Sachant que dans peu de temps Hugo rencontrerais William Avery, le célèbre Mangemort Directeur du Département de la Justice afin d’obtenir le poste de Lieutenant de la Brigade de la Police Magique Anglaise, juste après l’entretiens de Saint Wartique, le Commissaire était disons assez pressé d’en venir a bout de cette Commission.
Ce fut d’ailleurs une surprise pour lui quand une espèce d’homme pingouin doté d’un démarche un peu plus agréable, ainsi que de la parole, enfin c’est ce qu’Hugo supposait rien n’en était moins sur a la vue de l’individu venant de se présenter devant lui, le visage fermé et le regard froid, cette espèce de croisement entre le volatile et l’humain. Malgré son air hautain et supérieur, il n’impressionnait pas du tout le Commissaire qui était assis le fixant droit dans les yeux alors que l’individu s’asseyait après avoir enlevé son haut de forme ridicule et déposé son parapluie a côté de la porte. Ce fut peut-être dût a sa trop grande confiance en lui qui Lawson écorcha volontairement le prénom de l’intéresser.
« Mes salutations monsieur, je suis Edgar de Saint-Wartique, fils de Jean-Firmin de Saint-Wartique et Lady Witcherbloom, époux d'Eléonore Salvadores de Saint-Wartique, père de d'Helena, Arthur et Flore-Elisabeth de Saint-Wartique. »
Bien entendu qu’Hugo savait qui était Edgard. Il avait une famille reconnut au sein de la communauté Puriste, les Saint Wartique de grand entrepreneur, était ceux à qui l’ont devait les Brossdur, quand aux Witcherbloom, aucun Commissaire ne pouvait ignorer que la pureté de leurs sang n’étais généralement pas mis en doute lorsque l’intéressé apporté les documents adéquates permettant de prouver la véritable appartenance a cette famille.
« C’est un plaisir de faire votre connaissance Monsieur de Saint-Wartique, vous avez déjà dû entendre parler de moi lorsque vous étiez Juge en France. Hugo Lawson, j’étais Capitaine a la Brigade de la Police Magique française. »
Lorsque Lawson lui demanda donc de quel nature était son Sang, ce n’était qu’une simple question afin de vérifier la franchise de l’interroger. Préférant toujours que la vérité sois dites, cela le mettant de meilleurs humeurs, cela évité d’avoir des surprises après vérification. Bien que la plupart du temps, la réponse était Sang-Pur.
« Mon sang est pur. Tout autre est méprisable. »
Il ne fut donc pas surpris d’entendre cette réponse, bien que la qualification de misérable lui arracha un léger rictus amer. En France il avait toujours caché la véritable nature de son Sang, ici avec la Commission c’était chose impossible, cela surprenait d’ailleurs beaucoup de personne venant s’installer en Grande Bretagne. Edgard était un homme sûr de lui, et cela se voyait, il restait le fixer, leurs regard plongé l’un dans l’autre, comme si chacun d’entre eux cherchait la moindre faillent, le signe de faiblesse qui déterminerait qui des deux avait les nerfs les plus résistants. Il ne sous-estimait pas la résistance de Saint-Wartique, et peut-être sur-estimait il la sienne.
« Mon père, comme mon grand-père et ses ancêtres avant lui fut un sorcier-entrepreneur de renom qui permis à notre famille de développer notre intellect et nos affaires en juste adéquation avec la pureté de notre sang. Mon frère, avant sa mort mystérieusement violente, gérait les actions familiales et la bonne conduite de notre société. En effet, vous n'êtes sans doute pas sans savoir que nous sommes à la base du développement des balais Brossdur. »
Avec toute ces questions en vérité inutile puisque Lawson n’avait rien appris de plus avec ces informations, il avait joué son rôle dans la procédure, avait donné toutes les cartes à l’ancien Juge. Maintenant libre choix à lui de sortir la quinte flush ou de se contenter d’une lamentable paire de sept. D’ailleurs, il avait remarqué qu’autour de lui, les mystères régnaient en maître.
« Très bon balais, mais si vous me le permettez j’aimerais appuyez la suite de notre entretiens par une question qui est a mes yeux un peu plus pertinante que de parler balais. J’ai remarqué en consultant votre dossier que, autours de vous, les mystérieuse disparitions sont assez étrange, la mort mystérieuse et violente de votre frère, ainsi que le disparition de votre femme du monde Magique »
« Je n'ai guère plus de preuve à vous fournir que le renom de ma lignée d'ancêtres, la supériorité de mon intelligence et mon profond dégoût des Moldus. »
Paire de sept. Peu lui importait qu’il connaissent de nom cette homme, ainsi que sa famille et que au vu de ses dires, il n’y avait aucun doute, avait le Sang d’un pureté incontestable. Seulement le manque de documents ne pouvait que jouer en sa défaveur. Si il ne l’avait pas connu, comme aurez-t-il put savoir qu’il fassent vraiment partit de cette famille, que tous ce bla-bla et cette excès de confiance en sois n’étant en faites qu’un leurre. Et puis encore mieux, qu’est ce qui lui disait que sa vie n’avait pas était qu’une grande supercherie basé sur un mensonge ?
« Vous m’en verrez absolument désolé, dit-il avec un large sourire, seulement vos dire ainsi que votre intelligence largement supérieur à moi un simple sorcier de Sang-Mêlé, n’est pas suffisante pour se voir attribuer un statut de Sang-Pur. »
Le regard de Hugo était dur, froid, moqueur, dès son arrivé dans le bureau, il avait éprouvé de l’antipathie pour l’homme pingouin, arborant donc un sourire narquois il continua en donnant son verdict qui jusqu’à preuve qu’il avait tord d’avoir des doute serait pour lui irrévocable. Et puis après tous c’était peut-être sa dernière Commission, il pouvait donc se permettre de faire un peu chier, juste pour le plaisir de voir l’homme devait lui dans un état de rage. Car bien évidement c’est ce qu’il espérait qu’il se passerait. Il voulait le toucher là ou sa fessait mal, lui qui l’avait sans le vouloir attaquer sur son intelligence.
« Jusqu’à preuve du contraire, vous serez référencez comme Sang-Mêlé, vous n’êtes plus en France et il va falloir s’y adapter, on ne juge pas les gens sur des dires mais sur des preuves, revenez lorsque vous pourrez prouver par un document officiel que j’ai fait une erreur, si vous n’avez rien a ajouté, je pense que nous pouvons en rester là ! »