Comme le temps était long, quand on ne savait que faire. Granace, installé derrière son bureau, attendant ses deux seuls élèves qui devaient, ou devraient, arrivés d'une minute à l'autre. Il se souvint alors de sa journée.
Il avait commencé la journée très tôt, afin de donner cours aux élèves du Niveau 3. Il avait eu un cour très dynamique est très intéressant, et par conséquent, il était assez heureux de ses élèves.
Suite à cela, il était retourné manger dans son bureau. Son bureau, un lieu où il se sentait véritablement chez lui, un lieu qu'il avait demandé, qui, à ses souvenirs, était l'un des plus spacieux des bureaux. Lorsqu'il était professeur d'Histoire de la Magie, quelques années auparavant, il occupé un bureau situé au Rez de Chaussé, un minuscule bureau, où l'hiver, il faisait extrêmement froid. Pire que dans les cachots. Il avait au moins trouvé le point positif de son retour à Poudlard, un lieu où vivre totalement à sa guise, spacieux et extrêmement confortable.
Après avoir mangé, il pris quelques temps pour lire tranquillement un des comtes de Beedle le Barde. Il sentait que dans ces écrits, divers indices étaient placés pour découvrir diverses choses, et il comptait bien comprendre ce que c'était.
Il pris de le temps de regarder l'heure, grâce à sa montre à cousset, puis, se dirigeat vers sa salle de classe, tout en prenant le soin, avec sa baguette magique, de reposer le livre sur son bureau, et fermer la porte à clé de la pièce.
Le couloir était alors vide, aucuns fantômes n'avait apperement décidé de se déplacer dans les couloirs.
Granace arriva alors à sa salle de cours, quand la cloche sonna, et aussitôt, ce fut comme si la vie reprenait dans le château. La plupart des élèves devaient être dans la Grande-Salle, ou leurs dortoirs, ou dans les diverses cours des récréation que Poudlard proposait, bref, chacun quitté leurs occupations, ou peut-être, en prenaient d'autres. Dans le coins de l'oeil, Granace vit Rusard, toujours avec son chat dans les bras, crier à tout va que les cours recommençaient, il était bien gentil, mais ils avaient entendu la cloche, inutile de crier dans tout le château.
Il entra dans sa salle de cour, sans prêter plus d'attention à Rusard, puis, sur le tableau qui avait conservé les traces du cours de ce matin, il y inscrivit le nouveau cours pour le Niveau 2, puis...
Ses pensées furent alors coupées à l'entrée d'un élève, un élève de Gryffondor, un élève assez jeune, qui se présenta. Il ne manquait plus que l'élève Serdaigle, qui elle, ne venait pas. Granace, tout en observant le jeune homme, prit alors la parole, en supposant que la jeune fille ne viendrait pas.
- Bonjour, je suppose que votre camarade ne viendra pas, et par conséquent, vous le direz que ce sera inutile de trouver une excuse auprès de son Directeur de Maison, elle verra ce qu'il l'attends plus tard.
Sur ces mots, Granace se leva de sa chaise, située derrière le bureau, puis se dirigeât vers un grand fauteuil confortable, rouge, moelleux, aux pieds en or, fauteuil style Louis XVI, où à côté de lui, se situé une petite table ronde, où était posée une tasse de thé, des lunettes, un bloc note et une plume de phénix. Il s'installa dans son fauteuil, mis ses lunettes et regarda alors le jeune homme.
- Comme vous le savez certainement, quatre grands sorciers de leurs temps ont fondé une école, l'école de magie Poudlard, où vous et moi, nous nous situons actuellement. L'un d'eux étaient Salazar Serpentard. Vous savez aussi que cela fait bientôt mille ans que l'école est fondée, et par conséquent, nous devinons que l'école fut fondée au Moyen-Âge. Toutes...
Il regarda alors un instant l'élève. Il était très attentif aux paroles de Granace, mais, n'avait ni plume, ni cahier.
- Rappelez-vous qu'il faut prendre des notes! Je disais donc, toutes sociétés peut être témoignées, ou représentées, par un sorcier bien connu, un sorcier qui pourrait être le témoin de l'époque dans laquelle il vivait. En effet, dans l'histoire du monde, chaque époque historique a pu être représentée par une personne spéciale. Et suite à cela, je vous demandes, pensez-vous que Salazar Serpentard soit le reflet de la société dans laquelle il vivait, celle du XIe siècle, plus connue sous le nom, de Moyen-Âge.
Il pris alors sa tasse de thé, et la but d'un coup. Suite à un nouveau coup de baguette magique, la tasse fut remplie de thé à la framboise