Copie du discours de Jugson paru dans Vendetta et traduit partout dans le monde y compris dans les pays de l'Intendance, diffusé clandestinement par le groupe nommé la Vague :

Citation :

Sorcières, sorciers,

J'ai initié un mouvement. Je l'ai doté d'un quartier général si besoin est, j'ai agi en son nom en attaquant, non pas lachement comme il a pu le prétendre, mais en combat loyal, Eris Valverde. J'ai mis en marche l'action.

A présent, c'est à vous d'agir, dit il en désigant la foule. Il n'y a plus que vous qui avez le pouvoir de changer ce monde aigri et minable ! Ce serait un prodige, oui ! Il releva la tête vers la foule. Il croyait fermement à ce qu'il disait. Le prodige, ce serait de faire tomber ce voile de poussière et de honte ! Le prodige, ce serait une légère poussée contre ce mur de peur et de haine, de mort et de destruction ! Le prodige, ce serait d'être unis !

Unis contre quoi, je vous le demande ? Mais cela c'est simple. Ce n'est pas une question de clivage politique. Ce n'est plus une question de purisme ou de bourbisme. Peu importe au fond.

Ce contre quoi nous luttons aujourd'hui, c'est un régime, des gens, qui montrent le pire de l'homme. Qui ont créé un petit monde détestable, qui blanchit la boue, gracie les assassins, transforme les hommes en tueurs, ou en cadavres. Je viens de ce monde, je viens de cet univers, que les mangemorts et leur Maitre ont créé. Et tout ce qu'ils m'ont donné, et qu'ils ont offert au monde se résume à un droit. Un seul.

Le droit de mourir.

Alors qui peut dire que c'est une question d'idéologie ? Personne ! Il n'y a pas de question d'ideologie. Que vous soyez avec ou contre eux, le seul destin possible selon ce monde est de mourir. Aujourd'hui, nous devons nous unir pour sauver la vie en ce monde.

Qui veut mourir pour cette folie ? Vous ? Moi ? Personne ! Telle est la réponse, que je proclame à la face du monde et à leur face rongée par la mort : Personne ne veut mourir pour cette folie ! Personne ne veut être un assassin !

Aujourd'hui, les vieux mouvements sont trop clivés. Nous devons nous unir, former un groupe qui assurera la voix du peuple, qui veut vivre ! Un ordre international, qui s'unira pour frapper partout où il le faut, de la manière la plus appropriée, même sanglante, jusqu'à ce que le VOX DEI, VOX POPULI, règne en maitre sur terre !

Et nos ennemis plieront devant nous, car nous sommes alliés sous la bannière du Peuple uni ! Personne ne nous arrêtera ! Car nous sommes la VAGUE !

Citation :

Sorcières et sorciers du Monde !

Ce jour est un grand jour, la Vague est née ! Partout dans le monde, les choses commencent à bouger. A force de parler de Révolution, nous sommes peut-être parvenus à la commencer. Nous restons toujours et encore sur la ligne de Front, partout où il le faudra pour faire tomber le Lord Noir et son régime de Terreur. Son régime d'assassin.

Aujourd'hui, nous avons la tristesse et le regret de vous faire part de la mort de Gawain Robards, âgé de 66 ans. Monsieur Robards était un ancien auror, ayant consacré sa vie à la Justice, à la Liberté, et à l'Humanité. Il a autrefois arrêté de nombreux mangemorts. Messieurs Mulciber, Avery, et Witcher, notamment, doivent se souvenir de lui. Aujourd'hui, on veut faire passer Gawain Robards pour un lâche et un assassin, et monsieur Avery, qui l'a tué, comme un héros.

On voudrait que l'ensemble de la résistance soit un ramassis d'assassins, d'anarchistes et d'ennemis publics. On voudrait faire croire cela au Peuple.

Messieurs les Puristes, moi je vous le dis, j'ai tué, j'ai assassiné, j'ai fait du mal. Messieurs, croyez bien que je le regrette, et que je me crois pas homme de bien. Messieurs, j'ai chaque jour les visages des gens que j'ai tué qui reviennent me hanter, et je ne les oublies pas. Messieurs, je me souviens du premier homme que j'ai tué. Il s'appelait Harvey Irving, et son seul crime était d'avoir choisi la Rédemption.

Je sais, messieurs, ce que je suis. Mais vous ?

Savez vous qui vous êtes ? Et qui vous avez tué ? Connaissez vous les enfants que vous détruisez, les vies que vous brisez ? Vous ne savez rien du vrai monde, vous ne connaissez que votre petit monde de pureté blafarde. Vous ne savez rien, messieurs, et en cela vous êtes des monstres. Vous parlez beaucoup de justice et de sécurité, messieurs, mais lorsqu'on parle d'humanité, il n'y a plus personne.

Alors messieurs, sous votre lumière blanche, dans votre boue puriste et votre auréole blafarde, sous votre masque d'ange, messieurs, vous avez des gueules d'assassins.

Votre ami Tom Jugson, toujours sous la même bannière :

VOX POPULI, VOX DEI.

Spoiler:

Citation :

Mes amis !

Ceci est ce qui servira de base à notre mouvement, dans le fonctionnement de ses actions, afin de protéger la sécurité de la Vague et de ses membres.

Premier principe : l'emplacement du QG de la Vague est placé sous le Sortilège de Fidelitas.
Second principe : Chacun se verra proposer des missions, qu'il est libre d'accepter ou de refuser. Si vous acceptez ces missions, la finalité de celles ci ne vous sera pas forcément dévoilée. Il faudra accepter de marcher à la confiance. Je le jure aujourd'hui, même si ces actions paraissent sans rapport, ou inutile, elles servent un but global. Mais si vous êtes capturés, si vous connaissez ce but, ils vous feront parler. Et mettront en danger le mouvement. Aussi il se peut qu'on ne vous explique pas les raisons de votre mission.
Troisième principe : les stratégies pour les actions d'importance seront connu du chef de la Vague, à savoir ma personne, jusqu'au dernier moment. Chaque membre s'engageant pour ces actions devra avoir confiance. En temps utile, les plans vous seront dévoilés.

Ces règles peuvent paraitre dures. Elles peuvent paraitre injustes. Je le sais, j'en ai conscience. Mais réflechissez bien, mes amis. Personne ne vous oblige à passer le serment inviolable. Personne ne vous empêche de quitter le mouvement si ces règles ne vous plaisent pas. Et si vous les appliquez, nous sommes surs que rien, mis à part les faits pour lequel certains seraient éventuellement arrêtés par nos ennemis, ne filtrerait et mettrait en danger la résistance.

Nous sommes la Vague. Nous devons être innarêtables. Le seul moyen de l'être, c'est la confiance.

Tom Jugson.

Citation :

Sorcières, sorciers, mes amis !

Aujourd'hui est un triste jour. Aujourd'hui est un jour où des gens pleurent leur fils. Ce fils s’appelait Maleficus Serpens. Ce fut un soldat courageux, et, je dois le dire, je ne l'ai pas tué facilement. Qu'on le porte en terre et qu'on l'honore. Tous les vaincus méritent cela. Tous les hommes de courage aussi.

Mais ne croyez pas la folie qui animent les paroles du régime. Ils voudraient faire croire que nous sommes animés par la volonté de détruire la sorcellerie. Non. Ce n'est pas le cas, et je le réaffirme. Car, messieurs, les vrais assassins, c'est vous. Qui a martelé à Maleficus Serpens que l'honneur valait mieux que la vie, qu'il fallait mieux être tué que vivre heureux ? Qui, sinon vous ? Vous avez ruiné sa vie. Vous en avez fait votre instrument. Je lui ai offert de partir. Il a refusé. Et il est mort.

Vous l'avez tué. Honnêtement, simplement, en toute bonne foi. Comme vous avez tué les autres. Car les principaux meurtres, maintenant, ce ne sont plus des sang de bourbes. Ce sont de simples sorciers, sang mêlés, sang pur. Qui font entendre la voix de la raison. Qui font entendre la voix de la paix, celle du peuple, pas la votre. Vous avez perdu un fils ? Tous les jours vous tuez des frères, des fils, des pères, des soeurs, des mères et des filles. Des sorciers anglais, même pas bourbistes. Parce qu'il savent et qu'ils vous dérangent.

Aujourd'hui est un jour de deuil ? Mais c'est tous les jours un jour de deuil, mes amis.

Vous pleurez, vous ? Pleurez donc. Le peuple, le vrai, lui n'a jamais cessé de le faire. A présent, c'est votre tour.

Votre ami Tom Jugson, toujours sous la même bannière :

VOX POPULI, VOX DEI.

Citation :

Sorcières, sorciers, membres de la communauté magique,

Aujourd'hui est un jour bien sombre. Un jour sombre non seulement pour moi, pour la Vague, pour la résistance, mais aussi pour la liberté et la sorcellerie. Pour que l'on ne m'accuse pas de mentir, voici les faits, donnés uns par uns tels qu'ils se sont à ma connaissance produits – les concernés pourront les modifier si le cœur les en dit, j'espère simplement pour eux qu'ils auront la décence de parler en toute bonne foi comme je m'apprête à le faire. Voici ce qui s'est produit.

A une date dont je n'ai pas connaissance à ce jour, John Sheppard, l'Indésirable numéro 3, a affronté le directeur de la Justice Magique du gouvernement placé sous la coupe du Lord. Il a perdu. Pour sauver sa vie, il a passé un marché avec James Eccleston : sa vie en échange de deux hors la loi de l'Ordre du Phénix. Et si il ne remplissait pas ces conditions, on exécutait des gens placés à Azkaban. Bien sur le marché restait intenable. Sheppard ne l'a pas rempli – lacheté ou non, ce n'est pas à moi d'en juger. Toujours est-il qu'il est venu à ma connaissance que monsieur Eccleston avait entretenu une correspondance douteuse avec monsieur Sheppard...donc je suis venu trouver ledit Monsieur Eccleston.

A ma grande honte, j'ai échoué. Eccleston a repris les lettres. Je ne suis parvenu à m'enfuir qu'in extremis. J'ignore à présent ce qu'il va se passer, ce que Sheppard compte faire. En revanche, je sais ce que moi je ferais. Je ne demande pas au peuple britannique de suivre mon exemple. Mais je ne me laisserais pas intimider par les représentants d'une administration séditieuses, et je ne céderais pas devant eux.

Je présente mes excuses à l'ensemble de familles. Je salue l'ensemble des gens qui sont morts sous le joug de ce régime pourri. Ici et ailleurs, croyez moi, personne ne vous oublie.

Je suis vivant, messieurs. Je suis vivant, monsieur Eccleston. Souvenez vous de ça. Tant que je le suis, je reviendrais à la charge. Votre complot pour anéantir le monde libre échouera. Et croyez moi, vous répondrez de vos actes. J'accuse aujourd'hui, et tout ce que je souhaite c'est que des voix s'élèvent pour dire ce qui est : la vérité.

A bon entendeur,
Votre ami, Tom Jugson, toujours sous la même bannière :

VOX POPULI, VOX DEI.

Citation :

Sorcières, sorciers, membres de la communauté magique,

J’écris dans un pays dévasté par la peste, qui semble un cauchemar attardé de guerres finies depuis longtemps, où les hommes n'ont d'espoir que celui de se tenir en rang, militaires et droits. J’écris dans ce pays où l’on parque les hommes dans l’ordure et la soif, le silence et la faim. Où l'on tue des hommes simplement parce qu'ils défendent le pays. J’écris dans ce pays tandis que la police à toute heure de nuit entre dans les maisons. Où l'on viole des femmes et où l'on guette des trahisons. J’écris dans l’oubliette au soir qui retentit des messages frappés du poing contre les murs infligeant aux geôliers d’étranges démentis. Vous n'entendez rien, en face. Vous n'entendez pas le peuple. Chaque fois que vous cachez la vérité, nous essayons de la dire, et à chaque fois, vous tentez de nous arrêter.

Dernieres nouvelles du jour, Augustus O'Connell en a payé le prix. Dernière nouvelles du jour, aucun crime ne reste impuni. Monsieur Witcher comprendra de quoi je parle. Quelle lâche aggression, lorsqu'il déclenche lui même l'attaque ? A chaque crime, vous paierez le prix. Victoire sur Witcher, oui. Victoire sur les autres, bientot.

On dit que ma vérité est fausse. Que je n'aborde rien de vraie. Mais vous savez que j'ai raison. Comment voudriez-vous que je parle des fleurs , et qu’il n’y ait des cris dans tout ce que j’écris ? Il ne nous reste rien sinon la lutte contre la mort.

Tout est simple, pour vous. La mort surtout est une chose simple. Mais inutile. Tellement lourde d'inconséquence.

Puisque toute liberté se survit.

Votre ami, Tom Jugson, toujours sous la même bannière :

VOX POPULI, VOX DEI.

Citation :

Citoyens du monde libre, citoyens qui veulent le rester,

Ceci est une réponse très simple aux mensonges déployés par l'Intendant de Grande-Bretagne, Eris Valverde. Les mangemorts parlent de meurtre d'enfants ? Qui est mort ? Personne. Le gouvernement parle de meurtres de moldus ? Qui avons nous tué ? Personne. Si cela ne tenait qu'à nous, jamais les moldus n'auraient entendu parler de nous. Les deux mondes cohabitent sans se croiser depuis des siècles, si nous avions été seuls à décider, jamais la sorcellerie n'aurait rencontré ce monde là, elle n'en a pas besoin, pas plus que le monde moldu n'a besoin de nous. L'Intendant de Grande-Bretagne confond un peu les faits. Cela doit tenir à son âge. Je me permet de  le rappeler en quelques faits. Qui a déclenché la guerre en Irlande ? Le régime. Qui interdit l'opposition ? Idem. Qui nous force à prendre les armes ? De même. Conclusion, qui est responsable de la mort des gens et des troubles au Royaume-Uni ? Je vous le donne entre mille : le régime de Lord Voldemort.

Puis je mentionner que si vous regardez la dernière édition de News Of The World, vous vous apercevrez que ce n'est pas John Mulciber, bon père de famille, respectable personnage bien rangé, qui se fait tuer par un horrible résistant, mais bien Malcolm O'Sullivan, vieil homme de soixante-quatorze n'ayant rien fait à personne, qui tombe, abattu par John Mulciber, mangemort bien décidé à poursuivre sa carrière de tueur de masse.

A moins que nos ennemis soient aveugles, les faits évoqués plus haut suffiront à démontrer que les assassins sont dans leur camp, et pas dans le notre.  Nous ne cherchons rien de plus qu'une part de paix. Qu'ils autorisent une opposition constructive,  un véritable vote, et plus jamais il n'y aura de terrorisme. Qu'ils donnent le choix au peuple. S' ils sont légitimes, s'ils n'ont rien à craindre du jugement de celui-ci, pourquoi ne pas le laisser voter ?

Mais ils ne le feront pas. Ils craignent le Peuple. Ils savent bien que leur régime tient par la terreur, le bourrage de crâne, et que si on donne le choix aux gens, leur tableau unique d'une unité puriste artificielle disparaîtra. Le régime tient à la violence. Ils se prétendent libérateurs du monde moldu, protecteur d'un pays affecté par le terrorisme, mais il faut appeler les choses par leur nom, cela changera : ce régime est une dictature dirigée par des criminels.

Vous me direz, Eris Valverde, je le sais déjà, que le Peuple doit être guidé pour ne pas suivre la voie de la facilité et du bourbisme. Que vous faites cela pour le plus grand bien. Grindelwald disait cela. Hitler aussi. Ils sont tous les deux tombés.

Votre argument ne vaut pas. Vous n'êtes personne pour diriger le peuple. Un type nommé par un tyran autoproclamé. Vous ne représentez pas le peuple. Vous représentez un monde mort et asphyxié, qui ne cesse de se terminer. Mais on viendra à bout de vous. Je vous le garantis. Alors cessez la mauvaise foi, jouons cartes sur table. C'est pour des idiots ou des moutons que vous nous prenez ? Répondez donc. Avouez que vous méprisez le peuple, que votre seul désir est de l'asservir. Que vous voulez qu'une minorité dirige une majorité que vos préoccupations démentes ne concerne pas. Soyez honnêtes, tous, pour une fois. Cessez donc de mentir. Cessez d'essayer de nous faire passer pour les méchants de l'histoire. Votre manie de faire des communiqués à tout va est lassante, réactionnaire, comme si vous essayez de masquer le fait que nous parlons encore. Mais ça ne marche ps. Je parlerais chaque jour, chaque heure s'il le faut, mais je vous ferais taire. Intendant de Grande-Bretagne ou pas. Vous ne gagnerez pas cette bataille là.

Vous autres mangemorts n'avez pas su asservir la sorcellerie : la preuve, c'est que nous sommes toujours là. La preuve, c'est que des pays libres existent encore. La preuve, c'est que je ne vais pas cesser de parler. La preuve, c'est que la Vague vous salue bien bas. Et que chaque sorcier doué de raison se bat avec nous. Que la sorcellerie qui se tait vous craint, mais qu'en silence elle nous écoute, et nous encourage. Sortez de l'ombre, mes frères ! Vous n'êtes pas plus en tort que ce nouveau monde, moldu ou non, qu'on essaye d'abattre. Sortez de l'ombre, mes frères ! Ne laissez pas les cloches de la division que les puristes sonnent à toute volée vous séparer ! Le rassemblement sonne, oui, et c'est tous ensemble que nous leur ferons rendre gorge, c'est tous ensemble que nous les mettons en garde !

Assumez vos torts. Ou périssez.

Car qui sème la misère récolte la colère.

Votre ami, Tom Jugson, toujours sous la même bannière :

VOX POPULI, VOX DEI.

Citation :

Nous avons maintes et maintes fois prévenu le régime. Nous avons maintes et maintes fois rappelé ce simple fait : qui sème la misère récolte la colère.

La Mulciberian Chemistery pratiquait des expériences sur des nouveaux-nés. Pourquoi ? Parce qu'ils étaient des nés-moldus. Au nom de quelle politique raciste ce régime prend-il le droit d'assassiner des enfants ? De rien sinon de leur folie. Il fallait bien que quelqu'un l'arrête.

Ce quelqu'un, c'est la Vague. Et quitte à passer pour des bourreaux, nous répliquerons ainsi à chaque fois que quelqu'un menacera la liberté. Vous préferez des procès ? Soit, nous en ferons.

Mais le peuple est à la manœuvre. Il œuvre pour réparer les injustices de Lord Voldemort, que ce soit le peuple sorcier ou moldu.

Votre ami Tom Jugson, toujours sous la même bannière :

VOX POPULI, VOX DEI.