Voilà, il m'arrive quand on va a resto et que l'on attend avec patienc (enfin, ça dépend pour qui d'être servit, on s'ennuie. Dans la famille, on a trouvé un truc pour tué le temps, que certains ont peut-être adopté avant nous.. Ecrire ou dessiner.
Alors voilà ce que j'ai écris lors d'un diner... pour précision, j'étais folle amoureuse à ce moment-là..., ce qui explique ceci :

Joli Coeur

Joli coeur,
Viens-tu, part-tu, reste-tu?
Joli coeur,
Est-ce pour moi que tu es venu?

Ta boucle brune, joli coeur,
Et ton éternel sourire,
Font rougir bien des femmes, joli coeur,
Et fnt rager bien des hommes.

Et ta voix chantante, joli coeur,
Ta voix pleine de rire,
Font pétiller bien des regards, joli coeur,
Et rend jaloux bien d'autres.

La jeune fille, joli coeur,
que tu regardes avec tant de tendresse,
Rend mauvaises bien des femmes, joli coeur,
Et brises bien des âmes qui auraient pu n'être qu'à toi.


Le deuxième, c'est une lettre sans queu ni tête, sauf pour moi, bien sûr que j'ai écrite il y a trois mois, sur mon ordi cette fois, alors que j'en avais plein la tête, au bord d'une crise (de larmes ou de rage? Aucune idée) :

Jamais.
Jamais.
Jamais un mot.
Jamais un regard.
Pourquoi ?
Tant de haine.
Tant d’amour.
Tant d’indifférence.
Tant de fascination.
Tant de mensonges.
Tant de méfiance.
Tant de différences avec le commun des mortels.
Aimer.
Haïr.
Des mots si différents, et pourtant si proches.
MENSONGE.
Aimer n’est pas haïr.
Jamais.
Jamais.
Qu’ais-je de plus ?
Qu’ais-je de moins ?
Aimer, c’est aimer.
Pas besoin de justification.
Jamais.
J’aime parce qu’il est beau ?
J’aime parce qu’il est différent ?
J’aime parce qu’il est super ?
Mensonge.
Tu ne sais pas ce qu’aimer veut dire.
Tu n’as jamais aimé.
Jamais vraiment aimer.
Doutes, certitudes, pensées, haine, amour, ennuis, mensonges.
Le monde tourne pas rond.
Pourquoi tant de choses si elles sont justes ?
Pas de maître, pas d’esclaves.
Mais des riches profiteurs et des crève-la-faim.
La différence ?
Le vocabulaire.
Je me mélange.
Mes pensées s’enfilent.
Pas besoin de les expliquer.
Juste de les poser à plat.
Pourquoi choisir quand le choix est presque impossible ?
Presque impossible.
Rien n’est impossible.
Ce n’est pourtant pas un choix très important.
Aimer n’est peut-être pas unique.
Il y a peut-être d’autre chose.
Mais quoi ?
L’avenir sans amour,
Ou pas d’avenir avec un amour ?
Amour, si c’est réciproque bien sûr.
Rien n’est moins sûr.
Mais vivre sans ?
…
Pas de réponses.
J’attendrais la suite alors.


Bon là, j'avoue, vous ne devez pas y comprendre grand chose. mais je suis très compliqué et très logique à la fois, vous le sauriez si vous saviez comment je pense. Enfin, bref, là par contre, c'est plus une lettre à moi-même q'un poème...

Désolé pour le double-post, voici un autre poème :

Une jeune femme,
légère et pourtant fatigué,
avance pas à pas,
peiné par le poids de sa peine

Et tandis qu'un nouvel aube se lève
elle reste à l'ombre, la mince silhouette
Prisonnière d'elle-même, de ses pensées,
de sa haine, de son passé.

Que garde-t-elle au fond de son coeur?
Que garde-t-elle au fond de son âme?

Une fille, des barreaux,
Du sang sur les rideaux,
Des rancoeurs, et une haine,
Des gens haîssables qui ne peuvent que l'être.

Jolie silhouette qui avance,
dans le jour naissant,
calme tes peurs et tes haines,
et ouvre ton coeur au soleil.

C'lui-ci je l'ai écrit au début des vacances.

Kris, qu'est-ce que je t'ai dit? Tu m'écoutes jamais de toute façon... bon en tout cas, moi je préfère le tout premier, il sonne bien à l'oreille je trouve.

Pourquoi je t'écouterais, hein?
Merci.

La nuit tombe comme un rideau sur la scène.
Pourtant un acteur reste debout.
Seul, immobile, les yeux fermés et ouverts,
Il lis, regarde, écoute, chante, joue, crie, murmure et pleure.

Des pourquoi et des comments passent sous ses yeux,
indifférents et pourtant si attentifs.
Il réfléchis, cherche, trouve, donne, prend.
Il marche, parle, vole, nage, s'immobilise et danse.

Est-il le seul?
Sont-ils plusieurs?
Sont-ils pareils?
Est-il triste?

Là où la nuit s'éclaire, le soleil se lève.
Là où la mer se retire, la terre grandit.
Là où le ciel rayonne, les nuages dorment.
Là où la terre tremblent, les gens meurent.

En est-il responsable?
Non, ce n'est qu'un homme.
Ce n'est qu'un signe.
Ce n'est qu'un être.

Pourtant maitre du destin.
Maitre du temps.
Il est partit comme poussière
Au premier rayon du soleil.


Ca veut dire dire? Pour vous peut-être. Et j'avoue quesur le coup j'ai rien comprsi à ce que j'avais écrits, mais ça peut être compris, si vous nêtes pas trop terre à terre et ancré dans les principes de la physique. Et je sais, ça ne rime pas.
c'est en fait un poème que j'ai fait à cause d'un de mes rèves un peu bizarre, et j'ai essayé de le raconter et ça a donné ça.

J'aime bien la dernière rime.

Yeah j'aime beaucoup


Moi j'aimerais beaucoup reprendre mon ancienne exposition de littérature et philosophie mais John (sans doute lui) l'a mis a la corbeille ou aux archives et j'ai la flemme de la chercher (j'ai surtout eu mal au coeur en voyant mes ptites merveilles partir a la poubelle surtout que certaines sont pas de moi mais de philosophes et c'est sublime)

enfin bref bonne continuation

Merci Raphy! *grr méchant John *


J'ai trouvé des devinettes sympa, je vous les fait parvenir A vous de deviner ce qu'il désigne! J'espère que vous êtes persipace! je vous laisse trois semaines pour trouver, après je donnerais les réponses!

1.Sur mes quatre pieds
Je suis d'un animal, le petit
Si vous me décapitez
Aussitôt je me liquéfie

2.Sur mes cinq pieds je prétends faire le bien.
Otez m'en deux et je rampe.
Gardez m'en quatre et je suis couleur d'espérance.
Gardez m'en deux je fais silence.

3.En quatre pied, je suis un songe, en somme
Je deviens sans ma tête la mère de tous les hommes

4.Un oiseau de basse-cour
S'étant laissé faire la cour
Vit son cœur fuir, mademoiselle
Qu'arriva-t-il mon doux Jésus ?
Son corps dès lors ne forma plus
Qu'un séjour de glace éternelle

5.Je suis aux champs avec ma tête
Dans la basse-cour sans ma tête
Si l'on me mange avec ma tête
On me mange aussi sans ma tête
Je suis très gros avec ma tête
Je suis fort petit sans ma tête
Couvert de poils avec ma tête
Je suis lisse et uni sans ma tête
Roux, gris, blanc, noir avec ma tête
Et toujours très blanc sans ma tête


Et voilà un poème :

Sous l'aube naissant,
Sous le vent qui murmure,
Un homme avance

Sous le bleu du ciel
Sur le brun du sable
Dans le calme du temps

Pas à pas, sans s'arréter,
L'oeil azur fixé plus loin que l'impossible,
Pas à pas, pour d'obscures ou claires raisons,
Il continue.

Enchainé au fond de lui,
Un bijou tape régulièrement au creux de son cou,
Comme le glas annonçant sa fin

Poursuivit par des gens peu amical,
il en semble pourtant pas inquiet,
Inconscience ou assurance?

Seul sur Terre,
là où des milliers d'hommes ont foulé le sol,
La solitude pour seule compagne,
Il voit le soleil s'éteindre devant lui.

Car le soleil vient de se coucher,
Une fois encore,
Encore plus vite que la dernier soir,
Et moins vite que le suivant.

désolé pour le double-post, sorry. Mais je viens décrire un poèrme :

Coeur blessée n'égale que les coeurs qui saignent

Comment faire lorsque l'amour nous quitte?
Oh et comment réagir face à lui?
Elle ne peut croire en sa blessure.
Ulisa est pourtant une fille comme les autres.
Rien ne l'aurait détourné de lui et pourtant...

Blessée jusqu'au sang, jusqu'au coeur,
L'amour vient de la quitter, lui arrachant une part d'elle.
Et jamais de la vie, elle n'aurait osé y penser.
Si jamais il reviennait, peut-être lui pardonnerait-elle?
Si jamais il restait loin d'elle, allait-elle faire le premier pas?
Elle n'ose imaginé comment elle vivrait sans lui.
Elle ne l'ose pas car elle le vit en ce moment même!

Nimaginez pas sa vie ne se réduit qu'à lui mais...
Elle l'aime tellement. Pourquoi tout est-il partit si vite?
Gaël... Pourquoi le bonheur est-il partit avec lui?
A jamais, Ulisa aurait aimé rester à ces côtés.
Lui a préféré vivre en solitaire.
Et Ulisa devra se consoler ailleurs que dans ses bras.

Qui pourrait à présent s'interressée à elle?
Ulisa n'était connue à l'université que grâce à Gaël.
Elle est seule désormais et et pour logtemps.

La vie est parfois tellement injuste.
Elle prend ce qu'elle a donné avec tant de ferveur.
Si jamais elle lui reprenait autre chose...

Coeur qui saigne répugne à l'idée de la quitter.
Oh, jamais il n'aurait penser user de cette solution.
Ulisa est une fille tellement gentille.
Et elle ne lui a jamais fait mal.
Rien, pourtant, ne lui ferait faire un retour en arrière.

Que pouvait-il faire d'autre?
Ulisa était top gentille, trop serviable, trop joyeuse, trop pour lui.
Il ne craint donc pas de regretter son geste.

Son amour sera pour un autre.
Amis au lieu d'amant,
Ils continuront à vivre,
Gaël d'un côté, Ulisa de l'autre
Ne faire qu'un n'était pas écrit dans leur destins.
Et ils ne regretteront rien plus tard.
N'avoir rien fait pour continuer, les feront sourire.
Tu ne regretteras rien non plus, bonhomme.


Les plus attentifs auront remarqué que chaque première lettre des vers correspond en fait au titre lue à la verticale.

Kris, je t'ai déjà que je t'adorais? Du moins, j'aime beaucoup ce poème^^

Merci Liz. Moi aussi.
Ca, c'est le poème fait pour la fête des mères, peut-être pas top mais mon père m'a laissé un quart d'heure pour le faire, soyez indulgent, please;

A côté de toi

Un soleil se lève,
Un soleil qui brille tant,
Ainsi qu'une lune ronde,
Tellement pâle, maman.
Tellement froide à côté de toi.

La mer vient,
et repart,
Mouvement fluide et doux,
Tellement raide maman.
tellement banale à côté de toi.

Les nuages volent,
Des nuages si beau poussé
Par le vent si lent et paisible,
Tellement monotone, maman.
Tellement lourd à côté de toi.

La maitre du temps attend,
Acteurs de nos vies.
Si attentif, il nous met à l'épreuve,
Tellement egoïste, maman.
Tellement méchant à côté de toi.

Le maitre du destin s'amuse,
Fait de sbétises et joue avec nous,
Si sages parfois car il nous aime,
Tellement idiot, maman.
Tellement gamin à côté de nosu qui t'aimons.