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Because man isn't good, he is great || Augustus

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Tom Jugson
Date de naissance du joueur : 13/09/1995
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Tom Jugson


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MessageSujet: Because man isn't good, he is great || Augustus Because man isn't good, he is great || Augustus EmptyDim 28 Oct - 18:10

Novembre allait bientôt succéder à Octobre, et la capitale anglaise était battue par les vents et la pluie. C'était franchement la dernière des préoccupations de Tom Jugson, qui de fait...n'avait pas pas beaucoup de préoccupations, mis à part survivre. Et pour survivre, il était quelque peu condamné à lutter contre les gens du régime. Il n'avait pas le choix, et puis en plus, il en avait assez de rester à Big Ben. L'ancien Ministre de la Magie avait un coté un brin provocateur. Il ne supportait pas de rester enfermé, ça c'était un reste de la prison, indubitablement. Azkaban l'avait sans doute rendu un peu claustrophobe. Même s'il était plus ou moins libre de ses mouvements à l'intérieur de la tour, Tom finissait par tourner en rond, et du coup, il voulait sortir. Et bon, comme personne n'avait l'air de vouloir l'en empêcher, eh bien, il sortait. Il faisait la tournée des bars.

Tom attrapa une veste de costume et demanda à tout hasard à Lyna, l'enlaçant pour lui voler un baiser au passage :

"Tu veux venir boire un verre avec moi ?"


Le "non, je suis crevée" le déçut un peu, mais tant pis. Pour une fois, il sortirait donc seul. Tom s'en alla de Big Ben, mains gantées de noir pour ne pas attirer l'attention. Il ne savait pas où il allait précisement, mais il s'en fichait pas mal. Il allait au hasard. Il se contentait, simplement, de se promener dans Londres, sans itinéraire précis. Il ne cherchait pas à aller quelque part, simplement à se dire qu'il était libre dans cette partie là de Londres et que tout le monde allait lui foutre la paix.

Tom se promena donc jusqu'à atterrir dans les rues piétonnes de la City. Il ne savait même pas lui même comment il était arrivé là, peut-être parce qu'inconsciemment il avait voulu retourner vers le quartier sorcier. Mais il fallait oublier tout de suite le chemin de Traverse, c'était une excellente idée pour se faire prendre. Tom était déjà en train de se dire que rebrousser chemin serait une bonne idée lorsqu'il vit qu'on le suivait. Il n'en fut pas sur au premier coup d'oeil et se dit qu'il avait du devenir complétement parano depuis qu'il était devenu hors la loi, aussi alluma-t-il une cigarette et continua à marcher sans se soucier de rien, jetant quand même un coup d'oeil derrière lui de temps en temps. Mais il ne rêvait pas. Les deux autres continuaient à le suivre. Ils avaient des mine patibulaires. Langues-de-plomb jugea Tom. Il continua son chemin. Tourna dans une impasse. Les deux suivirent. L'un se prit un couvercle de poubelle dans la gueule, sans même comprendre ce qui se passait et il tomba. Sa tête heurta le pavé et s'ouvrit. Il était sans doute mort. L'autre hésita un instant. Tom lui balança un glavius infierno qui traversa sa machoire sans aucun scrupule.

Si Menroth voulait le capturer, il allait falloir qu'il vienne lui même.

Tom prit son temps pour souffler. Puis il sortit de l'impasse. Personne ne l'avait vu. La nuit tombait. Il était dix neuf heures, et les gens rentraient chez eux ou étaient dans les pubs. Tom décida qu'un verre ne lui ferait décidement pas de mal. Il poussa environ un quart d'heure plus tard la porte du Dirty Dicks, et s'assit au comptoir. La serveuse, petite brunette professionnelle, lui demanda ce qu'il voulait. Il commanda une bière.

Un peu de temps après, elle revint :

"Je peux encaisser ? Ca fait 3 pounds et six pences.

-Euh..."

Tom sortit sa monnaie. Il avait toujours de l'argent moldu, mais de la à savoir combien tout ça faisait...là, c'était mal barré.


Dernière édition par Tom Jugson le Mar 30 Oct - 8:29, édité 1 fois
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Augustus O'Connell
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MessageSujet: Re: Because man isn't good, he is great || Augustus Because man isn't good, he is great || Augustus EmptyLun 29 Oct - 15:51

Foutue météo ! L'averse ne semblait pas vouloir se calmer, et Augustus commençait à en avoir assez de piétiner sous cette bâche de magasin. Il s'était réfugié, avec quelques autres passants, sous le seul auvent de la rue ; mais on commençait à être diablement serré là-dessous, et en plus il n'y avait rien d'intéressant à regarder dans la vitrine. La boutique appartenait à un marchand d'articles pour animaux, et hormis des colliers kitschissimes et des fanfreluches pour yorkshire-à-sa-mémère, il n'exposait pas grand-chose de passionnant pour un passant normal. Augustus avait d'abord été amusé par toutes les cochonneries vendues d'ailleurs à des prix prohibitifs, mais au bout de presque dix minutes à fixer le même collier rose avec nonos en strass, il commençait tout de même à trouver le temps long. Une fois passées en revue toutes les questions que suscitait immanquablement ce genre d'objet (qui pouvait avoir assez mauvais goût pour mettre ça à son chien ? Qui pouvait bien mettre plus de quinze livres dans cette horreur ? Comment pouvait-on se prétendre sain d'esprit et entrer dans cette boutique avec l'intention d'y acheter quoi que ce soit?), il ne restait que la consternation et l'envie de fuir loin de cette échoppe du diable. Machinalement, Augustus s'alluma une cigarette ; presque aussitôt, une voix aigre s'éleva :

-Vous ne pourriez pas aller fumer ailleurs, non ?

Une jeune femme, portant un bébé en écharpe, toisait l'insolent avec l'air de vouloir lui abattre son parapluie sur le crâne.

-Oh, ça va, la pintade... soupira O'Connell en soufflant délibérément sa fumée dans sa direction, en prenant tout de même soin de ne pas atteindre le bébé.

Il fila hors de l'auvent sans attendre la riposte de la jeune maman, sachant que cette espèce-là, lorsqu'elle estime qu'on nuit à sa progéniture, est plus redoutable qu'un bataillon de Mangemorts en proie à une crise d'urticaire aigu.

C'est malin... Augustus n'avait pas fait vingt mètres qu'il était déjà trempé jusqu'aux os, et que sa cigarette, la fameuse cigarette de la discorde, s'était éteinte. Il jeta le mégot, rabattit inutilement sa capuche sur sa tête, et, après quelques centaines de mètres, s'engouffra dans une bouche de métro dans l'intention de regagner son appartement. Il changea d'avis juste devant les tourniquets ; la foule marchant en rangs serrés le décourageait. Il rentrerait plus tard, lorsque le métro serait plus calme – ou lorsqu'il ferait assez sombre pour transplaner sans être vu. Il remonta, à contre-courant, retrouva la pluie, le vent et l'obscurité, et marcha encore quelques minutes sans trop savoir où il allait. Il arriva presque par hasard devant un pub – à croire qu'il avait un sixième sens pour les repérer – et en poussa la porte avec soulagement. Avant d'entrer complètement, il sécha ses vêtements d'un coup de baguette magique, puis alla s'asseoir au comptoir. Encore frigorifié, il commanda un Irish coffee, et entoura le verre de ses mains dès que la boisson lui fut servie. D'autres types, à sa droite et à sa gauche, buvaient seuls, comme lui, la tête baissée vers leur verre ; il ne leur accorda guère d'attention, jusqu'à ce que son voisin de gauche, prié de payer, ne l'intrigue en sortant de sa poche une petite poignée d'argent qu'il se mit à contempler d'un air perplexe. Un étranger, sans doute. Un étranger, ou bien... Non, ce n'était pas possible. Les sorciers ne fréquentaient pas les pubs moldus, en général, et les rares qui le faisaient savaient manier l'argent des moldus. Voyant la serveuse s'impatienter, Augustus se pencha vers le type, et désigna successivement, parmi les pièces qu'il tenait, une de deux livres, une d'une livre et une de vingt pence.

-Donnez-lui ça, murmura-t-il en articulant assez pour se faire comprendre d'un étranger.

La jeune femme s'éloigna, et Augustus prit une gorgée d'Irish coffee avant de se retourner vers son voisin pour engager la conversation :

-Vous êtes en visite à Londres ?

L'autre se retourna, et O'Connell s'immobilisa. Il avait déjà vu cette tête-là, et pour cause ; il s'agissait de Tom Jugson, ancien Ministre, Mangemort repenti recherché par le Ministère, et accessoirement ancien adversaire acharné au Quidditch. Vingt ans auparavant, Jugson était le capitaine de l'équipe des Serpentard, et O'Connell officiait comme poursuiveur à Gryffondor. Ils s'étaient rencontrés pas mal de fois sur le terrain, s'étaient un peu battus en-dehors aussi, comme le voulait la tradition entre deux maisons aussi ennemies que les leurs. Cela n'avait jamais empêché Augustus de juger que Tom était un bon gardien, et un capitaine compétent qui savait mobiliser ses troupes. Reposant son verre, il murmura, le regard soudain pétillant :

-Jugson... la plus célèbre passoire de Poudlard... si je m'attendais...

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Tom Jugson
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Tom Jugson


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MessageSujet: Re: Because man isn't good, he is great || Augustus Because man isn't good, he is great || Augustus EmptyDim 4 Nov - 15:40

C'était définitif, l'argent moldu, Tom n'y comprenait rien. En même temps, il fallait ben l'avouer, le monde des moldus, Jugson l'avait toujours trouvé très peu compréhensible, et n'avait, il faut bien le dire aussi, jamais fait beaucoup d'effort pour le comprendre. Meredith avait bien tenté de lui expliquer, lorsqu'il était plus jeune, mais...ça ne passait pas, tout simplement. La plupart du temps, il s'en sortait à peu près dans les bars, mais là, aujourd'hui...il ne savait pas, mais ça ne passait vraiment pas.

C'était triste à dire, mais ce temps ou Meredith passait huit heures à essayer de lui expliquer pourquoi le monde moldu était si génial, et où il ne comprenait pas du tout, étant totalement réfractaire à ce genre de chose, ça manquait un peu à Tom. Mais globalement le temps où il était jeune manquait à Tom. Tout était plus facile en ce temps là. Il n'avait pas besoin de se demander s'il était ou non un traitre. Il y avait juste les filles qu'il draguait, et le Quidditch, et la bonne vieille rivalité entre Gryffondor et Serpentard. Ah, oui, ce temps là, c'était marrant. L'équipe de Gryffondor était une bonne équipe à l'époque ou Tom était à Poudlard. Il se souvenait d'Eward d'Urberville, le batteur des Lions, se battre à coup de batte avec Rodger, son frère à lui, batteur chez les Serpents, et Alec d'Urberville, l'attrapeur de l'époque chez Gryffondor, et Tom lui même, essayant de les séparer. Il se rappelait d'Augustus O'Connel, un des poursuiveurs, avec qui il s'était battu aussi...c'était un cousin des d'Urberville, il lui semblait. De vraies brutes, en ce temps là, l'équipe de Gryffondor. Mais l'équipe de Serpentard n'était pas mauvaise non plus, et pendant toute la scolarité de Tom, et le temps où il était capitaine, ils avaient toujours gagné la coupe. Sauf la dernière année, celle où Alec d'Urberville s'était fait viré de l'équipe par Charly Weasley, pour une sombre histoire de rivalité ayant dégénéré en bagarre. Là, cette année là, oui, les Serpentards avaient perdu. Mais quelle finale, nom d'un dragon, quelle finale !

Jugson, lui, finalement, à cette époque là, ne détestait personne. Exemple type : Meredith Roseburn. Poursuiveuse à Serdaigle, née-moldue. Galloise. Ca voulait tout dire. Aussi fine qu'une tête de pioche, et qui plus est amie avec Francis Lyautey Jr, un ami de Tom, Jugson et elle passaient leur vie à se prendre le bec. Et pourtant, au fond, ils s'aimaient bien. Seulement voilà, aujourd'hui, tout ça était fini. Tom n'avait plus de nouvelles de personne. La plupart avait choisi de vivre leur vie. Tom avait perdu leur trace, pour pas mal d'entre eux. Et certains en étaient morts.... Lyautey avait tué Armistad O'Meara, prédecesseur d'Avery à la Justice Magique avant de crever lui aussi. Et Meredith, dont au final le seul crime avait été d'être une sang de bourbe, était morte, elle aussi. Tuée par Eris Valverde. Les amis de Tom Jugson semblaient bien aimer s'entretuer entre eux...

Et Tom était mort lui aussi. Le gamin puriste qu'il était n'existait plus. Le Ministre de la Magie, la mangemort, n'existait plus non plus. Ciao au passé, arriverdeci. C'était aujourd'hui le présent et le futur qui comptaient, et plus rien d'autre. Le nom Jugson ne valait plus rien, ses amis l'avaient tous reniés, il était en cavale...Mais il était lui même. Tom Jugson existait pour tout ce qu'il était à présent.

Est-ce que ça ne valait pas mieux, au final ? Il était plus heureux comme ça en étant recherché. C'était paradoxal...mais au moins, il avait le mérite d'être loyal envers lui même.

Enfin en attendant, ça ne résolvait pas cette histoire d'argent. C'est là qu'un homme - un miracle ?- vint au secours de Jugson. Tom se tourna vers lui, s'apprêtant à mentir par instinct de survie, comme d'habitude, et c'est là qu'il le reconnut.

"O'Connel... le type qui aurait raté un but à cinquante centimètres...nom d'un chien, j'y crois pas non plus...qu'est-ce...t'as réussi à t'en sortir, avec la chasse aux irlandais que fait le Ministère ?"

Un petit miracle. Oui, même un gros miracle, en fait.
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Augustus O'Connell
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MessageSujet: Re: Because man isn't good, he is great || Augustus Because man isn't good, he is great || Augustus EmptyVen 9 Nov - 16:23

Tom Jugson. Ça, pour une surprise, c'en était une fameuse. Jugson avait été, quelques années durant, une préoccupation constante pour Augustus. Les Gryffondor avaient bien dû reconnaître qu'il avait su monter une redoutable équipe de Quidditch, et qu'il savait merveilleusement motiver ses troupes... Il ne se passait pas une séance d'entraînement sans que les Lions parlent du capitaine de Serpentard, et, même en-dehors de ces séances, ils échafaudaient régulièrement des stratagèmes pour l'empêcher de retourner sur le terrain. Lui voler son balai, changer ses jambes en guimauve, l'envoyer à l'infirmerie avec une poussée de furoncles dévoreurs, ils avaient à peu près tout envisagé durant les cinq années où Augustus avait appartenu à l'équipe de Gryffondor. Ils n'avaient, finalement, guère réalisé ces funestes projets, mais c'était toujours amusant d'en parler... Et Jugson, en tant que capitaine de l'équipe ennemie entre toutes, la honnie maison Serpentard, était la principale cible de leurs élucubrations. Augustus, toutefois, n'avait aucune hostilité réelle à l'égard de Tom. Certains joueurs se vouaient une véritable haine, mais lui, bien qu'il fût, sur le terrain, teigneux comme il n'était pas permis, restait plutôt bon joueur. Il y avait bien eu quelques bagarres, certes, mais cela faisait partie du sport, qu'il s'agisse de Quidditch ou de football gaélique... Où serait le plaisir du sport si on ne pouvait pas échanger quelques gnons avec ceux d'en face ? Alors oui, Jugson et lui en étaient venus aux mains, et plus d'une fois ; mais cela ne les empêchait pas de se sourire, presque vingt ans après, et d'être plutôt contents de se retrouver. L'Irlandais protesta en souriant lorsque Tom mit en doute ses performances de poursuiveur :

-Si j'avais mis un Gallion dans une boîte à chaque fois que je t'ai passé un but, je serais millionnaire à l'heure qu'il est.

Il ponctua sa réplique d'un sourire joyeux – pas la peine de recommencer tout de suite à se bagarrer – et ne put s'empêcher de donner une tape sur l'épaule de Jugson. Ça, il était content de le revoir, ce vieux Tommy... même si ce qu'il savait de son évolution après Poudlard avait de quoi lui donner la nausée : n'avait-il pas été ministre de la magie récemment, ce qui ne pouvait signifier qu'une chose, son appartenance aux Mangemorts ? Mais Tom était recherché, il avait trahi ce régime de fous furieux, c'était tout ce qu'il fallait retenir. Augustus se rapprocha de son ancien camarade et répondit, dans un murmure :

-Oh, la vie n'est pas facile en ce moment, mais ça, tu dois le savoir aussi bien que moi... Enfin, quand on a un père Moldu et irlandais, ça complique pas mal de choses. J'attends de passer devant la commission du sang, et en attendant je suis chômeur puisqu'on ne peut pas travailler sans ce foutu papier. Je me demande bien à quoi ça rime, leurs enquêtes sur le sang... conclut-il d'un ton amer.

Il secoua la tête, désabusé. Qu'est-ce que c'était que cette lubie pour la pureté du sang ? Après tout, Tom avait peut-être la même passion... Il était sang-pur, comme les trois quarts des cinglés qui imposaient leur loi sur le pays. Un peu plus joyeux, il reprit :

-Mais peu importe, ça me fait plaisir de te revoir, vieux tricheur de Serpentard... Qu'est-ce que tu deviens ? J'ai cru comprendre que ta situation n'était pas des plus confortables... Je t'offre un verre, qu'on trinque au bon vieux temps ?

Et, sans attendre la réponse, il termina son Irish coffee en deux gorgées et chercha du regard la serveuse pour passer une nouvelle commande. Picoler avec une vieille connaissance dans un bar moldu, boire assez d'alcool pour être à l'aise, refaire pour la centième fois la finale Gryffondor-Serpentard de sa sixième année, et éventuellement aller se finir ailleurs lorsqu'ils en auraient assez de ce pub, tout cela lui semblait un programme parfait pour oublier la pluie.
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