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Tu viens de débarquer dans un monde de la Magie subissant la dictature cruelle et sanglante de Lord Voldemort !
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Poudnoir est un forum qui se veut le plus réaliste possible ainsi la violence des combats et l'atmosphère de cette dictature est retransmise le mieux possible.
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Ecrire sa propre Légende [Solo]

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MessageSujet: Ecrire sa propre Légende [Solo] Ecrire sa propre Légende [Solo] EmptyMar 18 Nov - 22:35

Ecrire sa propre Légende [Solo] Fienne10

Lord Voldemort n'avait pas toujours été celui qu'il était actuellement. Devenir lui n'avait rien eut d'anodin. La grande vérité est que Tom Jedusor était un incompris. Il ne voulait fondamentalement pas grand chose dans la vie, juste qu'on lui reconnaisse la juste place qu'il méritait. Oui, rien de plus que ça.

Mais le monde n'était pas prêt pour accepter sa grandeur, pour se laisser convaincre qu'il était exceptionnel. Alors il fallait que celà devienne une évidence aux yeux de tous, qu'on ne puisse pas même se poser la question sans paraître prafaitement idiot, imbécile même. Tom Jedusor ne voulait pas être craint, il voulait être admiré. Mais la peur n'est-elle pas la plus grande preuve d'admiration devant un pouvoir si grand ?

Non ce n'est pas une erreur de l'appeler Tom. Nous sommes dans les années 1950 et Tom Jedusor n'est pas encore Lord Voldemort aux yeux du grand publique, mais seulement auprès de quelques initiés. Dans une shpère relativement proche, il ne se fait appeler que comme ça, mais c'est part son nom normal qu'il est connu des non initiés.

Le Mage Noir venait de quitter Londres et son emploi chez Barjow et Beurk. Ce passage lui avait d'ores et déjà suffisamment apporté, il n'en tirerait plus rien de son point de vue. Cet emploi était un outil, un outil qu'il avait utilisé avant de le jeter purement et simplement. Il se savait doué dans la magie. C'était là une évidence, quelque chose que même Dumbledore ne pouvait véritablement effacer ou nier. Non, le vieux professeur clairvoyant, qui semblait l'avoir cerné mieux que quiconque, savait reconnaître les gens à leur justes valeures, fut-ce elle éloignée de ses propres dogmes. La sgesse n'était pas de se montrer juge mais critique. Et on ne pouvait prétendre ce vieux fou dénué de cette sagesse.

Tom avait-il peur de lui pour autant ? La réponse était ambigue. Il le craignait, comme on pouvait craindre des photos comprométantes ou des ragots désavantageux. Albus Dumbledore était une forme de menace car jamais il ne fut dupe. Alors que bien des professeurs avaient dans leur grandes lignes, toujours adoré un Jedusor si sage en classe, si exemplaire dans son travail. Une sympathie chevillée au corps, non dénuée d'un savoir vivre impeccable et d'une facilité déconcertante pour s'intégrer dans tous les milieux. Il changeait de façon d'être comme de chemise et son discours variait inlassablement en fonction de qui l'écoutait, dissimulant donc ses véritables pensées. Et dans ce grand théâtre de marionnettes, où Tom Jedusor se complaisait à tirer ce qu'il voulait des gens, le seul a s'en être affranchis était le directeur de Poudlard. Et ça l'agaçait.

Ce qui l'agaçait encore d'avantage était d'avoir compris qu'il ne dominait pas Dumbledore baguette à la main. Il ne l'impressionnait comme il pouvait impressionner certains autres professeurs ou même ses pairs. Non. Jamais il ne le surprenait même. Le Dumbledore de la chambre de l'orphelinat, dans son costume à la coupe moldue franchement dégueulasse lui revenait souvent à l'esprit. Même pour un sorcier, Dumbledore était supérieur. Des flammes sans chaleurs, informulées, sans employer sa baguette magie, flammes dont il avait modifier les propriété afin de dévoiler des larcins. C'était de la grande magie. Pas anodine du tout. Pas le moins du monde à la portée de tous les moindre imbéciles pourvus d'un bâton et d'un cerveau en état de marche.

Tom avait été marqué par cette rencontre. Plus qu'il ne voudrait sans doute l'admettre. La révélation de sa constitution sorcière avait changé sa vie en admettant que son extraordinarité était parfaitement normale. Torturer les autres orphelins avait été un de ses seuls plaisirs dans sa jeunesse. Il ne pouvait rien faire d'autre, quand bien même en eusse-t-il eut l'envie. Ses talents lui permirent de défouler sa tristesse sans laisser la moindre marque sur ses victimes qui pourtant, changèrent à jamais. Il avait réussi parce qu'il employait un pouvoir que les autres ne connaissait pas. Plus tard avec la Chambre des Secrets, il avait réussi le même tour face à des sorciers lui révélant alors l'universalité d'une telle observation : les gens ont peur de ce qu'ils ne connaissent ou comprennent pas. L'évidence lui était alors apparue, claire, limpide, et immuable, comme si toute sa vie n'avait été que le prélude à cet instant là.

Il devait apprendre plus de magies. Des magies Noires, anciennes, dangereuses. Il ne fallut pas attendre longtemps pour que Lord Voldemort apparaisse dans sa vie. Un pseudonyme qui entretiendrait son mystère. Un titre qui lui confèrerait le respect. Les hommes confondaient souvent le fait d'être grand avec la grandeur. Lui avait compris la différence. Comme en écho à sa propre volonté. Il ne pouvait en être autrement. Le Purisme était une extension naturelle de cela. Aspirer à la grandeur doit être un idéal commun et non celui de quelques individus seulement. Ses actes, extrémistes, racistes, entâché par son inexpérience mais néanmoins sufisamment subtils pour lui éviter d'être formellement identifier comme auteur du moindre des actes qu'il avait commis, à savoir plusieurs meurtres, celui de Mimi, de son père, de ses grand-parents paternels. Le vol de la bague des Gaunts alors qu'il faisait porté le chapeau à son débile d'oncle. Il avait déjà fait un horcruxe, son journal, et il se demandait ce qu'il adviendrait si il en faisait plusieurs, comme avec la bague par exemple. Le tout fut fait bien avant de quitter Poudlard. Un objet aussi maléfique dans les mains d'un simple adolescent qui en fut en plus le créateur.

Pouvait-on s'attendre à pareille chose véritablement quand on voyait sa petite gueule d'ange ? Pas véritablement. Il termina sa scolarité en prospectant déjà les magies les plus noires. Il interrogea Slughorn. Il n'obtint pas véritablement de pistes, ses recherches durent se faire plus intensément, mais le cadre scolaire le retenait. Il pensa devenir professeur à la même époque. En défense contre les forces du mal. Cela avait l'avantage de légitimer les recherches les plus noires sans attirer l'attention. Dippett lui refusa le poste, sur conseil de son sous-directeur Dumbledore. Encore lui. Il était décidément partout ce gêneur. Son heure viendrait. Mais il était trop tôt pour s'opposer à lui.

Jedusor entre donc au service de Beurk. Il y apprit deux trois petites choses, il glana des informations juteuses, put négocier une entrée de les réunion occultes de partisans de la magie noire. Il ne se préoccupa pas des gens en présence plus que cela. Les hommes et femmes se livraient un bataille idiote entremêlant instruction et dissimulation. Le jeu de dupe ne l'intéressa pas très longtemps, mais il prit des contacts pour l'étranger. Un Mage Noir Albanais notament attira son attention. Il faudrait bien commencer quelque part.

Alors qu'il prenait la poudre d'escampette, Jedusor ne manqua pas de se servir chez Madame Smith. Elle avait de trop rares et précieux objets que pour les ignorer. Il la tua pour faire bonne mesure. Le jeune homme charmant ne l'était décidément pas tant que ça.

Son premier séjour longue durée fut en Albanie. Il y était allé dans un but extrêmement précis : devenir le plus puissant des Legilimens. Cela serait la clé de sa toute puissance. Il le savait. Il travailla dur auprès de fin pédagogues dans le domaine. Il se montra aussi talentueux que violent. Il apprit bientôt que ses maîtres devaient faire des efforts pour le contrecarrer pleinement. Le jeu devint des plus intéressant. Même si il ne le montrait pas véritablement, il continuait sa marge de progression, et, in fine, attendait le moment opportun pour faire ce qu'il avait véritablement en tête.

Il brisa ses maîtres. Il les rendit fou. Irréversiblement handicapés et à jamais dépourvus de la moindre humanité et ce faisant, Jedusor s'effaçait peut à peu, laissant Voldemort prendre le dessus. L'enfant ingénieux que l'ont plaindrait presque était devenu une arme redoutable qui ne cessait de se parfaire. Ho les gestes de Jedusor n'avaient rien de complqiuer. Il ne tuait que par Avada Kedavra. Il torturait essentiellement par doloris à l'époque. Par manque d'envie de créativité surtout. Ca ne le lassait pas encore d'employer des choses aussi banales bien que fulgurantes faites par lui.

Mais Jedusor n'appris jamais plus auprès de ses maître que lorsqu'il les tortura mentalement. Il leur arracha secret après secret, sortilège après sortilège. Il mit plusieur jours à les vider entièrement de leurs savoirs dans les arts obscurs de la Magie Noire. Une hérésie pour bien des hommes que de voler un savoir par la légilimancie, mais la plus logique des choses pour Lord Voldemort : le plus puissant domine le vaincu. Il ne les tuait que lorsqu'il n'avait plus rien à apprendre d'eux.  Quand ils étaient si inhumainement rabaissé que leur propre incontinence ne les gênait plus. Jedusor ne les tuait pas par pitié ou charité. Il les tuait car vivants ils pouvaient être reliés à lui, alors que mort il était libre de partir tranquillement. On ne pouvait sonder les souvenirs d'un cadavre...

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MessageSujet: Re: Ecrire sa propre Légende [Solo] Ecrire sa propre Légende [Solo] EmptyJeu 20 Nov - 23:35

Ecrire sa propre Légende [Solo] Voldemort_by_Acacello

Mois après mois, Tom Jedusor changeait.

Il continuait ce qu'il avait entamé. Sa quête de l'immortalité. L'impossible pouvoir à atteindre, celui de se prémunir définitivement contre la mort. Beaucoup penserait qu'un tel projet était de la folie. Mais lui, n'avait pour seule référence de la folie que la normalité des gens. Un homme lambda, sans avenir, voilà quel était le fou pour Lord Voldemort. Il alla donc chercher dans les bois de l'Albanie le Diadème de Serdaigle. Non pas qu'il ait besoin ou envie de ce pouvoir, mais plus qu'il aimait l'idée que l'objet rendait intelligent et fin d'esprit qui le porte contienne une partie de son âme. Puis cela lui rappelait Poudlard, le seul endroit où, malgré tout ce qu'on pouvait dire, Tom fut jamais heureux.

Son corps se modifiait, il n'était plus le si beau garçon qui avait quitté les locaux de l'allée des Embrumes. Non vraiment plus. Il avait le teint blafard, d'un blanc que seul les cadavres pouvait se targuer d'égaler. Ses yeux noirs voyaient leur partie blanche injectée de sang. Son regard n'avait d'ores et déjà plus rien de véritablement humain. On voyait que son apparence se mutilait, comme si des cicatrices apparaissait sur lui dans les moindre replis de la surface de sa peau. Elles n'étaient pas encore très nombreuses ni très profondes, mais elles semblaient grandir et arboresser, mais on ne pouvait pas encore prétendre Tom Jedusor beau.

Il était pourtant tout aussi droit, les mouvements de son corps étrangement fluide à la vue de son aspect général. Sa voix n'avait pas beaucoup changé, elle semblait juste plus froide qu'avant. Il n'avait pas beaucoup parlé ces dernières semaines, il n'en avait pas véritablement besoin. Ses expériences, comme il les appelait, retenait toute son attention. Il avait créé plusieurs horcruxes déjà. Et il en avait caché seulement deux. Les autres restaient en sa compagnie. C'était important de les protéger même si on pouvait trouver idiot de conserver près de soi des choses aussi précieuses. Mais Tom ne pensait pas de la même façon que les autres hommes, c'était là la plus grande de toutes les évidences.

Et d'autres hommes il en connaissait à présent. Les Lestranges, Rosier, Mulciber, Nott ou même le jeune Dolohov. Jedusor avait commencé à agrandir son cercle, il n'était plus vraiment seul dans sa quête. Certains savaient ce qu'il cherchait, mais personne ne se bornait à le demander trop ouvertement. On reconnaissait les actes de cet homme puriste aux pouvoirs étonnants et avec sa conviction tellement chevillé au corps qu'il projetait de partir en lutte contre les dictat du Ministère. Hérésie pour les uns, évidence pour les autres. Comment pourrait-il en être autrement. Jedusor ne faisait pas dans la dentelle. C'était un fait. Mais pour le moment il ne pouvait pas agir aussi ouvertement qu'il le voulait, il avait encore des choses à faire. La première et non la moindre était de cacher efficacement ses horcruxes.

Il savait le fanatisme des Lestranges sans la moindre faille, leur fortune importante voire inestimable, alors il leur demanda de cacher la coupe de Poufsouffle dans leurs coffre. Enfin, exigea serait sans doute un terme plus approprié mais on ne pouvait pas dire que les Lestrange aurait refusé quoi que ce fut à leur Maître. Les Mangemorts étaient une formation nouvelle. Ils étaient peu nombreux, très marginaux, leur pensée, presque anormale et leur nom n'était pas encore craint. A peine entendait-on parfois celui de Lord Voldemort. Des supicions surtout. Jedusor ne parlait pas à la presse. Il ne donnait pas sa vision des choses, il ne bougeait pas, ne faiblissait pas. Ce que les autres pensaient de lui, finallement, il en avait pas grand chose à faire.

Il employait ses serviteurs pour agir à sa place. Imperium, meurtres de moldus, assasinat de sorciers pas à son goût, tout y passait ou presque. Lui n'agissait pas vraiment de lui même. Il préférait de très loin vaquer à ses occupations expérimentales. Il poursuivait toujours sa quête de savoir en torturant et tuant des savants. Il le faisait dans divers pays du monde, toujours avec la même méthode, toujours avec la même efficacité, toujours sans être inquiété. Tuer était une seconde nature pour lui à présent. Il le faisait dès que cela était nécessaire. Il torturait par plaisir, comme il faisait encore maintenant.

Un jour, après une plus ample réflexion, il estima que cacher un horcruxe à l'étranger n'était pas une bonne idée. Il vivait de plus en plus en angleterre, il était idiot de distancier les points de chute de sa résurection aussi loin des partisans qui pourraient lui rendre la vie. Il prit alors la plus dangereuse des décisions et demanda audience à Albus Dumbledore dans le château de Poudlard.

Dire que Voldemort aimait Poulard était une affirmation exacte. Le chateau avait tiré le meilleurde lui, dans tous les domaines : il y pratiqua la magie en virtuose pour la première fois, sucita l'admiration pour la première fois, fut suivi pour la première fois et tua pour la première fois. Un lieu magique pour lui, à bien des égards. Comment ne pas y mettre une partie de son âme ?

Alors qu'il entrait pour son rendez-vous, Tom Jedusor disposa dans la salle sur demande le diadème perdu.  Il ne rejoignit qu'assez tardivement Dumbledore pour ce qui serait leur dernier véritable face à face avant la bataille du ministère, bien des années plus tard. Il ne s'était pas véritablement attendu à ce que Dumbledore puisse connaître autant de chose sur ce qu'il manigançait. Il appelait ça des "rumeurs", mais Tom Jedusor, ainsi que l'appelait sans discontinuer son ancien professeur, n'était pas dupe. C'était de la surveillance, de l'espionnage. On était fin début des années soixantes, un peu plus de dix années après son départ. Et depuis tout ce temps, Albus Dumbledore n'avait pas cesser de le fliquer. C'en était presque risible.

Le ton de la conversation fut des plus rugueux. Sec. Des deux côtés, ce qui ne semblait pas véritablement convenir à un Dumbledore adepte de la bonne manière à tout prix. Jeusor avait finit avec ces conneries depuis belles lurettes. L'échange était tendu, les deux hommes se sachant pertinament aux antipodes l'un de l'autre. Le jeu de dupe finit par voler en éclat, Dumbledore brisa le double sens et abattit ses cartes. Il chercha à comprendre comme à savoir mais ne pu finalement voir que le fait qu'il ne savait rien et présumait beaucoup.

Savoir ce que fait un homme n'a aucune importance quand on ignore tout de pourquoi il le fait. Hors Dumbledore avouait là son ignorance. Jedusor lui savait ce que le vieil homme voulait. Il voulait un monde sain, en paix, harmonieux, où le pouvoir est à la portée de tous et au service de ceux qui ne l'ont pas. Foutaises. Le pouvoir revient à qui le mérite et à qui le concquiert.

Le temps de la conquête était venu.
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MessageSujet: Re: Ecrire sa propre Légende [Solo] Ecrire sa propre Légende [Solo] EmptyMer 31 Déc - 10:17

Conquérir le pouvoir était quelque chose de facile sur le papier mais de bien plus délicat à mettre en oeuvre. Surtout quand les journalistes, aussi idiots que nombreux, dépeignait l'action du Seigneur des Ténèbres de façon manichéenne, voire caricaturale. Un foutaise en succédant une autre.

Tom avait rassembler autour de lui bien plus d'hommes et de femmes qu'il n'avait pu espérer. Les efforts du Ministère étaient vains. Il avait des adepetes de toutes les couches sociales, allant des plus riches familles de sang pur à des gens isolé et très enclins à la violence comme Macnair.

Lord Voldemort avait un plan très simple. Presque trop simple d'ailleurs. Il allait instaurer un climat de terreur, et dans leur peur, les politiciens feraient ce qui s'avèrera évident de faire, ploire devant lui, comme les larbins qu'ils méritaient de devenir. Ho bien sur il fallait que la menace soit bien réelle pour qu'ils finissent par accepter une telle réalité. La demi mesure ne serait donc pas de mise. Il faudrait frapper fort. Très fort.

Tom Jedusor, dissimulé sous une cape à capuche noire alors qu'il avançait dans un village moldu à la tête de ses hommes, savait ce qu'il convenait de faire. Des disparitions inexpliquées. Des atteintes aux droits des moldus pour envoyer un message fort au Ministère : comment les protégerez vous alors que vous êtes incapables de vous protéger vous même ?

Chaque semaine son lot de moldus se perdait dans la nuit noir de l'angleterre. Chaque jour on déplorait un incident, des accidents graves, des conduites de gaz qui subitement ont explosé à la figure de la famille occupante... Que de joyeusetés.

Tous les actes qu'ils faisaient lui et ses Mangemorts, étaient signés de la Marque. Il ne voulait qu'on attribue ceci à d'autres. Il ne le supporterait pas. Les Aurors se battaient bien. Ils faisaient face dignement à leurs ennemis toujours plus nombreux et toujours plus violents. Ils s'étonnaient de ne jamais retrouver les coprs des ictimes de Lord Voldemort et ses sbires. La paranoia les poussait à croire qu'ils les mangeait, comme leur om semblait l'indiquer.

Hérésie. Mais Jedusor n'avait pas fait les choses au hasard. Dans le plus grand secret il avait créé un repère dans une caverne. Celle-là même où, durant son enfance, il avait torturé quelques condisciples après les avoir descendus parmaie à l'intérieur. De sa magie innaturelle, il avait souillé la cavité creusée par l'eau. Il l'avait brisée, modifiée, altérée. Il y stockait chaque corps de chacune de ses victimes à lui ou de ses serviteurs. Chaque mort devenait un inferi, et chaque inferi était le gardien du médaillon de son Ancêtre.

Il l'avait mis sur le piedestale qu'il méritait, au centre de ce lac souterrain qu'il avait lui même formé. L'entrée demandait créance du sang sorcier, aucun moldu ne pouvait pénétrer les lieux sans en crever. Auncun Cracmol non plus. Seul un véritable mage pouvait découvrir ce lieu fascinant, révéler la chaine tirant le bateau qu'il avait lui même désillusionnisée. Sa tâche de la quête de l'immortalité était un secret partagé avec ses sbires pour qu'ils acceptent inconditionnellement ses absences parfois longues et incroyablement mystérieuses.

Tous les mangemorts savaient que le maître était quasiment immortel. Tous, sans la moindre exception. Tous l'avaient également vu combattre. Tom Jedusor n'a jamais eut besoin de la baguette de sureau pour faire de très grandes choses par la magie. Il connaissait des domaines oubliés, il savait tuer avec raffinement comme avec indélicatesse. Certains prétendaient même que sa seule limite en terme de magie serait son imagination. Qu'il pouvait faire tout ce qui était faisable. Et force était de constater que ces divagations fanatiques absolument outrancière étaient aussi délirantes que proche d'une certaine vérité.

Quand le Seigneur des Ténèbres était sur le terrain, personne ne parvenait à l'arrêter. Le plus bel exemple était celui de la tractation avec les géants. Dans son envie grandiose d'impressionne, Jedusor avait vu dans la politique anti-géant de l'époque une magnifique source de terreur et de panique. Tant et si bien qu'il avait été lui même sur place pour obtenirles faveurs des derniers représentants de cette espèce dans le Royaume-unis. Ho bien sur, on ne pouvait pas croire que les géant furent facile à convaincre ou à atteindre. Pas vraiment. Par contre ils étaient chassés par les hommes de Croupton. Il y eut une escarmouche avec des aurors. Sans doute une des plus violentes puisque seulement deux des vingt agents survécurent. Ils n'y avait pourtant que cinq ou six mangemorts avec Jedusor ce soir là. Mais le Seigneur des ténèbres était déjà grand, trop grand, et son nom commençait à devenir un tabou, car jour après jours, dans une époque troublée, la peur qu'il suscitait grandissait.
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MessageSujet: Re: Ecrire sa propre Légende [Solo] Ecrire sa propre Légende [Solo] EmptyJeu 5 Fév - 11:11

Le dictat de la peur était en place, il progressait, il s'installait lentement mais efficacement, s'insinuant dans l'esprit des gens comme le sable dans un parquet, dans les interstices, partout où il le pouvait comme le simple messager de la providence. Oui, la peur que faisait naitre le Seigneur des Ténèbres dans cette époque de combat acharné contre le Ministère de la magie pouvait ressembler à bien des égards à ce que le commun des gens aimait appeler destin. Elle était présente et absente à la fois, elle laissait transparaître l'illusion de sa non omniscience, il semblait possible de lui échapper par ses propres choix et on pouvait penser que le simple fait de ne pas croire en elle était suffisant pour qu'elle n'existe pas et qu'elle ne dicte pas véritalment notre vie.

Mais quelle grand méprise. Quelle idiotie même. La peur qu'inspriait Tom Jedusor à cette époque ne semblait pas avoir la moindre limite, pas la moindre faille, pas la moindre alternative. Le combattre était un acte de bravoure, certes, mais aussi un acte non dépourvu de la moindre stupidité. On comptait les morts, mais le décompte n'était pas des plus favorables aux partisans du Ministère de la Magie. Que du contraire, les jeunes trouvaient en la personne du Seigneur des Ténèbres un icone quasiment romantique de la lutte pour ses idéaux et les petits puristesse laisaient volontier tenté de faire carrière à ses côté tant et si bien que pour chaque Mangemort tué ou capturé, le Maître en recrutait trois ou quatre.

On ne pouvait pas prétendre Jedusor très difficile au niveau de son personnel à l'époque, bien qu'une certaine forme d'exigeance existat tout naturellement depuis les précurseurs de l'Ordre des Mangemort à son apotéose actuelle. Se contenter de ce qu'il avait ne suffisait désormais plus à Voldemort. Mais nous ne sommes pas dans laa même époque et donc dans la même logique. Sa guerre était ici ouverte. Sa victoire éloignée car si son nom est certes craint, il était très loin d'être, en parallèle, adullé par la foule.

Toute main d'oeuvre était au final bonne à prendre même si ses choix se risquaient à des gens très jeunes et donc potentiellement manipulable contre lui. Combattre était essentiel à cette époque. Montrer qu'on occupait le terrain, ne pas laisser croire que le Ministre de la Magie avait un quelconque pouvoir sur lui, ou une emprise sur son mouvement, il s'évertuait à démontrer, jour après jour, la médiocrité de la caste politique et la faiblesse du pays.

Puis progressivement, l'Ordre du Phénix naquit. Ho bien sur Jedusor s'était préparé très tôt au fait que Dumbledore finirait par entrer ouvertement et sans la moindre retenue ou réserve en opposition avec lui. Le simple fait que le vieil homme prenne le temps de le surveiller était un indice suffisant qu'il avait des limites qu'il ne désirait pas voir franchie par qui que ce soit. Mais Lord Voldemort ne craignait pas des limites factices ou imaginaire qu'un vieil homme peut se permettre de s'imposer à lui-même. Jedusor d'ailleur ne craignait pas grand chose. Rien d'avaouable en tout cas.

Les sbires d'Albus Dumbledore se montraient à bien des égards plus efficaces que ceux du Ministère, et finalement, l'obstination du Directeur à refuser le poste de Ministre de la Magie était sans doute un cadeau pour le Seigneur des Ténèbres, car si avec si peu de moyen il arrivait à le gêner autant, qu'aurait-il fait avec les possibilités d'un pays entier. Ceci étant, pourquoi s'en soucier, le professeur semblait déterminé à laisser passer ses chance de victoire par humilité, une sottise de plus que de ne pas admettre même qu'il était un sorcier supérieur aux autres et qu'il méritait de gouverner.

Oui, Dumbledore était un grand sorcier, sans doute fut-il même potentiellement plus grand que Jedusor lui-même. Lord Voldemort y avait déjà pensé et avait, pour la première fois de sa vie, admit que quelqu'un pourrait le battre sur certains domaines. C'était le seul et unique cas où on pouvait affrmer avec force et sans la moindre gêne qu'il plaçait quelqu'un sur un pied d'égalité avec lui. Et de part ce fait, ce fut la première fois de sas vie qu'il put douter. Cela pourrait paraitre étrange, mais ce n'était qu'une forme de lucidité. Si il se montrait souvent arrogant, Jedusor n'en était pas pour autant idiot ou aveugle dans son jugement de ses capacité. Dit par n'importe qui d'autre, certaines phrases cmme "Ma magie est illimitée" "J'ai vaincu la Mort" "Nul ne me battra jamais en duel" pouvaient parraître ridicules. Mais la réalité rattrapait les mots lorsque c'était Tom Jedusor qui les prononçaient.

Il galvanisait par ses phrases et sa puissance les siens, et terrorisaient les autres. Et, alors que l'Ordre se montrait plus gênant que véritablement dangereux, une certitude naissait dans l'esprit de Lord Voldemort. Celle que personne ne le surpasserait jamais. Que rien ne pourrait se mette en travers de sa route.

Il avait tord.
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