Philippe sauta sur un grand escalier juste au moment où il commençait à pivoter vers la gauche pour accueillir d'autres élèves qui l'attendaient en bavardant entre eux. Celui-ci fut déséquilibrée par la vitesse avec laquelle il se déplaçait et dû s'accrocher à la rampe pour ne pas basculer dans le vide. Surpris, Philippe empoigna de sa deuxième main l'autre rampe de l'escalier et ne les lâcha plus, immobile, jusqu'à ce que l’escalier ambulant s'arrête pour prendre le petit groupe d'élèves qui commencèrent à le descendre, ignorant qu'il recommençait à pivoter dans le même sens. Soudain, l'un d'eux demanda sèchement à l'élève de Serpentard:

"Hé, maigrichon, tu nous bloque le passage là ! Pousse-toi un peu !"

Cellui-ci le regarda un moment, imperturbable, et se décrocha d'un côté de la rampe. Il se mit du sens de la largeur pour laisser passer ce groupe de Griffondr qui se remirent à le descendre en le bousculant. Philippe savait qu'ils ne valaient pas la peine que l'on s'énerve contre eux mais ne pu s'empêcher de s'imaginer les choses les plus humiliantes qui pouvait leur arriver... Il faisait souvent cela quand il s'énervait contre quelqu'un. En ce moment il croisait souvent ce groupe de cinquième années ; ils la surnommaient Maigrichon depuis la première fois qu'ils l'avait vu. Une semaine plus tard, tout le monde le surnommait ainsi. Philippe se fichait bien de ce que pouvaient penser les autres de lui; du moins c'est ce qu'il voulait montrer...
Sans plus attendre, le jeune homme recommença à descendre l'escalier qui menait au rez-de-chaussée: Cellui-ci s'était promené à travers les étages de Poudlard toute la matinée et voulait prendre l'air. Il descendit les autres escaliers qui menaient directement au hall d'entrée -heureusement immobiles, cette fois-ci puis franchit le pas d'une 'immense paire de portes. Dès qu'il fut dehors, cellui-ci inspira profondément l'air doux du début de printemps et une délicieuse sensation de liberté le submergea. Mais, rien ne pouvait lui rendre la joie, ni même un temps pareil, Il reprit la marche pour se diriger droit vers le parc.
Quelques minutes plus tard, l'élève de Serpentard entra dans ce fameux parc: la pelouse semblait vraiment bien entretenue et quelques taches de neige survivaient comme elles pouvaient face au retour du printemps. Un petit groupe d'élèves prenait des cours supplémentaires de vol assistés et d'autres s'y promenaient tranquillement, comme Philippe.
Un ciel dépourvu de nuages trônait au-dessus du jeune homme, le soleil faisant ressortir de beaux reflets sur ses cheveux négligemment coiffés voir pas coiffé de Philippe. Cellui-ci aimait quand il faisait beau temps ; la lumière rassurante du soleil lui donnait une lègersensationd 'être libre alors qu'il était la dans les quatre smurs de cette foutue école.. Quand des nuages gris gâchaient la beauté du ciel, ce qui l'entourait lui paraissait ennuyeux et maussade.

Perdue dans ses pensées, laissait ses pas la guider, se fichant d'où il pouvait bien aller. Soudain, il se retrouva face à un banc installé à moitié dans l'ombre. Il lui paraissait bien confortable... Sans remarquer le fait que quelqu'un y était déjà assis, l'élève de Serpentard s'installa sur le banc et, sans s'en rendre compte, s'endormit aussitôt. Cinq minutes plus tard, il était déjà profondément plongée dans ses rêves, sa tête ayant pris appui sur l'épaule de la pauvre personne qui était assise sur le banc.

"Zzzz..."

Cette personne devait vraiment se sentir mal à l'aise d'avoir un mec aussi maigre, habillé en moldus apuyer sur lui... Philippe lui, revait... ça fessiat si longtemps qu'il n'avait pa sdormit ainsi que rien ne devait jamais le reveiller.... Il penser si fort à sa Luna, il penser à elle... A sa vie chez elle... Il en avait vraiment envie.... Vivre avec elel quelque temps, pouvoir s'éloigner de cette école, de tout.... Pouvoir voir la campagne, être que avec celel qu'il aimait plus qu en'importe qui, autant de temps qu'il le voulait... Et peu être m^me, aller mieu, reprendre du poids, ne plus avoir ce surnon et cette reputation de maigrichon qui lui collait à peau...