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Cher (e) Sorcier (e),
Tu viens de débarquer dans un monde de la Magie subissant la dictature cruelle et sanglante de Lord Voldemort !
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Poudnoir est un forum qui se veut le plus réaliste possible ainsi la violence des combats et l'atmosphère de cette dictature est retransmise le mieux possible.
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MessageSujet: Une robe rouge [PV] Une robe rouge [PV] EmptyVen 25 Fév - 0:01

Une robe rouge

First off she's a lady
This is a ladies world
Man she drives them crazy
Dancing like a chiki girl
All eyes on Maria
No lie she's the bomb
Oh my they all wanna see her
All wanna be the lucky one



_________________________________

    Il n'y avait aucun autre endroit connu de l'univers magique comme celui-là. Terrain à scandales, c'est ici que les hommes et les femmes les plus reconnus du monde de la magie pouvaient perdre toute leur gloire et leur dignité en une seule soirée bien arrosée. Ce bar, ou plutôt, cette auberge magique n'était que très rarement visités des hommes et des femmes posés. À vrai dire, c'était le véritable berceau de la contreverse. On était presque sûr d'y vivre une mésaventure en s'aventurait dans ces terrains inconnus. Et pourtant, les chambres de l'auberge étaient toujours complètes. L'Auberge du Sorcier vert portait bien son nom. En effet, l'homme qui dirigeait cette auberge était effectivement coloré de vert. Son visage et ses mains en étaient recouverts. Et ce pauvre bougre racontait à qui voulait bien l'entendre qu'il s'agissait de la confection d'une potion qui avait mal tournée. Mais les rumeurs incitaient plutôt à croire que cet étrange bonhomme aurait un faible pour les racines magiques des très rares buissons chanteurs. Recensés uniquement en Hollande, les herbes de ce buisson magique procureraient un sentiement de véritable euphorie - un peu comme la drogue des moldus - à celui qui la consommait. Mais s'approcher d'un tel arbuste était à ses risques et périls ; les buissons chantants savaient se défendre et lorsqu'ils se sentaient menacésm, ils sécrétaient un liquide vert et légèrement acide qui tâchait et brûlaient les vêtements et la peau. Cet aubergiste était donc condamné à ne jamais connaître la compagnie d'une femme ou même d'un homme. Son apparence négligé et ses cheveux roux en broussailles reposaient déjà largement les autres. Mais en plus, il y avait une désagréable odeur qui s'échappait de sa bouche lorsqu'il riait d'un rire bien gras, affichant ses horribles dents jaunes et pourries.
    L'ambiance fêtarde de cette taverne était enjolivé par les chants des crapauds qu'on récompassait gracieusement d'insectes au miel. Pour le plus grand bonheur de tous, ces grosses créatures répugnantes offraient des chansons grivoises, des sons enveloppants ou même des sérénades amoureuses. Le tout étant accompagné de quelques danseurs ivres. Les tables étaient pêle mêle, installée confusément dans la grand epièce centrale de cette taverne. Et sur le côté, un escalier de bois conduisait aux chambres. Mais oiur y monter, il fallait d'abord voir ce sorcier vert et payé la somme réclamée.

    Ce bar attirait donc les plus extravagants d'entre tous. On y retrouvait autant les femmes à chapeaux bizarres que les ivrognes désagréables. Il s'agisait souvent de sorciers et de sorcières, qui à défaut de réussir leur vie convenablement et à opter pour un mode de vie stable, préféraient l'aventure, l'inconstance et la débauche. Très peu de mangemorts, voir aucun, ne s'y en approchait. Ses âmes étaient destinées à ne connaître que la misère et le malheur. Leur ivresse et leur stupidité étaient la seule arme qu'ils possédaient face aux fidèles du seigneur des ténèbres ; on les prenait en pitié et dans le pire des cas, une ou deux mâchoires étaient sévèrement fracassées. On se demandait donc, parmi l'assemblé, ce qu'une jolie brune, visiblement sobre, pouvait bien faire assise seule à une table. Vêtue d'une magnfique rouge, elle était simple si ce n'était de la ceinture dorée autour de sa taille fine et d'un décoleté plongeant. Plus ou moins courte, la robe permettait aux yeux des admnirateurs de voir la musculature des cuisses et des mollets des longues jambes cette femme aux airs farouches. Un verre à la main, elle ne l'avait pas encore portée à ses lèvres. Son regard dévorait les flammes qui crépitaient et dansaient dans la petite cheminée non loin d'elle. Et malgré ses airs distants, elle ne restait pas moins désirée par les autres hommes présents. Quant aux femmes, elles l'enviaient toutes. Sa beauté était animale...
    C'est alors que la porte du bar s'est ouverte. Personne n'y porta attention, sauf notre jolie brune bien sûr. Elle était aux aguets. Car même si on prétendait qu'aucun mangemort ne s'approchait de cetet taverne, il fallait tout de même suspecter leur venue innatendue. Avec des hommes tels qu'eux, on est jamais assez prudent. Elle fut soulagée d'appercevoir une jolie jeune femme entrer dans le bar. À vrai dire, elle arrivait difficilement a écarter son regard. Elle était fascinée par la force que dégageait cette jolie brune. Elle lui ressemblait physiquement. Et elle était beaucoup trop posée pour être une habituée de cette taverne. Qu'est-ce qui pouvait bien l'avoir guidée jusqu'ici ? Toujours aussi attirée, le regard déterminé de la jolie résistante est resté fixé sur le corps de cette dame alors qu'elle porta la chope à ses lèvres. Elle but son contenu puis se leva. Les autres l'ont regardé, comme effrayé par le diable qui possédait son corps, la guidant jusqu'au bar. Le sorcier vert l'a regardé puis lui a demandé ce qu'elle désirait boire. Julie plongea son regard illuminé d'une lueur sauvage dans les yeux appeuré du
    pauvre homme qui trembla et lui servit une chope de whisky.
    Julie se tourna vers cette femme et lui offrit un sourire teinté de charme et lui demanda :

    « Votre visage m'est familié. Nous sommes-nous déjà croisée ? »
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MessageSujet: Re: Une robe rouge [PV] Une robe rouge [PV] EmptyVen 25 Fév - 20:13

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En dehors de Londres, il y avait divers endroits exclusivement peuplés de sorciers. Un peu comme pour les Moldus, on n’y trouvait pas la même population, mais coté dépaysement on pouvait être servi. Tous connaissaient Pré au lard, Godric’s Hollow et Little Hangleton comme on connaissait de grandes villes importantes et renommées, mais il en existait d’autres, plus à l’écart, plus calme, méconnu mais avec leurs attraits.
Pour sa part, la jeune enseignante ne connaissait que les villes importantes et ne s’était jamais attardée aux autres endroits. Elle n’y avait vu jusque là aucun intérêt. Pourtant, elle vint à se rendre dans cette ville reculée, calme et qui pouvait faire frissonné plus d’un sorcier. Quel meilleur endroit pour croiser des hors la loi en fuite et disposés à répondre à une étrangère ?

Frédérique était passé de la fille discrète et studieuse, à la jeune fille exubérante et volage, à la femme réfléchie et froide. Tout en restant les trois à la fois, au premier abord elle faisait à la fois distinguée et cruelle. Pourtant, elle avait pris la décision de suivre les enquêtes qu’elle menait sur ces enlèvements d’enfants. L’endroit où plusieurs personnes lui avaient assuré trouver des réponses était l’Auberge du Sorcier Vert. Avant que son fils ne disparaisse, elle aurait pris plaisir de se perdre dans un tel endroit, bien qu’elle n’avait pas besoin d’un lieu mal famé pour se perdre dans les plaisirs de la vie. Mais là elle n’avait pas le choix, tous les avis se rejoignaient et elle finissait par tourner en rond. Elle avait de la chance de n’être connue que de quelques Mangemorts et Serviteurs de Ténèbres de part ses missions avec eux, bien que sa réputation se faisait bien plus importante qu’elle ne le pensait. En se rendant dans une telle auberge, elle était certaine que personne ne ferait attention à elle pour sa renommée, mais son attrait. Et elle n’y allait pas pour son attrait mais pour les éternelles réponses à son enquête.

Sa jupe écossaise verte et grise plissée et courte semblait élancer à l’infini ses longues jambes fines recouvertes en partie par ses bottes en cuir. Son haut sans manche en dentelle noire, surmonté d’un col en satin sensuellement échancré sur le devant. Ses longs cheveux bruns parfaitement lisses, retombaient en cascade sur le coté droit uniquement de son épaule. Ses yeux fardés de vert rendaient son regard plus profond, plus mystérieux. Comme à chacune de ses sorties en dehors de Poudlard ses derniers temps, elle avait pris soit d’enfiler un seul gant mitaine en dentelle noir à lacet vert qui remontait jusqu’à son coude afin de dissimuler les brûlures causées par un sort puissant qu’elle ne parvenait pas à se débarrasser depuis sa première mission.
Elle était sur ainsi de passer inaperçue. Si elle avait revêtu sa tenue de professeur ou ses tenues plutôt classiques, elle était certaine d’être dévisagée par tous.

Quand elle poussa la porte de l’auberge, elle fut surprise par son ambiance. Diverses personnes discutaient, chantaient, ou faisaient diverses autres choses auxquelles elle ne chercha pas à s’attarder. Elle espérait repérer ce qu’elle pensait être la bonne personne à interpeller, un homme ou une femme le moins extravagant possible, le plus rempli d’alcool possible pour être capable de le remettre à sa place sans sortir sa baguette.
Alors que la porte se refermait derrière elle et que quelques regards s’étaient tournés par cette nouvelle venue sans y porter une grande attention, elle rabaissa sa capuche qui recouvrait sa tête et le haut de son visage fin. Elle se dirigea vers le comptoir où un homme vert servait les boissons. Elle se demandait si il s’agissait d’un sorcier dont un sort lui aurait joué des tours, ou d’une créature. Si s’était ce dernier, elle espérait qu’il ne baverait pas dans son verre.

A peine venait-elle de poser sa main sur le bord du comptoir, en s’assurant qu’il ne soit pas trop crasseux, qu’une personne vint à se lever et semblait apeuré le barman et les quelques personnes assis au comptoir et qui s’était vers elle. Si on lisait dans leurs yeux, on aurait cru qu’ils avaient vu le diable.
La jeune LeeRoy en fit de même et vit une jeune femme s’avancer vers elle. Sans doute légèrement plus âgée, elle portait une magnifique longue robe rouge qui dévoilait ses formes généreuses et musclées. Malgré elle, elle ne parvenait pas à détacher son regard d’elle et espérait la voir venir à sa rencontre ou au pire, passait si proche qu’elle pourrait se laisser porter par son parfum, sans doute plus attrayant que l’odeur de ses hommes transpirants d’alcool. Sa beauté, sa présence, sa démarche lui rappelait les grands félins.

Fière, droite, elle se voulait forte, plus qu’avant les déboires du virus. Depuis la gifle de Scofield, elle s’était promis de n’avoir plus aucun moment de faiblesses. Elle n’était pas une lâche, elle n’était pas une faible femme. Elle était quasiment la fille adoptive de Léon Brom, un grand Mage Noire et devait parfaitement représentée cette nouvelle famille qui devenait la sienne. Elle serait forte et dominante à n’importe quelle occasion, n’importe laquelle.
Quand l’inconnue se tourna vers elle, alors que la jeune enseignante n’avait pas lâché le comptoir comme si elle se soutenait à lui, elle haussa un sourire en coin malgré elle. Elle trouva sa femme magnifique, attirante, à sa portée. Autre chose attirait son regard sur elle, la possédait presque, mais elle ne saurait dire quoi. Cela n’avait rien à voir avec l’attraction brutale avec son amant, avec l’attraction tendre avec Evans.

La femme lui adressa enfin la parole alors que leur regard semblait ne plus finir. Sa voix était plus roque que la sienne, plus imposante. Elle lui sous entendait qu’elles s’étaient peut être déjà vu quelque part. Ce fut l’occasion à Frédérique de lâcher son sourire en coin et de dévisager à son aise son interlocutrice qui lui adressait un sourire teinté de charme.


« Votre visage m’est tout autant familier… Je n’ai cependant pas souvenir où nous nous serions croisées… Pourtant un visage tel que le votre n’est pas fait pour être oublié… »


Dernière édition par Pr Frédérique LeeRoy le Sam 26 Fév - 0:33, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Une robe rouge [PV] Une robe rouge [PV] EmptySam 26 Fév - 0:22

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_______________________________

    La conversation était donc engagée et, d'un naturel posé, Julie vient prendre place aux côtés de cette autre femme. Le sorcier vert avait doucement fait glissé sa chope de whisky vers elle et il s'était ensuite retiré discrètement comme s'il avait craint de déranger ces deux jeunes femmes. Quant à la belle brune, elle n'avait jamais cessé de regarder l'intrigante et l'affriandante femme. Pour totue avouer, depuis son arrivé dans la taverne, Julie avait immédiatement été captivé par l'attraction de cette inconnue. En temps normal, elle se serait montrer beaucoup plus méfiante et elle n'aurait probablement jamais abordée ce genre de personne, du moins, pas d'une façon aussi naturelle. Non en fait, accompagnée de Barius, son amant, et de quelques hommes, elle aurait peut-être attrapée cette étrangère d'une toute autre façon... et le résultat n'aurait pas été le même... Mais voilà que tout lui venait spontannément. La manière de lui sourire, de discuter, un soupçon de charme qu'elle ne se connaissait pas - ou très peu - et une politesse exemplaire ! C'en était presque troublant pour cette beauté amazone.
    L'acitivité avait reprit dans la taverne, plus personne ne portait attention aux deux jeunes femmes sauf peut-être les quelques paires d'yeux affamés de quelques ivrognes. La jeune femme lui adressa un sourire et elle articula :

    « Votre visage m’est tout autant familier… Je n’ai cependant pas souvenir où nous nous serions croisées… Pourtant un visage tel que le votre n’est pas fait pour être oublié… »

    Un rire sincère c'est alors emparé de la jeune femme alors qu'elle croisa les jambes, laissant ainsi le loisir à cette femme d'admirer ses cuisses fermes. Julie était maintenant face à celle qu'elle observait puis elle lui répondit d'un ton à la fois charmeur et polie :

    « Je vous retourne le compliment... » dit-elle. Elle lui tendit la main et soutint son geste par un sourire : « Je m'appelle Gabrielle »

    Elle ne mentait pas, mais elle ne disait pas totalement la vérité. D'abord, même si la beauté de cette étrangère était déséquilibrante, Julie ne pouvait pas se risquer à perdre toute crédbilité ou même à dévoiler sa véritable identité à n'importe qui. Il fallait qu'elle la porte en confiance ce qui n'était pas encore totalement le cas. Malgré tout, elle lui offrit son plus beau sourire dans l'espérence que sa main soit serrée et qu'elle lui d.voile à son tour un nom.

    HJ : Désolée un peu court.
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MessageSujet: Re: Une robe rouge [PV] Une robe rouge [PV] EmptySam 26 Fév - 12:35

Dans un bar dépourvu de charme, répugnant et extravagant, on pouvait y apercevoir ces deux femmes. L’une d’apparence forte, l’autre physiquement fragile. L’une du coté du bien, l’autre du coté du mal. Toutes deux empli de charmes et croqueuses d’aventures. Tant de choses semblaient les éloigner et pourtant, dès qu’elles posèrent les yeux l’une sur l’autre, elles ne parvenaient plus à s’intéresser à tout autre chose. Pas véritablement intriguées, pas véritablement séductrices, il s’était passé quelque chose, comme un coup de cœur, pas amoureux, pas charnel. Un quelque chose de nouveau, de plus profond, de plus pur. Mais elles ignoraient quoi. Elles ne s’y seraient pas attendues, pas dans un lieu pareil.

Alors qu’elle aurait pu paraitre provocante, la belle amazone se trouva tout aussi posée qu’elle l’était. Cela la détendit intérieurement car dans ce genre d’endroit on pouvait s’attendre à tout, sauf à ce qu’on pouvait s’attendre. Maitre des sortilèges, elle saurait se défendre avant que la belle ne dise Accio.
Elle vint à prendre place à ses cotés, assise sur la chaise de bar. C’était bien pour elle qu’elle avait traversé la salle et semblait disposée à la connaitre, sans arrière pensée apparent. Peut-être serait-elle la personne qui pourrait l’aider, ou qui pourrait lui faire oublier ses ennuis et interrogations qu’elle avait quand elle se trouvait à Poudlard.

La jeune LeeRoy ne pouvait que remarquer le regard qu’elle avait posé sur elle et qu’elle ne lâchait plus. Ses yeux de fauves la détaillaient, la déshabillaient. Ni l’une ni l’autre n’étaient méfiantes. Elles se regardaient, voir se dévorait du regard. Il y aurait eu quelque chose de déstabilisant dans la situation. Pourtant, aucune ne fut troublée.


« Enchantée Gabrielle… Je me nomme Frédérique… »

Elle s’était ainsi présentée à la suite de la jolie brune qui lui tendait la main. Tout d’abord, tellement occupée à passer de ses yeux de fauve à ses lèvres voluptueuses, ses même lèvres à ses yeux qui la transperçaient, s’étant permis des regards discrètes, rapides mais sans honte sur son décolté, elle ne vit qu’à la fin de ses propres propos la main qu’elle lui tendait. Elle fit descendre son regard le long de son épaule, caressant presque des yeux ce fameux décolté où elle s’attarda, glissa le long de son épaule, de son bras, pour s’arrêter sur sa main. Le tout dans un simple regard, ce qui aurait pu en faire frissonner plus d’un. Elle leva enfin sa propre main qu’elle ne lui tendit pas, mais qu’elle se contenta de glisser à l’intérieur de la sienne avant de resserrer doucement ses doigts fins.

« Que me vaut le plaisir de cette rencontre agréable… ? »

Frédérique prit place sur le tabouret à coté de la dite Gabrielle, et se tourna vers elle afin de la faire face et de pouvoir s’accouder de l’autre coté au comptoir. Elle croisa les jambes en même temps qu’elle. Leurs genoux se frôlèrent. Le tissu de leur vêtement respectif remonta pour dévoiler le haut de leurs cuisses, l’une musclée, l’autre frêle. A leur contact, elle ne chercha pas à se reculer, au contraire, son regard dévia sur ces cuisses fermes qu’elle pouvait admirer et envier. Elle ne sera jamais aussi athlétique.
Elle releva les yeux, un sourire en coin, et d’un geste de la main, ordonna au barman verdâtre un whisky pur feu sans lâcher des yeux l’amazone. Elle ne s’y risquait que rarement en journée, mais là elle pouvait bien faire une exception et se détendre…

[ HJ : Ce n'est rien, tu te rattraperas Wink ]
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MessageSujet: Re: Une robe rouge [PV] Une robe rouge [PV] EmptyDim 27 Fév - 16:04

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___________________________________

    « Enchantée Gabrielle… Je me nomme Frédérique… »

    Et bien voilà, un minimum de confiance s'était installé entre les deux jeunes femmes ; elles dévoilaient maintenant leurs prénoms. Bien sûr, dans un contexte comme celui-ci, ou la terreur est la berceuse des enfants, elle aurait très bien put mentir sur son prénom... tout comme l'avait fait Julie, dans un certain sens. Son deuxième prénom, soit Gabrielle, était connu de très peu de personne. À vrai dire, il n'y avait que sa mère et son défunt père qui connaissait son deuxième prénom. Elle l'avait toujours caché. Pour aucune raison apparente. C'était seulement comme ça...
    La main de la résistante était toujours tendue vers la belle Frédérique. De nature observatrice, la jolie amazone remarqua les yeux de sa nouvelle rencontre se poser rapidement sur son décolté plongeant. Un sourire en coin se dessina sur ses lèvres malgré elle. Tout comme elle le faisait, les yeux de la charmante jeune femme semblait câliner la peau bronzé de Julie ce qui ne la laissait pas indifférente. Son corps ne bougeait pas, il reste droit et fier, s'en était presque provocant. Leur échange de regard a semblé durée plsueirus heures, alors que quelques délicieuses secondes avaient été suffisantes pour qu'elles puissent se détailler l'une à l'autre. Finalement, la jene femme accepta sa main et la serra. Mais cetet étreinte lui semblait plus être une caresse. Aussitôt, son corps en tremblait tandis que ses yeux se coloraient d'une flamme à la fois passionné et effrayé. Qui était cette sorcière pour parvenir à chambouler les sens de la résistante à un point tel que toutes les fibres de son corps en tremblaient. Lui avait-elle jeté uns ort losqu'elle était entrée dans cette auberge ? Ou alors peut-être était-elle la simple illusion de ce qu'avait désiré Julie à cet instant précis, c'est-à-dire, de l'aggréable compagnie ?

    « Que me vaut le plaisir de cette rencontre agréable… ? »

    Frédérique immitait la position de Julie. Elles se faisaient maintenant faces. Les cuisses se frôlaient presque. Les jambes musclées de Julie paraissait presque imposente à côté de la faible masse musculaire de cette inconnue. Et pourtant, le spectacle n,en restait pas moins agréable à observer...
    La jolie brune au teint bazané lui offrit un sourire tendre tandis qu'elle articulait :

    « Je ne le sais pas... le hasard peut-être ? » lui avait-elle répondu en toute honnêteté. « Le destin a peut-être désiré que l'on se retrouve ici, à l'Auberge du sorcier vert... curieux endroit n'est-ce pas ? »

    La jeune femme ne la quitta pas des yeux, sa main alla chercher sa chope de whisky habillement, pour la porter à ses lèvres. Le liquide brûlant alla carasser les paroies de sa gorge.
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MessageSujet: Re: Une robe rouge [PV] Une robe rouge [PV] EmptyMar 1 Mar - 20:00

Quand Frédérique avait levé sa main pour serrer celle de l’amazone, elle avait pris le temps de la glisser à l’intérieur de la sienne avant de resserrer doucement ses doigts fins. Elle était plus proche d’une caresse qu’elle faisait durer qu’à une poignée ferme et rapide. Rien que ce nouveau contact, après le frôlement de leurs genoux et le glissement du tissu de leur jupe sur leur cuisse, lui titillait les sens. Pourtant sa posture, droite et fière, pas froide ni hautaine comme elle était d’ordinaire, était un signe de provocation presque inconscient, comme si elle appelait le corps de l’autre afin d’y réaliser une approche et encourager une rupture brutale pour la faire plier.
Observatrice, elle crut déceler cette cassure non pas chez elle même, mais chez celle qui s’était présentée sous le patronyme de Gabrielle, comme à si son simple contact avait provoqué un frisson indescriptible parcourant son corps et le faisant trembler non pas de froid mais d’une dévorante chaleur. La jeune enseignante n’était pas pulpeuse, son physique ne faisait pas succomber le premier venu. Pourtant, son charme et la force qu’elle dégageait envoûtée quiconque l’approchait et elle aimait cela.

Quand elle lui demanda ce qui pouvait lui vouloir plaisir de cette rencontre agréable, celle ci lui parla de hasard, de destin. Elle haussa un sourire en coin avant de reprendre sa même voix posée et calme.


« Je ne crois pas au destin… »

Le destin ? Cette loi supérieur qui semblait mener le cours des évènements, de leurs évènements, de leur vie, vers une certaine fin bien précise, prédéfinie, et cela depuis bien avant leur venue ? Cette fatalité de l’existence humaine, inévitable, qui leur paraissait prédéterminée ? Cette force, presque surnaturelle qui déterminerait par avance le cours de leur vie ? Non elle n’y croyait pas.
Elle se pensait, elle se savait active face aux circonstances qui l’avaient mené où elle en était. Rien, non rien pour elle n’avait lieu d’être sans qu’elle n’y soit directement actrice. Elle n’était pas spectatrice de sa vie.

Pourtant elle ne pouvait le nier. Leur rencontre était étrange. Mais pas un hasard.
L’une s’était rendue en ce lieu, refuge ou échappatoire présumée des hors la loi, pour trouver des réponses aux investigations qu’elle avait repris. L’autre, en fait, elle ignorait ce que la jolie brune était venue chercher en ses lieux. Peut-être que cela lui en était égale également.


« Je ne connaissais pas un tel endroit… Curieux en effet, curieux endroit… »

Si elle n’avait pas vu un tel endroit alors qu’on le lui en avait quelque fois parlé pour diverses raisons, elle n’aurait pas cru en son existence. Elle avait du mal à imaginer qu’un sorcier qui se respectait pouvait se perdre dans un tel lieu, lieu si sordide qu’il lui rappelait le bar moldu où elle avait suivi il y avait quelques jours un certain Résistant.

Ce lieu avait une certaine emprise sur les gens qui y pénétrait, comme si l’ambiance dégageait une attraction entre les gens, entre ceux qui devaient se rencontrer et qui n’étaient pas si éloignés que cela. C’était peut-être le cas pour les deux jeunes femmes. Seul l’avenir le dira. L’emprise que cela avait sur Frédérique ne s’était pas faite attendre. Que cela serait s’agit d’un homme ou d’une femme son comportement aurait été le même. Elle savait ce dont elle était capable, jusqu’où elle pouvait aller. Mais l’envie était presque pressante, presque enivrante. Il aurait suffi d’un autre contact sur elle pour qu’elle commence à défaillir.


« Venez vous souvent ici… ? Cette auberge doit bien être présente depuis des années pourtant son existence est dissimulée par les mœurs… »

En tout cas, cette Auberge du sorcier vert ne pouvait pas être aussi captivante que sa présence et son attraction, elle en était certaine.

Le barman avait glissé son verre de whisky jusqu’à elle. Elle entoura le contenant de ses doigts fins et délicats alors qu’elle avait reposé son autre main, celle ci gantée, sur le haut de son genou. Elle porta le verre à ses lèvres en même temps que la dite Gabrielle. Leurs lèvres s’emparèrent en même temps de la boisson qui vint à brûler leur gorge. Frédérique inspira profondément alors que le liquide dégageait ses premiers coups de fouet à son être.

Reposant son verre, elle reporta son attention vers la jeune femme au regard félin. Elle avait du mal à la voir fréquenter régulièrement ce genre d’endroit. Elle n’avait pas besoin d’y venir pour avoir qui elle voulait. Mais n’était-ce pas son cas à elle aussi ?
Frédérique tentait de calmer son esprit en s’interroger sans quoi elle aurait déjà laissé agir ses impulsions. Elle se demandait donc pourquoi cette femme était-elle ici. Elle pourrait tout aussi bien cacher son jeu qu’elle même et être ici secrètement pour une sombre affaire.

Une main toujours sur le haut de son genou de ses jambes croisées, l’index et le majeur de son autre main caressaient doucement et inconsciemment le verre qu’elle venait de reposer à mi distance entre tous les deux sur le comptoir à leur coté. Tentant de ne pas plonger à nouveau son regard maintenant ses yeux sont son visage, elle se pencha doucement vers la mystérieuse inconnue comme pour partager quelques confidences qu’elle espérait obtenir, qu’elles furent intéressantes ou pas, proche de ses attentes initiales ou pas. Elle ne s’attendait pas à ce qu’elle puisse se livrer à elle. Quelques minutes à peine elles étaient confrontées l’une à l’autre et pourtant Frédérique ne voulait pas se duper et être duper. Elle était d’une toute humeur, tellement autre que si elle n’y portait pas attention, elle pouvait vite se perdre comme tel était pris qui croyait prendre.


« Son histoire doit être captivante… Tout comme les histoires qui se racontent et qui se passent entre ses murs… »

Son ton était soufflé, presque soupiré, comme un murmure, impossible à entendre si on ne s’approchait pas…
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MessageSujet: Re: Une robe rouge [PV] Une robe rouge [PV] EmptyJeu 3 Mar - 0:52

    La taverne du sorcier vert était surchargée de monde et pourtant, Julie ne prenait consicence d'aucune autre âme sauf la sienne, celle de cette Frédérique. C'était comme si tout s'était évnouie dans son esprit pour lui donner plainement son attention. Rien ne la perturbait, ni ce sorcier qui les dévorait des yeux à quelques tables, ni les rires gras des autres hommes par-là; Pas même le chant strident des crapauds ne semblait perturbé la délicatesse et l'intérêt qu'elle portait à cette nouvelle connaissance. Elle se plaisit presque à laisser ses yeux clairs se noyer dans les marres sombres du regard de cette sorcière. Bientôt, on penserait que l'une d'elle aurait jetée un sortilège à l'autre ou alors qu'elles avaient utilisés un quelconque filtre puissant. La discussion ne se faisait pas très verable, mais leur regard en disait long. Parfois, le regard de Julie était illuminé brièvement d'un éclair de désir.
    Cette attitude lui était d'ailleurs étrange. Jusqu'à mainenant, on ne lui avait jamais connu un caractère aussi tendre et aussi délicat. Sauf, bien sûr, avec quelques enfants qu'elle avait autrefois sauvé avec sa petite ''armée'' et placé sous son sentiment de mère protectrice... Autrement, elle était brusque et on lui reconnaissait même une nature violente. Elle s'affichait comme distante et froide, elle n'entrainait pas particulièrement de relation étroite avec qui que ce soit, excepter son amant, Barius. La seule tendresse ayant jamais été échangé avait été faite sous les couvertures...
    Si Julie avait été en possession de ses moyens, et qu'elle prenait conscience de cette attitude, elle aurait probablement cherchée à reprendre cette image d'impitoyable guerrière...

    C'est ainsi que Frédérique lui dvéoila qu'elle ne croyait pas au destin. Julie se contenta de lui adresser un charmant sourire en guise de réponse. À un moment, la dire Gabrielle se souvenait de la phrase qu'elle lui avait glissé sur le destin, voir même le hasard. Drôle de chose, ironie du sort, car Julie n'affectionnait pas particulièrement cette théorie idéaliste. Aucune vie n'aurait peut être ainsi écrite et diriger par des forces imprenables, tout simplement parce que Julie se savait maîtresse de son avenir. S'il lui plaisit d'attaquer un homme demain ou de retourner au Japon, visiter sa mère et revoir son pays d'enfance, il n'en tenait pas moins qu'elle agissait selon ses désirs, selon des pulsions bien précise qu'elle s'insufflait.

    « Je ne connaissais pas un tel endroit… Curieux en effet, curieux endroit… »

    Julie se réservait de nouveau toute réponse. Son regard parlait de nouveau pour elle, affichant désormais un air presque amusé, diablement ravi. De nouveau, elle s'offrit une autre caresse brûlante de whisky avant de reposer délicatement sa chope. Affichant un air faussement concentré sur sur elle, ses oreilles écoutaient attentivements les échanges. C'était son petit sens de résistante qui lui aavit conseillé de porter une oreille attentive à son environnement. Elle s'était un peu relâché, son corps s'enr endait compte, son esprit aussi, au regret.
    À sa gauche, des hommes discutaient avec un peu trop d'enthousiasme sur l'annonce d'Elliot Manrey. Une mort regrettable d'ailleurs. Elle grogna intérieurement, songeant qu'elle devrait peut-être leur faire avaler leurs langues pour tenir des paroles aussi diffamatoire. Ils ternissaient la réputation d,un homme qui s'était sacrifé au nom de la liberté, qui avait versé son sang pour l'univers des sorciers. Elliot et Julie ne s'étaient jamais rencontrés personnellement, toutefois, elle le respectait suffisament pour protéger son honneur et son terrible secret, la vie de sa fille unique. À droite, deux femmes vires se disputaient , ce qui semblaient être, un morceau de parchemin sans valeur. Selon leurs crients, il semblait que ce papier est appartenu à nul autre que Micheal Scofield, le fidèle bras droit de celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom.
    Ses yeus se plongeaient toujours avec intensité dans le regard provoquant de la jolie brune. L'amazone sentait toutes les fibres de son corps s'agitées, comme si les yeux de cette Frédérique étaient magnétiques.

    « Venez vous souvent ici… ? Cette auberge doit bien être présente depuis des années pourtant son existence est dissimulée par les mœurs… »
    « À vrai dire, commença la résistante, songeant que laisser de nouveau le silence prendre sa parole serait un manque de politesse et d'intérêt, Je ne me suis jamais aventurée ici avant aujourd'hui. Je connais sa réputation, cependant. On dit que cet endroit est l'auberge où naisse les secrets. De nombreux sorciers y ont perdu toute crédbilité alors que d'autres ont su y trouvé un peu de plaisir … avait-elle conlcu en pesant volontairement sur le dernier mot. »

    C'est alors que la résistante cru percevoir un certain rapprochement entre elles. Le parfum agréable de Frédérique a alors été impreigné dans l'esprit de l'amazone qui affichait un air satisfait. Elle se pencha aussi pour capturer les paroles soufflées de la belle brune.

    « Les histoires les plus captivantes sont celles que nous vivons... souffla t-elle à son tour comme unique réponse. »

    Une nouvelle symphonie s'est alors emparée de la pièce. Un tout autre rythme qui eu un nouvel effet sur les sens de Julie. Presque automatiquement, son regard s'est illumnié d'une flamme passionnée, d'une lueur animal. Félinement, elle s'est levée, prenant soin de laisser sa main glissée sur le bras de la jeune femme, comme une caresse pour remonter tranquillement sur l'épaule de la jeune femme. Si ce n'avait pas été du contact chaud de sa main sur sa peau froide, Julie aurait presque pensée ne l'avoir caresser. S'avançant au centre de la pièce, brûlante de désir, les autres sorciers se sont écartés pour l'observer curieusement. Comme effrayé par le diable qui possédait son corps élancé. Doucement, au son du ryhtme entraînant, son bassin à commencer à se balancer. Sensuellement, de droit à gauche. La musique lui indiquait les pas qu'elle devait enchainer, le regard de Frédérique lui dictait la façon de bouger. Les âmes autour d'elles ont commencés à s'agiter, cherchant des partenaires pour se laisser emporter dans une danse endiablée à leur tour. On pouvait bien accuser cet endroit de gruger les âmes de ces visiteurs ; c'était comme si cette auberge avait un contrôle sur l'atitude de certaines personnes... Julie continuait de se pavaner, fièrement, laissant un bras se lever en direction de Frédérique alors que son bassin se faisait invitant, elle l'incitait vivement à venir la rejoindre.
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MessageSujet: Re: Une robe rouge [PV] Une robe rouge [PV] EmptyVen 4 Mar - 16:35

A cette heure avancée de la soirée, l’Auberge du sorcier vert semblait être un lieu incontournable de rencontre car il n’y avait plus une place pour s’assoire. Mais ni l’une ni l’autre ne s’en préoccupait, trop absorbé par chaque mouvement, chaque regard que l’autre lui apportait. Frédérique ne choisissait jamais ses aventures à la légère. Ce monde était vaste et le choix tout aussi important. Elle ne s’encombrait pas des hommes gras et répugnants, ni des femmes vulgaires.
Elle percevait les éclairs de désir dans le regard de la dite Gabrielle et se demandait qui de l’une ou de l’autre parviendrait à perdre son calme la première pour se jeter voluptueusement sur ses lèvres qui l’appelaient, sur ce corps qu’elle réclamait.
Elles ne faisaient pas de grandes discussions. Elles n’en avaient pas besoin. Elles n’en avaient peut-être pas envie ce soir là. Elles avaient des possibilités de tenir ensemble une conversation, elles avaient des goûts en commun, d’autres pas. Mais il y avait cette tension qui faisait que toute leurs tentatives de se parler finissait par se perdre, aspirer par leur souffle rempli de désir et d’envie.

On ne pouvait pas dire que leur attitude avait quelque chose de tendre et de délicat, on ne pouvait pas dire non plus qu’elle se trouve violente et brutale. Tout était plutôt en retenu, tout était plutôt à l’intérieur. Plus elles maintenaient leur état, plus elles se laissaient charmer, plus la passion qu’elles pouvaient en dégager en sera agréable. Mais Frédérique le savait. Elle voulait s’amuser de cette situation et qu’importe les gens qui les entouraient, ses pulsions ne seront pas indéfiniment bridées. Il y avait bien un étage au dessus et rien qu’à cette idée, elle voulait faire encore attendre un moment. Elle la voulait encore plus ardente, devenant dominante puis dominée.

Elle voulait ainsi oublier la douleur des dilemmes qui torturaient sa vie, son être.
Elles évoquèrent justement le destin. La jeune enseignante ni croyait pas. Son comportement ne pouvait pas être un coup du destin. C’était un état qui ne pouvait que lui être propre. La jolie brune affichait un air provoquant, tantôt un air amusé presque ravie, tantôt un air de délice presque animal.

Elle porta son verre à ses lèvres et dégusta à nouveau sa boisson. Elle perçut tout comme l’amazone un peu plus tôt, des brides de conversation. Elle ne put s’empêcher de sourire en coin, un sourire qui aurait pu être adressée aussi bien à sa charmante rencontre qu’à leurs propos. Personne ne pouvait le dire et il était absolument impossible de faire des suppositions. Son regard semblait tellement absorbé par elle qu’on supposait plutôt qu’elle avait à ce sourire, quelques idées assez peu louable.
Donc en fait, en réalité son esprit avait une certaine satisfaction d’entendre la mort de Manrey, fait connu de tous. Un ennemi de moins. Au suivant. Elle regrettait juste de n’y avait pas assisté, de n’avoir pas pu voir son sang sortir de ses veines et se laisser délecter par la beauté du spectacle. Elle avait aussi peur de la mort que celle là lui apporter un certain fantasme quand elle l’apportait chez les autres.
Une dispute derrière elle éclatait entre deux femmes. Elles s’arrachaient un parchemin ayant appartenu à son amant. Son horrible, effroyable, brutale et pétrifiant amant. Son regard replongea dans le cou de la femme en robe rouge face à elle. Elle se demandait si elle savait se montrer tout aussi virulente dans l’intimité ou tout au contraire, si elle usait de caresses et d’attention. Ce soir là, elle avait plutôt envie de brutalité. Elle voulait qu’on la bouscule, qu’on la chavire de bonheur. Elle voulait être étouffée de baiser, voir des étoiles, et n’avoir mal que quand on la lâchait enfin.

Mais son attention pour les autres autour d’elle s’envola.
Sa voix, quand elle reprit la parole se fit pénétrante. Frédérique en captant chaque son, chaque mot. Elle était entourée de secrets et aimait s’en créer d’autre. Au mot plaisir, son sourire en coin reprit naissance au coin de ses lèvres. Ce n’était pas qu’un peu qu’elle espérant trouver du désir. Elle était tout en excès. Elle ne savait pas faire dans la demi mesure. C’était soit tout, soit pas du tout.
Elle se laissa porter par son parfum quand elle se penchait à son tour vers elle. Enivrante, piquante, plus aucune partie de son corps, plus aucune partie de son être ne pouvait résister à cet appel des sens. Elle voulait se perdre dans cette attraction charnelle.

La jeune femme sembla réclamer sa présence lors de cette danse. Elle n’avait pas lâcher des yeux ses formes au fur et à mesure de sa marche jusqu’au lieu que l’on pouvait considérer comme une piste de danse. La provocation que leur moindre mouvement et caresse allait se montrer encore plus prenante.

LeeRoy se leva, en glissant avec grâce du tabouret haut de bar sur lequel elle était toujours installé et se trouva parfaitement debout. Se laissant presque instantanément porter par l’air de la musique, elle avança à son rythme jusqu’à elle. Le bras tendu vers elle, elle déposa sa main contre celle de la jolie brune, fit glisser sa pomme contre la sienne et continua sa caresse le long de son avant bras qu’elle enserra finalement. Lui faisant comprendre ce qu’elle comptait faire, elle plia doucement le bras l’attira à elle avant de la faire tourner sur elle même en refaisant glisser sa main pour attraper parfaitement la sienne.

En attrapant la main de l’amazone, Frédérique fit un tour sur elle même et se retrouva collée de dos contre tout l’avant du corps voluptueux de la jeune femme. Déposant ses mains sur sa taille, elle se laissa glisser le long de son corps, caresser de ses mains de son dos et de ses fesses, le long de son ventre, son bas ventre, ses jambes. Elle remonta dans un mouvement sensuel en prenant soit de faire légèrement remonter le bas de sa jupe et frôler un peu plus ses jambes nues. Elle n’arrêta le tissu qu’à la limite de l’indécence, à la limite de son intimité. Elle n’allait pas dévoiler à ses yeux dévoreurs, ce qu’elle se voulait pour elle seule ce soir, ou d’autres soirs si le désir la reprenait.
Elle se retourna enfin, tout en se frottant toujours contre elle leur deux corps. Elle avait laché le tissu de sa robe rouge d’une de ses mains, mais avant laissé l’autre sur celle ci qu’elle n’avait pas fait redescendre. Elle glissa son nez dans son cou, comme prête à la mordre. Mais elle ne le fit pas, se contentant de la faire reculer dans cette suspicion de tentation. Puis elle stoppa net le mouvement, pour à son tour reculer et la forcer à la suite.
Elle lâcha soudainement le tissu ainsi relevé de sa robe, qui reprit donc place, et se détacha de cette étreinte passionnelle et dansante.

Comme si elle appelait la dite Gabrielle à se saisir d’elle à son tour, elle passa ses deux mains derrière sa nuque, relevant ainsi ses cheveux et se donnant une attitude plutôt sauvage en balançant gracieusement ses hanches et sa taille…
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MessageSujet: Re: Une robe rouge [PV] Une robe rouge [PV] EmptyMer 16 Mar - 14:51

    Le jeu de séduction en était à une toute autre étape. Comme provoquée par l'attitude de Julie, Frédérique était venue la rejoindre. On ne leur portait pas attention et pourtant, la danse qu'elles échangeaient aurait tôt fait d'être enviée par d'autres. Une énergie sensuelle et sombre s'échappait de la grande amazone qui adorait savoir Frédérique provoquée par un tel comportement. Finalement, leurs mains se sont touchées. La cressa ne laissa pas la résistante indifférente. Bien au contraire. C'était ce qu'elle avait espérée. Les mouvements de son bassin se voulaient toujours aussi invitants tandis que la sensualité de ses mouvements l'animait peu à peu avec plus de vigeur. Rapidement, si vite que Julie ne put saisir correctement ce qui s'était produit, la jolie demoiselle se trouvait dos contre son torse. La chaire de Frédérique éfleurait presque timidement la gorge volomptueuse de l'amazone. Les mains de la jeune femme se sont posées sur la taille de Julie. Elle aussi les sourcils et son sourire devint narquois. Son regard se posait presque possessivement sur la proie qu'elle convoitait. Autant attirée par les hommes que par les femmes, cette Frédérique l'avait immédiatement interessé. Ne seraitpas la beauté de son corps, la fermeté de ses cuisses, la couleur de ses cheveux ou el vert de ses yeux, elle lui avait tout de suite plut. Et voilà que Julie ne la laisserait pas partir sans avoir calmé sa soif de désir.

    Dans une caresse, les mains de la jeune femme ont descendus, caressants la courbe de son dos, effleurants les fesses fermes de la résistante. S'en suivis ensuite son ventre et son bas. Une frisson a parcouru chaque fibre du corps de la grande femme alors qu'elle regardait d'une flamme ardante la passion qui animait les gestes de sa coinvoitée. Elle remonta ensuite, sa peau touchait celle de ses cuisses. La jupe de Frédérique qui se frippait déjà. Un autre sourire, cette fois-çi provocant, c'est affiché sur le visage de Julie qui continuait de balancer sensuellement le bassin de gauche à droite, puis de droite à gauche. Presque déçue, elle dû se résigner à ne pouvoir qu'observer cette partie de chair que lui offrait Frédérique. La dominante, c'est-à-dire Frédérique, s'était retournée, face contre face. Julie affichait toujours ce regard passionné et amusé. Les mains de sa convoitise s'étaient refermées contre la robe rouge qui couvrait le corps basané de la belle brune. Son visage s'est avancer et Julie fit rouler sa tête sur le côté tandis qu'elle sentait le souffle frais de la demoiselle contre sa peau brûlante. Elle fut caresser par le bout de son nez, mais cette échange s'est arrêté là.

    Finalement, elle s'éloigne ; c'était maintenant au tour de Julie de prendre les devants. Pendant quelques instants, elle s'attarda à regarder impudemment le corps mouvant de Frédérique. Elle laisse un rire s'échapper, puis, elle s'avance vers elle à pas longs, tranquilles et confiants. Avec confiance, lorsqu'elle fut tout près d'elle, Julie a attiré Frédérique contre elle presque trop brutalement. La main de Julie s'est glissée doucement contre la joue de son amante, pour s'en aller vers son cou. Volontairement, elle laissa ensuite sa main glissée jusqu'à sa poitrine, puis elle elle la glissa finalement jsuque dans le bas de son dos. Ses yeux n'avaient toujours pas quitter le regard de la belle jeune femme. Légèrement plus grande qu'elle, Julie observa sa réaction alors que son autre main la tenait toujours fermement par la taille tout contre elle.

    Alors, tranquillement, elle la coutourna, tournant autour d'elle comme une lionne devant sa proie prise au piège. Une fois derrière elle, ses maisn se sont attardée à caressé sa nuque, puis ses épaules. Une fois là, elles firent doucement glissées les manches de son haut. Sans être indécents, elle offrait simplement à sa vue un peu plus de chair. Sa tête s'est doucement evancée et ses lèvres ont doucement glissée contre sa peau. Un doux parfum a alors immergé les poumons de la résistante qui ferma les yeux pour mieux els sentir. Elle s'impreigna de cette douce odeur un instant et ses lèveres ont alors glissées tendrement contre la peau de sa nuque. Conservant son attitude calme, elle écarta les épais cheveux de Frédérique puis elle fit glisser son nez contre sa peau. Encore une fois, envahit par l'odeur de son parfum. Elle se décida finalement a embrassé doucement sa peau et en la mordillant tout en s'assurant qu'elle ne lui faisait aucun mal.
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MessageSujet: Re: Une robe rouge [PV] Une robe rouge [PV] EmptyVen 18 Mar - 15:40

Frédérique avait passé ses deux mains derrière sa nuque, relevant ainsi ses cheveux et se donnant ainsi une attitude plutôt sauvage en balançant gracieusement ses hanches et sa taille au rythme de la musique. C’était un appel à la tentation. Elle aimait tenter comme être tentée. Le parfum qu’elle avait eu l’occasion de s’imprégner d’elle quand elle avait glissé son nez dans son coup avait renforcé son désir. Le bout de chair qu’elle avait eu l’occasion de caresser quand elle avait soulevé le bas du tissu de sa robe rouge avait renforcé son désir. Elle la désirait comme elle voulait être désirée. Il n’y avait pas de place aux sentiments dans ces moments là. Juste au contact et au plaisir charnel. L’être humain n’était pas fait pour être seul, pour se contenter seul.

Depuis son adolescence, plus exactement depuis le premier meurtre qu’elle avait donné pour venger la mort de ses parents et ainsi entrer dans son coté le plus obscure. Elle avait pris gout dans la chair et les plaisirs charnels, et pourtant elle était encore jeune à l’époque. Mais l’âge n’avait pas d’importance dans ces moments, les maisons, les rivalités, les sexes n’avaient pas d’importance. Ce qui comptait était le but et le résultat à donner. Plaisir, désir, passion, soupir. Elle aimait s’offrir et recevoir. Que ses proies soient des hommes des femmes, des jeunes hommes ou des jeunes femmes ou des jeunes filles, elle prenait plaisir dans les bras de chacun d’entre eux. Les uns pour leur tendresse, les autres pour leur brutalité, certains pour les deux à la fois.

Alors qu’elle se mouvait, les yeux clos pour s’imprégner encore de l’ambiance et calmer ses pulsions pour ne pas se jeter déjà sur elle, ses pensées prirent le dessus.
Elle voyait Scofield pour qui elle aimait se donner avec violence. Au départ elle avait espéré de lui une ascension et une protection sure. Mais elle s’était fait avoir et lui aussi. Il lui avait ordonné le silence sur leur liaison et elle ne savait jamais avec exactitude où se placer par rapport à lui. Elle l’aimait, il l’aimait mais leur devoir comptait plus que l’amour et leur lien était froid et distant.
Elle voyait Evans pour qui elle aimait leur rapport délicat et hésitant. Mais si elle dévoilait ses sentiments officiellement, elle était persuadée de la mettre en péril, de se mettre en péril. L’amour qui brulait en elle pour elle ne pouvait être dévoilé. Son amant pourrait les tuer, le Seigneur des Ténèbres pouvait tous les éliminer pour s’être laissé prendre par la faiblesse des sentiments tendres.
Mais LeeRoy ne parvenait pas à s’en détacher, ni de l’un ni de l’autre. Alors comme pour oublier, comme s’évader, comme pour ne plus avoir mal, elle se donnait à d’autres. Les plaisirs charnels n’enlevaient pas ce qu’elle ressentait. Ça ne durait qu’un instant. L’amour lui était permanent.

Quand elle ouvrit à nouveau ses yeux chocolats, elle vit la dite Gabrielle s’attarder impudemment sur son corps. Elle la désirait, la moitié du chemin était faite. Encore quelques efforts et elle la possèderait. Elle l’entendit rire et cela la fit hausser un sourire alors qu’elle s’avançait enfin vers elle. Elle appréciait leur jeu de séduction. D’ordinaire, c’était elle qui séduisait et il était plaisant de sentir qu’on la désirait, qu’on voulait lui faire monter son désir.
Avançant toujours, d’un pas long, tranquille et confiant, mais quand elle fut assez proche pour la touche, elle se montra brusque et brutale. Frédérique aima cela et enfin, elle se permettait de la toucher réellement, sans caresse, dans hésitation. Penchant la tête sur le coté pour apprécier la caresse qu’elle lui faisait sur sa joue, elle la laissa aller vers son cou. Retenant un soupir quand sa main glissa sur sa poitrine fine, la caresse ne dura pas puisque sa main allait dès dans le bas de son dos.
Elles ne se lâchaient pas du regard. L’une plus forte et plus grande, l’autre de taille moyenne mais fine et élancée.

Mais l’amazone la lâchait déjà pour la contourner comme pour faire d’elle sa proie. Elle reprit la précédente position adoptée par Frédérique un peu plus tôt, plaquant son torse contre son dos. Mais au lieu de danser en se frottant à elle, elle se contenta elle, de dégager ses épaules pâles et d’y déposer ses lèvres alors qu’elle s’emparait de sa taille dans une caresse. Elle l’embrassa enfin sa peau, y glissant son nez où elle ressentait son souffle sur elle, la mordillant même sans réellement la mordre. La tête toujours penchait sur le coté, elle appréciait ce baiser remplit d’envie. LeeRoy glissa sa main sur la nuque de la jeune femme, glissant ses doigts dans ses longs cheveux, renforçant ainsi ses baisers, réclamant ainsi d’autres encore.

Mais elle se dégagea soudainement, riant comme Gabrielle avait ri un peu plus tôt en la regardant. Mais elle ne s’éloigna pas, elle s’était seulement contenter de se retourner et lui faire face. Proche, si dangereusement proche. Mais son étrange calme la troubla, la percuta, elle qui bouillonnait depuis le début, elle qui se trouvait plus sauvage, plus provocante, plus impulsive.
Frédérique, face à cette belle femme pulpeuse et aux formes désirables, vint à se coller parfaitement contre elle. Elle glissa à nouveau ses lèvres sur son cou, inspirant son parfum diabolique, remontant du bout de sa langue jusqu’au lobe de son oreille alors que sa main droite glissait le long de sa robuste taille. Frottant sa joue contre la sienne, elle fit remonter sa fine jambe gauche le long de la cuisse musclée de la jeune femme. Arrivant à sa hanche, elle l’enlaça de sa jambe. Elle colla ainsi leurs bas ventres, leurs poitrines. Les caresses de leurs joues la mena jusqu’à rejoindre leurs lèvres.

Le baiser ne fut pas immédiat. Les lèvres se caressaient sans s’emparer de l’autre, accentuant le désir, mêlant leur souffle. Du bout de sa langue, elle lécha délicatement la lèvre supérieure de la belle amazone avant de passer sa langue sur ses propres lèvres.
Elle sourit à nouveau en coin s’imaginant arracher sa robe, l’imaginant arracher ses propres vêtements qui l’oppressait, l’étouffait, la gênait. Elle avait chaud, elle voulait pourtant bruler encore plus de ses caresses.
Elle se serait montrée dominatrice avec elle, mais elle voulait être dominée.
Elle voulait qu’elle l’enlève, qu’elle la dévore de cette passion.
Oubliant ses soucis, s’oubliant un instant… oubliant un instant… sa vie…
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