frissons dans le dos. Pourtant, aujourd'hui, ils allaient confronter la peur et même la maîtriser pour en faire une arme. Endoloris, le sort qui fait souffrir sa victime, à un point qu'on qualifie de monstrueux. Tout dépend sûrement de la puissance de son ensorceleur. Matthew observa la petite scène entre la Poufsouffle et le professeur. La pauvre dû avoir la peur de sa vie en entendant le professeur incanté le sortilège, mais s'il y a bien quelqu'un qui sait se qu'il fait ici, c'est bien le professeur Bröm. Matthew retint les dernières consignes et fixa le lutin de Cornouailles un instant.

À son esprit, il devait canaliser les pensées négatives, sa haine, sa rage, et s'en servir comme une force pour faire souffrir cette petite créature. Il pensait à cette profonde haine qui l'habite du fait qu'il est Moldu, comme une jalousie, une envie d'être comme les autres, qui secrète, le torture depuis déjà trop longtemps. Il est un sorcier aussi doué que d'autre, mais sa vie ne tient qu'à un fil simplement dû à ses origines. C'est injuste et si faire souffrir une créature peut lui permettre de se rapprocher de cette reconnaissance qu'il recherche, alors il le fera. Il pensa à tous ses gens qui se croient supérieur à lui et qu'il ne peut plus supporter. Il pensait à ses trois assaillants qui l'avaient battu à la sortie des toilettes, comme des lâches. Il pensait à sa déception personnelle, de ne pas avoir su protéger Helen, de l'avoir fait rester. Maintenant, elle était partie. Oui, Matthew ressentait le besoin de faire souffrir quelqu'un, de se défouler. Reste à voir si son enthousiasme ne sera pas un problème au bout du compte. Il se concentra et murmura, dressant sa baguette:

-Endoloris...

Et peu de temps après avoir incanté, concentré au maximum, Matthew combinait tout se qu'il avait appris après six années d'étude à Poudlard pour tenter de réussir se sortilège complexe du premier coup. Le lutin se mit à crier, visiblement apeuré, se mettant à souffrir même. Ça fonctionnait, mais sans même s'en rendre compte, comme si une part sombre de lui-même prenait place en lui, Matthew se délectait de cette vision, de cet être qui souffrait, à qui il faisait payer. Il le faisait souffrir froidement, comme un être qui tue lentement, simplement pour voir la vie s'échapper peu à peu, par pure curiosité malsaine.