| [Finish]Un samedi après-midi comme les autres...(Malachy) | |
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♠ Date de naissance du joueur : 28/07/1993 ♠ Âge du joueur : 31 ♠ Arrivé sur Poudnoir : 25/07/2011 ♠ Parchemins postés : 601 Théodora Malaria
| Sujet: [Finish]Un samedi après-midi comme les autres...(Malachy) Lun 23 Avr - 4:25 | |
| Un samedi après-midi comme les autres dans la Grande Salle, une fois n’était pas commune la jeune fille n’était pas là pour boire ou manger, ni pour réviser d’ailleurs, elle se contentait seulement de jouer aux échec, elle était seule bien sûr, elle n’avait pas vu Kessy aujourd’hui, Théodora ne s’en inquiétait pas, ça lui arrivait, son ainée devait probablement sortir avec un garçon, et ça lui permettait au virus de souffler, elle aimait sa camarade mais elle était étouffante à la longue, donc elle appréciait sa solitude éphémère… Elle ne faisait que perdre, à chaque fois jamais elle ne gagnait, quoi qu’elle fasse le résultat était le même : échec sur la reine, l’adolescente n’avait pas de chance, c’était comme ça, le hasard était contre elle, toujours tomber sur le mauvais roi, le constat pour elle était évident, elle ne savait pas jouer mais c’était faux, elle était bonne et connaissait les règles, mais quand l’adversaire est grand l’échec et inévitable, tout aussi intelligent que l’on puisse être. Elle en avait assez, ça ne rimait à rien, pourquoi perdait-elle ? Pourquoi jouait-elle, si c’était pour perdre ? Elle le savait mais elle posait quand même la question, stupidité ou reniait-elle l’évidence ?Elle aimait ça, elle adorait jouer, une passion qui la consumait, mais elle continuait, encore et encore elle recommençait la partie, mais les vies ne sont pas illimités, et un jour échec et mat. Elle avait enfin fini de jouer, seul elle ragea le jeu d’échec, pièce par pièce, couleur par couleur, elle tenait à ce jeu d’échec, un des seuls bien que lui avait légué son père, ce n’était pas particulièrement une belle pièce, mais l’échiquier avait été construit et enchanter par son géniteur, sa valeur était donc unique, elle glissa par la suite le jeu dans son sac, et quitta la table des aigles, elle avait assez joué elle devait aller réviser. Mais le sort en décida encore autrement, alors qu’elle quittait la grande salle, dans l’un des couloirs attenant, elle se heurta à jeune homme, l’impact les firent chuter, la jeune fille se maudit ne n’avoir pas fait plus attention, avant de reporter son courroux sur le garçon, un gryffondor, encore du rouge, elle haïssait le rouge, mais cette couleur la suivait encore et encore, rengaine éternelle, elle savait qui il était, Malachy M. Parch, était son nom, Kessy l’avait placé dans le top ten des beau mecs de Poudlard, et elle lui rabâchait tous les jour, pour tenir compte des évolutions, sans Kessy, Théodora ne saurait rien sur personne, en bonne misanthrope . « Tu peux pas faire attention ?» Reportant son intérêt sur ses affaires éparpillé au sol, l’échiquier s’était ouvert, laissant échapper, les pièces, elle était de plus en plus furieuse, si jamais l’une d’entre elles étaient cassées, elle le tuerait mais heureusement pour lui, aucune n’avait souffert, une fois les affaires de nouveau dans son sac, elle reporta de nouveau son attention sur le lion qui était toujours la car il ne pouvait aller nulle part la fillette bloquant le passage, mal lui en prit, elle devait passer ses nerfs et Malachy serait parfait pour cela. « Je peux savoir ce que tu foutais la Malachy ? Cela t’amuse de bousculer les gens ? » Pendant qu’elle déchargeait sa verve sur le pauvre homme, elle releva ne pouvant pas rester au sol éternellement.. «Tu sais quoi ? Espèce de verracrasse ! » Une nouvelle partie allait elle commençait ?
Dernière édition par Théodora Malaria le Mar 1 Mai - 1:36, édité 1 fois |
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♠ Date de naissance du joueur : 15/11/1989 ♠ Âge du joueur : 34 ♠ Arrivé sur Poudnoir : 18/04/2012 ♠ Parchemins postés : 339 Malachy M. Parch
| Sujet: Re: [Finish]Un samedi après-midi comme les autres...(Malachy) Lun 23 Avr - 12:24 | |
| Un Nouveau Samedi, une nouvelle journée où la comédie devait durer encore plus longtemps et inlassablement douloureuse. Que devrait-il faire encore aujourd'hui. Quel acte devrait être préparé pour être détesté, voir haï par les élèves. Rien qu'à cette idée, un frisson le parcourut. Mais il ne pouvait faire autrement. Resté dans la salle des gryffondor? Trop suspect et ce n'est pas ainsi que les choses avanceraient, et puis il avait accepté ce sort.
Bref, il se prépara rapidement, et comme s'était un Samedi, la tenue était libre. Parfait il n'avait plus besoin de porter ces tenues ridicule de sorciers apprenties. Il enfila alors un Jean d'une belle facture, mettant en évidence sans qu'il s'en rende compte, ses fesses musclé. Et un débardeur noir, faisant ainsi ressortir ses musclé et ce corps parfait, mais surtout ses yeux d'un bleu cyan magnifique. Le jeune homme, avec les années, avaient comprit qu'il attirait les filles, sans réellement comprendre pourquoi. Mais s'était un fait, beaucoup le suivait de partout, ou ne se gênait pas de le regarder avec insistance et envie. Mais peu allait à l'aborder, sa lignée reconnu, notamment par son père avait de quoi inquiété. Le magemort Parch était reconnu au sein du nouveau régime. Un des plus fervents partisans du Lord et bien influant dans ce monde de la magie. Certaines rumeurs courraient même sur cette famille, à propos de leur vision de grandeur et de leurs envies de se rapprocher au plus possible du Lord. Mais bon vous connaissez, dans ce nouveau monde, les rumeurs vont bon train, la paranoïa guette la plupart des gens donc retirer le vrai du faux...
Il était fin prêt, mais qu'allait il faire de cette journée? Bonne question, il s'empara de certains livre afin d'étudier, même si rien n'était sûre. Étude? Sport? ou simple ballade? Il verrait bien le moment venu. Il descendit de la tour, croisant de rare élèves restaient. Ceux-ci le regardèrent, certain inquiet, d'autre hypnotisé par son charisme, et une dernière catégorie féminine obnubilé par son corps et ses yeux. Si seulement elle savait? Seraient-elle toujours autant après lui? Après réflexion, question bête, elles étaient attirées par son physique, donc peu importait ses goûts autant en matière de filles... que de mecs. Finalement il avança machinalement, les yeux dans le vide en direction de la salle commune, ne prêtant plus attention aux personnes qui l'entouraient, ni aux jeunes filles qui tentaient de le suivre. Non Malak était entré dans sa bulle, une certain façon de se protéger. Et alors qu'il continuait ainsi, et s'aventure dans la salle commune direction les tables des gryffondor, et probablement la horde de filles surexcitées qui le rejoindraient, un choc violent se fit sentir, au niveau de son torse développé. IL perdit un instant l'équilibre, mais se rattrapa aussitôt, portant son attention sur l'origine de l'impact.
Finalement il aperçut une jeune Serdaigle, assis sur les fesses. Un laps de temps si court que ceci aurait pu faire croire à un mirage, il la regarda avec une certaine détresse et souffrance. Voilà la première action qu'il devrait faire, rabattre le clapet de cette jeune fille, qui au final n'avait rien demandé. Et puis dans un certain sens, il l'admirait pour lui parler sur ce ton. Un brin de femme avec un sacré caractère, mais en avoir un trop gros pouvait parfois se relever fatal ici. Surtout face à Malachy, qui devait garder sa réputation, cette réputation qui le dégoutait tant. Mais voilà les hostilités étaient lancées par la jeune élève. Un instant, il pensa à une certaine époque, où les relations entre les maisons n'étaient pas si négative, ce n'était qu'une question de rivalité amicale la plupart du temps. Mais maintenant, il pouvait y avoir de tout, comme les prochaines minutes pourraient le montrer peut être. Un énième "combat" entre un lion et un aigle allait-il commençait?
Prenant sur lui, et ne souhaitant pas faire trop d'histoire, du moins plus qui il y en avait. Surtout qu'une horde de fille s'était amassée non loin, regardant la scène et surtout maudissant la serdaigle qui avait bousculé leur "Dieu". Si des regards pouvaient tuer sur place la pauvre fille aurait deux pieds sous terre. Mais Malachy ne souhaita pas de duel ni aucun risque, il la regarda de haut en bas sans une parole, pour la jeune fille. Son regard glaciale et hautain, comme s'il ne prenait aucune attention à cette fille qu'un simple ver. Alors qu'il connaissait cette fille, sous le nom de Théodora Malaria, le Lion avait bonne mémoire, et dans cette école, il valait mieux retenir chaque personnes. IL décida de forcer le passage et passer, sans avoir prêté attention aux paroles de Théodora, mais alors qu'il allait continuer ainsi son chemin, la fille eut des paroles que Malachy regretta.
~Pourquoi as-tu dis ça.... Pourquoi?~
Dos à la fille et visage à couvert de quiconque, il leva les yeux en l'air de souffrance, puis les ferma. IL se sentait torturé, mais il ne pouvait laisser passer une telle insulte. Il entra dès lors dans son personnage.
Toujours le Dos tourné à son interlocutrice du moment, sa voix tinta froide et terrifiante, certains élèves assis à côté d'eux, se précipitèrent à fuir, connaissant la réputation du Parch. La voix de lion était étrangement calme, posé et parvenait aux oreilles telle un chuchottement.
-Comment m'as-tu appelé? Comment as-tu osé? Moi qui, dans mon infinie bonté souhaitait être magnanime.
IL se tourna pour se retrouver nez à nez avec l'aigle, l’atmosphère était tendue, et la horde de filles était partagé entre l'excitation de voir malak dans cet état et l'inquiétude. Mais même dans un tel comportement, la plupart des filles le pensaient encore plus "canon" pour reprendre leur terme. La colère embellissait certaine personne, dont Malachy en faisait parti. Une dangereuse beauté fatale. Sa voix retenti une deuxième fois comme le clairon annonça le danger, et même si Malachy ne souhaitait pas combattre, il espérait trouver rapidement une échappatoire:
-Sais-tu à qui tu parle? Soit c'est un trop de courage ou de la folie?
Mais intérieurement Malachy, comme une personne totalement différente pensait à autres choses:
~Ne répond pas...ne répond pas et rebrousse chemin, je t'en supplie! ~
[Ps: pour être sur, je précise que le rouge foncé avec les vaguelettes sont les pensées de Malak. Alors que le Cyan avec un simple tiret sont ses paroles.] |
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| Sujet: Re: [Finish]Un samedi après-midi comme les autres...(Malachy) Mar 24 Avr - 0:44 | |
| « Comment m'as-tu appelé? Comment as-tu osé? Moi qui, dans mon infinie bonté souhaitait être magnanime. » Un groupe de groupie cria le nom du jeune homme, son assurance et son éloquence faisaient son petit effet, c’était sûr une même alla jusqu’à s’évanouir, ce qui l’exaspéra à un point, à suivre tous les jours un garçon et s’extasier de l’intégralité de ses faits et gestes, ces filles n’avaient pas de vie selon l’aigle, de plus elle détestait les gens prétentieux, et le gryffondor semblait en être un. « Tu es sourd en plus d’être un empoté ? Mais je vais être gentille, VERRACRASSE !Tu veux peut être que je te l’épelle ? » «Sais-tu à qui tu parle? Soit c'est un trop de courage ou de la folie? » C’était de la folie probablement, Théodora n’était pas courageuse loin de là, certes l’adolescente faisait face aux événements sans brocher, elle ne fuyait jamais, mais ce n’était pas de la hardiesse mais de la fatalité. « Oui je sais très bien à qui je parle ! Un bellâtre qui pose des questions idiotes, Malachy Parch, sombre imbécile, de chez les lions qui toujours poursuivis par une troupe de pintade écervelé !J’ai juste, non ?Ou tu attendais une autre réponse, je la refais donc ?» Elle lui sourit moqueuse, la bleue pressentait tout de même, que cela allait finir par se gâter, le jeune n’appréciait visiblement pas de se faire insulter, il avait peu de personne qui aimait d’ailleurs. Elle avait donc décidé de s’amuser un peu avant, et elle reprit la parole avec une voix faussement apeuré, tout en mimant outrageusement la faible femme. « Si te plais ne me fais pas de maal ! Je…Je suis une pauvre jeune fille sans défense, je…Je suis à ta merci, Je me romprai comme une brindille sous tes mains puissante, ô beau brigand ne me brise pas le coup ...La vie sauve je pourrais faire tous ce que tu voudrais…Tous .» Et elle éclata de rire, c’était vraiment ridicule ce qu’elle venait de dire, mais elle s’amusait, reste à savoir le jeune homme trouverait cela drôle, elle en doutait fort il ne semblait pas être le genre de gens aimant rigoler, de plus elle s’en fichait, enfin du moins, si il ne la prenait pas au mot, devenir le larbin complétement gaga de son tortionnaire était très peu pour elle. « Alors mon cher, on fait quoi ?Quelle serra ta sentence, pour que j’ai osé d’insulter ?Je te conseille vivement de faire discret, au cas où tu serais aveugle en plus de sourd, tout le monde nous regarde, et de plus les profs ne sont pas loin, tu ne voudrais pas avoir une retenue, hein petit lionceau ?» Oui elle ne risquait rien, il ne semblait pas être idiot, qui se lancerait dans un combat avec la moindre provocation, il devait être intelligent, ça se voyait elle devait le reconnaitre, malgré le fait que présentement elle avait envie de lui taper sur la tronche, et lui aussi surement, car il était peu probable que le jeune homme soit emplit de belle valeur, souhaitant défendre la veuve et l’orphelin… « Tu sais je ne suis pas contre de régler nos comptes, mais je me doute que tu veux ça bien visible, sinon tu ne pourras pas te pavaner… » C’était désormais une habitude, elle aimait chuchotait à l’oreille des gryffondors, tantôt sensuelle tantôt énervée mais cette fois elle était moqueuse. « ….Mais moi je préfère l’intimité… » Et amusé la jeune fille repartit dans la direction opposé… |
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| Sujet: Re: [Finish]Un samedi après-midi comme les autres...(Malachy) Mar 24 Avr - 13:50 | |
| Alors que le Lion la regardait avec un regard bien étrange, mais bien inquiétant. IL espérait continuellement que sa réputation le devance et qu'elle ne tente rien. C'était les seuls fois où il souhaitait réellement qu'on le craigne juste par sa réputation et son sang. Mais ce ne fut pas le cas. Et en son fort intérieur, Malachy fut attristé car jamais il ne pourrait laisser une telle situation passer si facilement. Non seulement s'était pour son bien à lui évidement, mais aussi celui de tant de personnes. Il était prêt à s'en prendre à des personnes pour sauver le plus grand nombre. Il avait accepté de se salir les mains. Oui il fallait entrer dans ses ténèbres pour les détruire de l'intérieur. Parfois ce n'est pas le bien qui triomphe du Mal, et quand ceci n'est pas suffisant, il faut trouver un plus grand mal pour détruire ce mal. Et , lui, serait ce mal. Lui serait prêt, et ceux malgré le soutien de rare personne, à se sacrifier s'il emportait le Lord avec lui. Et même si les gens connaitraient la vérité par la suite.
Elle continua à l'insulter, et au plus grand étonnement des spectateurs alentours et surement de cette Theodora. Le lion ne réagit pas, non il ferma simplement, les yeux soupirant, ceci aurait pu être interprété de différente façon, mais il laissa au bon choix du spectateur de se faire son interprétation. Après tout, il était assez mystérieux et impossible à cerner, qu'il se moquait de l'avis général. Non Malak ne réagit pas à ses insultes et cette pâle imitation de moquerie futile et gamine. Et même lorsque celle-ci éclata de rire, elle eut pour toute réponse un fin sourire sur le visage resplendissant du Lion. En un sens pas besoin de jouer la comédie, quiconque aurait été énervé par de telles paroles, et Malachy n'en fait pas défaut. Il était quand même un jeune homme sportif et intelligent, avec un caractère des plus fort. Impulsif et facilement en colère.
Ce que ne compris pas l'aigle, c'est que le Lion enregistrait toutes les informations, tous les dires de la jeune fille. Un prédateur devait frapper le moment importun. Le prédateur choisi sa proie patiemment, lui tourne autour, regarde les différentes possibilité et porte de secours. Quand finalement il se décide à agir, il avance pas à pas, sans que la proie se soucie. Le prédateur avance, ce n'est alors plus un soucie de lieu mais plus que de temps. Avant de finalement fondre sur sa proie, sans lui laisser aucune chance.
Malachy était conscient de ce qui l'entourait, des professeur, de la Horde de filles dont une "malheureuse" et insignifiante, ou insupportable fille qui s'était évanouit. En effet, il ne pourrait pas agir dans un combat, mais ce qu'elle ne savait pas c'est que le "Torturé" ne le souhaitait pas, il voulait éviter au plus possible cette situation. Si seulement il savait toute la vérité.... Puis il senti, que le moment était venu d'agir, alors que l'aigle avait changé de voix, il ouvrit instantanément les yeux, ceci brillant tel un phare dans la nuit, illuminant son visage et le rendant encore plus attirant. Fort heureusement seul l'aigle à cet instant pouvait voir cet étrange phénomène. Et à son plus grand bonheur, pas à la Horde qui ne cesserait de le poursuivre encore plus, si s'était encore possible.
Alors qu'elle rebroussa chemin, sous le regard furibond de la Horde, un main s'empara de son poignet, avec un forte pression, mais tout de même réduit pour éviter de lui faire mal. Étrange action pour quelqu'un qui souhaitait surement la tuer sur place, du moins à ce que pouvait penser les sorciers présent. Malachy retenait le poignet assez fort pour qu'elle ne se débarrasse pas de l'étreinte sans qu'il en est décidé, alors que son regard, aussi hypnotisant, dangereux, terrifiant mais à la fois attirant et magnifique, empêchait la jeune fille de tout appel de détresse ou secours. Non s'était juste entre elle et lui. Malachy était rentré dans son rôle à merveille et sans grande difficulté car poussé par la colère. Elle voulait de l'intimité, elle en aurait. IL s'approcha aussi sensuellement d'elle, comportement rare chez le Lion qui détestait draguer ou être draguer et qui de plus n'avait pas beaucoup d'expérience dans ce domaine, s'en moquant un peu. IL s'approcha donc d'elle pour être collé à elle, sous le regard médusé et haineux de la Horde. Des cris fusèrent et une tonne de questions jalouse de ces dernières. Mais peu importe, elle ne savait pas ce qui se passait entre les deux.
L'ayant prit par surprise dans un étreinte étrange et presque "amoureuse", il la regarda tendrement, du moins faussement. Il la regardait aussi tel un père regardant son enfant qui aurait fait une bêtise. Mais ce qu'elle pouvait ressentir surtout fut, la pointe d'un objet collé tout contre, elle et caché à tous. Elle seule pouvait le voir en regardant légèrement à l'origine de la sensation. La fameuse baguette de Malachy qui avait tant de fois servit lors de Duel, et tant de fois avoir failli prendre la vie des sorciers. Du moins en apparence car il évitait toujours in extremis de lancer de coups fatal. Bref, Malachy, lui sourit gentiment et ses paroles furent chuchoté calme et posé, ce qui rendait à la scène, un effet des plus inquiétant:
-Mhhhh, Maintenant que j'ai toute ton attention. Nous allons pouvoir parler tranquillement sans que quiconque est à nous entendre. Tu vois que je ne suis pas du genre à vouloir me pavaner, bien loin de là. Ta première erreur est de ne pas me connaître ma chère. Si seulement s'était le cas...
Il laissa mourir ces dernières paroles de façon absente et triste. Ce qui n'était à rien comprendre. Mais oui tel était le ressenti de Malachy, si seulement quelqu'un le connaissait vraiment. Si seulement il pouvait partager ce poids avec quelqu'un ou du moins en parler. Mais il reprit la parole:
-Alors reprenons du début, si tu veux bien, Point par Point. La famille Parch est une grande lignée de sorciers, et depuis l'avènement du prince des ténèbres, sont devenus les plus fidèle et influant serviteur dans ce monde magique. De plus faire ce que je veux, en effet tu pourrais, mais pas comme tu l'entends et pas de ton libre arbitre. Un simple mot, prononcé avec douceur et calme que personne ne puisse entendre et se douter de quoique se soit. Tu connais ce sort. Oui le légendaire sort de l'Impero. Et ne te fais aucun soucis pour moi, je suis à l'abri des professeurs. Pour refaire quelque peu ton éducation aussi, sache petit oisillon sans défense, que le lionceau peut mordre et mettre en charpie un si petit animal.
Malachy avait trouvé un moyen pour enfler sa réputation et la crainte qu'il pouvait procurer auprès des jeunes étudiants. IL fallait qu'il aille plus loin dans ce jeu qu'il s'était pré-construit. Et même si cela devait un peu plus anéantir son âme. Alors comme s'il était prit d'une folie consciente et maîtrisée, Malachy renifla la chevelure de l'aigle. Dans cet instant il se dégouta lui même, s'il pouvait il se serait lui même jeté de la fenêtre. Une larme coula le long de son visage impossible à identifier, une unique larme qui tomba sur le visage de l'aigle. Mais dont l'origine était inconnue. Mais il le lui laissa pas le temps de se poser plus de questions sur ce sujet là. Quand instantanément,il la fit tourner sur elle même, pour la mettre face à la horde qui ne cessait de fulminer et de lancer des propos haineux envers l'aigle, qui accaparer leur "Dieu". Il était prêt à prendre toute la haine et la colère de Théodora après ce qu'il allait lui proposer... Mais il le fallait, il fallait qu'il s’accapare son rôle dans les plus noir ténèbres de ce monde. Sa voix retenti au plus près de l'oreille de l'aigle.
-Mais rassure, toi. Je ne te ferais pas de mal. Appel ça comme tu veux, de l'admiration, du respect ou peu importe. Mais tu m'impressionnes par ton caractère, tenir tête au grand de ce monde. Mais méfie-toi un jour ceci pourrait te porter préjudice. Mais tu marques un points dans tout ce que tu viens de dire.
Il laissa un instant, le silence s'entretenir avec" la bleu", pour la laisser s’imprégner de la scène et surtout de la Horde qui était prête à lui arracher les cheveux si elles le pouvaient. Il voulait qu'elle réfléchisse à ce qui pouvait lui demander, à ce dont il parlait. Le " coup de grâce allait arriver, mais avec lui la torture atroce qui broyait son cœur et son âme. Décrétant que le silence de quelques secondes avait assez durer, il s'élança dans son ultimatum.
-Oui tu as raison, sur un point. Et je pense que tu vois où je veux en venir. En effet ces filles sont des écervelées qui m' insupportent autant qu'elles semblent t’insupporter. Je ne comprend en rien leur fonctionnement . N'ont elles pas un peu de fierté, leur vie est-elle si misérable que ça. Je préférerais qu'elles me lâchent, mais pire que des parasites, elle sont toujours plus nombreuses, plus folles. Mais toi, oh oui, toi je t'aime bien. Choisis-en une, n'importe laquelle, et je lui ferais subir ce que tu veux. Je la ferais souffrir si tu le souhaites. Tu es responsable de leur avenir, de leur vie...
Voilà le "pari" était lancé. Il était prêt à s'en prendre à l'une de ces jeunes filles. Il sauver la vie de cette aigle pour s'en prendre à une de la Horde. Un instant, il se vit dans un miroir son visage se déforma sous l'effet de la culpabilité, un étrange mélange de souffrance, de colère, une torture à l'état pure, que rien ne pouvait arrêter. Il se vit briser le miroir avec sa tête, du sang glisser inexorablement de son front... Telle était le puzzle de son esprit à ce moment. Il espérait que cette jeune Théodora, ne soit pas une de ces pro-régime qui était pour ce genre d'agissement, et qu'elle refuserait de lui donner de nom. Que cette entrevue resterait entre eux ou du moins grandirait sa réputation, mais qu'elle ne finirait sur aucun duel, aucune mal, aucune souffrance que la sienne et uniquement la sienne. IL relâcha, instantanément L'aigle pris au piège, pour se mettre dos à elle, observant la horde face à lui.
Malachy s'était considérablement radouci devenant un parfait gentleman, comme si toute cette confrontation privée n'avait jamais eut lieu, laissant douter même l'aigle d'une telle folie subite. La situation n'avait durer que d'infime minutes, mais le temps avait semblé s'arrêter pour leur duo. Malachy attendant l'ultime réponse, son âme saccager, son esprit en un duel constant avec lui même... Qu'allait-il se passer. |
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♠ Date de naissance du joueur : 28/07/1993 ♠ Âge du joueur : 31 ♠ Arrivé sur Poudnoir : 25/07/2011 ♠ Parchemins postés : 601 Théodora Malaria
| Sujet: Re: [Finish]Un samedi après-midi comme les autres...(Malachy) Mer 25 Avr - 1:07 | |
| Les deux jeunes gens se tenaient l’un contre l’autre, si proche l’un de l’autre que l’amour aurait pu naitre mais il en était rien, la bleue et le rouge n’étaient pas miscible, le violet ne poindra point dans le ciel de leur destiné commune !Liés par le poignet de la fille, le garçon l’empêchait de partir, la situation gênait la première, elle rosissait à vue d’œil, était-ce de honte ou de trouble ?Mais ce n’était pas tout baguette pointait, contre le cœur de la demoiselle, seul lui et elle connaissait ce petit secret .. Leur union bien que factice attira la haine, celles qui le désiraient, celles qui l’aimaient et celles qui l’adulaient, hurlèrent à la mort, réclamèrent la tête de l’impudente, qui avait touché le fruit défendu, si il n’avait pas été là, Théodora aurait été lapidé directement, sans autre forme de procès mais Malachy était entièrement responsable de cet état, sans lui ils en seraient pas là, chacun en paix de son coté, mais l’acte de guerre a été déclaré, si seulement il avait était resté muet aux provocations mais le virus savait que c’était pour mieux agir que le jeune homme s’était tut, pas pour autre chose… D’ailleurs la jeune femme suivit son exemple, elle fut muette à ses suppliques cependant elle ne l’ignorait pas, elle l’écoutait bien attentivement, surement parce qu’elle rien de mieux à faire accrochée à lui comme cela et aussi parce que quelque chose se jouait pour elle, sinon il n’aurait pas tenu lui en informer, ce qui fit penser que le bellâtre était fort serviable, ce qui était étrange quand même, en tenant quand même de sa réputation … La menace fonctionnait, la mort ne lui faisait pas peur mais perdre le contrôle total sur son corps, devenir moins qu’un humain, cela l’horrifiait, l’impérium, le plus puissant des trois sorts impardonnable, un pouvoir absolu selon elle car la souffrance et la mort n’est rien comparé au contrôle entier sur une âme, au grand jamais elle ne voudrait posséder cette puissance qui la dégoutait, même si avec elle serait enfin puissante, elle se fut encore plus alors attentive redoutant le pire. Ce qui lui fit ensuite ne fit que la conforter, dans cet état dégradant qu’il comptait lui attribuer sous impérium, pourquoi les sociopathes adoraient donc tant de renifler les cheveux de leurs victimes ? Faisait il cela pour faire enrager les groupies ?C’était efficace, c’était évident, ce qui était évident était que si elle sortait complète de ce petit interlude, la jeune fille aurait de nouvelle ennemie à rajouter à sa longue liste. Ce fut alors qu’une goutte d’eau chuta sur sa joue rebondit, dans un instant de stupidité la jeune fille pensa qu’il commencer à pleuvoir, mais elle réfuta cette idée honteuse, mais elle ne pouvait se résoudre tout même que cela soit une larme, pourquoi son agresseur pleurerait-il ? Il était gagnant sur toute la ligne, elle le canari, il était la cage, alors pourquoi pleurerait-il ?Elle résout donc croire qu’il s’agissait d’une simple goute de sueur. Ensuite le couple fit volte-face, tel un couple deux danseurs de tango, ils assuraient le spectacle, et la foule les acclamaient d’une manière peu conventionnelle il vrai, mais depuis l’altercation, elle ne cessait de s’accroitre, signe d’une d’indéniable bonne représentation… «Mais rassure, toi. Je ne te ferais pas de mal. Appel ça comme tu veux, de l'admiration, du respect ou peu importe. Mais tu m'impressionnes par ton caractère, tenir tête au grand de ce monde. Mais méfie-toi un jour ceci pourrait te porter préjudice. Mais tu marques un points dans tout ce que tu viens de dire. Oui tu as raison, sur un point. Et je pense que tu vois où je veux en venir. En effet ces filles sont des écervelées qui m' insupportent autant qu'elles semblent t’insupporter. Je ne comprend en rien leur fonctionnement . N'ont elles pas un peu de fierté, leur vie est-elle si misérable que ça. Je préférerais qu'elles me lâchent, mais pire que des parasites, elle sont toujours plus nombreuses, plus folles. Mais toi, oh oui, toi je t'aime bien. Choisis-en une, n'importe laquelle, et je lui ferais subir ce que tu veux. Je la ferais souffrir si tu le souhaites. Tu es responsable de leur avenir, de leur vie... »
Ce fut la qu’elle se décida enfin à lui répondre, aussi bas que lui, étant donné la teneur de la conversation, « Ce que je veux ?Elle est bien bonne… Leurs vies, leurs avenirs et leurs morts, je m’en contrefous ! Ce n’est pas moi qui suis persécuté à longueur de journée par ces gourdes! J’ai d’autres démons… Veux-tu t’en débarrasser, définitivement ? » Elle lui sourit, limite compatissante mais surtout curieuse, si il n’aimait pas avoir une cour c’était donc qu’il n’était pas aussi prétentieux qui semblait paraitre. « …Alors voilà ce que je veux. Choisis en une et embrasses-la n’importe laquelle, peu m’importe…Les autres déchues vont alors te haïr d’avoir choisi celle-là, et elles cesseront de te suivre, de traitant de goujat puis plus tard tu rejetteras cette sotte que tu auras choisi, et là elle aussi te haïra pour la même raison, sème la zizanie, dans leur groupe, c’est ce que je veux…» Au fond elle-même, Théodora espérait qu’il ne soit pas si mauvais… |
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| Sujet: Re: [Finish]Un samedi après-midi comme les autres...(Malachy) Mer 25 Avr - 14:02 | |
| A la subtilité des paroles pouvaient faire des miracle. L'utilisation des mots étaient une arme des plus puissante, que Malachy savait se servir. Et ceci à son plus grand soulagement dans ce jeu incessant. Mais pour le moment il attendait patiemment , attendant le verdict du juge. Attendant que l'objet de cette supercherie s'abatte. Il espérait une fin "heureuse" à toute cette altercation, mais la situation était poussée trop loin, et même s'il voulait toujours se jeter par une fenêtre, il ne pouvait pas rebrousser chemin.
Et LE verdict tomba, mais pas comme le Lion se l'attendait. Non cette Aigle était maligne, ce qui en un sens l'énerva mais aussi le fait sourire intérieurement. Son visage quand à lui n'exprima aucune émotion, il garda une parfaite maîtrise de lui même. Une phrase le paniqua toutefois, une unique phrase, mais lourde de sens. Et instantanément, il tourna son visage vers l'aigle se demandant, si elle était encore plus noir qu'un magemort. Ce qui ne semblait pas le cas jusqu'à présent. Mais alors pourquoi avoir dit cette phrase: " Veux-tu t'en débarrasser définitivement?" En effet, il lui avait proposé la vie de l'une d'entre elle ne pensant pas qu'elle rentrerait dans ce jeu là. Qu'elle était son idée, à quoi pouvait-elle penser. Devrait-il commettre son premier et réel méfait odieux et impardonnable?
Et pire dans tout ça, voilà qu'elle lui souriait d'une étrange manière compatissante. Personne n'avait encore jusqu'alors souri d'une telle manière. Oh ça non, on le craignait bien trop pour cela. Alors pourquoi elle oui. Était-elle encore plus "folle" que lui? Où cherchait t-elle finalement un Duel. Sa réputation même était à présent en jeu. Mais il écouta la suite du Monologue de l'aigle. Mais alors qu'il écoutait sans interrompre Théodora, il se mit à sourire à pleine dent, dent qu'il faut stipuler parfaite, rehaussant ses lèvres qui étaient un appel au désir. Non elle n'était pas folle, bien au contraire. L'aigle réfléchissait, elle était ingénieuse et futée, après tout son animal de maison était l'aigle et elle le représentait à merveille. Ses yeux Cyan brillèrent d'un éclat magique et hypnotisant. Personne ne pouvait penser qu'une telle beauté puisse avoir une telle réputation, mais comme dit le dicton: "IL ne faut pas se fier à la couverture d'un livre". Et dans le cas Parch, c'était d'autant plus juste au vu de son double jeu, on pourrait donc même dire: " l'habit ne fait pas le Moine".
Après l'annonce de la jeune fille, il se tourna vers la horde, observant cette troupe qui momentanément s'était tu, quand le regard se posèrent sur elle. UN silence instantané et net, qu'aucun ne pouvait penser possible, mais tel était l'effet que pouvait avoir Malachy sur cette Horde, à défaut de ne pas réussir à rester inaperçu. Il les observait intensément, ne prononçant aucun mot au dilemme que lui imposait Théodora sans qu'elle s'en rende compte.
Et oui pour une fois le Lion était en mauvaise posture. Soit il l'accepter son "challenge" mais ce qu'elle ne savait pas, c'est que jamais cette horde ne le lâcherait ainsi, elles reviendraient toujours et inlassablement vers lui telles des sangsues. Lui en vouloir, elle n'y arriverait même pas, non elle s'en voudrait à elle même de ne pas avoir été l'élu, et attendrait leur moment. Donc un tel acte ne servirait à rien, mais au moins sa réputation en sortirai grandi, même s'il n'en voyait pas l’intérêt. Il continua le fil de ses pensées, tout en lui posant une question ou du moins une exclamation:
-Dans le sujet, je te demande d'en choisir une, TOI! Je n'ai pas à faire ce choix, je te l'offre sur un plateau d'argent. Choisis-en une. Sent la responsabilité que tu prends en ayant choisi cette fille qui à jamais changera.
Peut être essayait-il de gagner du temps pour poser le pour et le contre. Mais s'était aussi une manière perverse d'infliger ceci à l'aigle. La perversion était l'un des plus odieux comportement que l'on puisse connaître, mais il s’était préparé à le jouer un jour. Mais revenons, à nos moutons. Donc soit il faisait souffrir inutilement et sans grande retombée une jeune fille, ce qui ne le plaisait guère. Soit il refusait cette demande, mais passer pour un faible auprès de l'aigle et surtout auprès des différents élève, cette jeune imprudente n'hésiterait surement pas à le crier sur tous les toits. Cruel dilemme dont il devait faire face. Mais une idée lui vint en tête, elle voulait jouer, il jouerait.
-Ok... comme tu voudras!
Les mots furent porter par le vent aux oreilles de la jeune fille, et sans attendre il fit quelques pas en direction de la horde. Une horde qui ne savait plus comment réagir alors que leur Dieu les regardait et s'avançait vers elle, un miracle s'opérait, un rêve... un rêve qui fut vite brisé. Le lion n'avait que quelques pas avant de s’arrêter net, un petit sourire étrange sur le visage et les yeux pétillant de malice. IL se tourna à nouveau vers l'aigle pour lui faire face.
-Mais avant tout. Je vais te poser une petite question. Tu ne sembles pas fille méchante. Tu ne sembles pas vouloir faire du mal aux personnes qui t'entourent. Et je ne pense pas que tu veuilles du mal, même à ces filles, malgré leur incompétence et leur stupidité.
Il les pointa du doigt devant l'incompréhension de cette Horde de fille, qui n'était pas assez proche pour entendre la conversation, mais dont elles savaient être le sujet. Au plus grand bonheur pour les plus naïve qui voyaient leur fantasme parler d'elle, et une certaine crainte des plus vive d'esprit. IL continua aussi paisible que jamais:
-Sache que me Haïr, elles ne le feront pas ou qu'un laps de temps aussi court que la vie d'un papillon. Mais regarde-les bien, regarde dans leur yeux, dans leur âme. Choisis en une, une seule, je peux faire ce que tu veux avec, rien que pour toi. Imprègne toi de son âme que je peux briser, sent la souffrance qu'elle peut ressentir, accapare toi en. Ce jeu pourra te changer à jamais, alors joue-le.
Il allait peut être un peu loin dans son procédé, et peut être pouvait-il vraiment la changer ce qu'il n'espérait pas le moins du monde. IL souhaitait qu'elle garde " son innocence". Mais ainsi, peut être, prendrait elle assez peur ou du moins conscience de ce qui pouvait se passer, pour finalement refuser tout ceci. Un stratagème risquait et dangereux, mais qui pouvait porter ses fruits. IL en connaissait un rayon sur ce sujet, car quand on regarde les yeux d'une personne, on peut voir son âme, comme on dit "les yeux sont les portes de l'âme". Peut être si elle voyait tout ceci, elle se sentirait responsable de leur vie, elle serait la main qui utiliserait l'arme pour faire feu. Il laissa mourir sa phrase, laissant tout le loisir à l'aigle de réfléchir acculé contre le mur. Lui laissant le choix d'abandonner et que tout finisse " bien" ou de continuer et qu'une personne en souffrirait grandement, en plus d'avoir la conscience non tranquille pour l'aigle. Mais pour l'empêcher de réfléchir plus longtemps, Malachy aboya:
-Maintenant, choisis-en une?
Pour être encore plus convaincant, il lui lança un de ses sourire sadique et carnassier, qu'il eut à utiliser dans de très rare cas, qui se compte sur les doigts d'une main. Ses yeux pétillèrent de perversion. C'était le summum de son jeu, il était prêt à endurer la colère de l'aigle. Mais il savait très bien qu'une fois seule avec lui même, il se haïrait d'autant plus, son âme pleurerait des larmes de sang, mais il avait la force de continuer et de le faire.
[HRP: désolé pas terrible j'aurais du poster dés hier soir, tant que les idées étaient chaude] |
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♠ Date de naissance du joueur : 28/07/1993 ♠ Âge du joueur : 31 ♠ Arrivé sur Poudnoir : 25/07/2011 ♠ Parchemins postés : 601 Théodora Malaria
| Sujet: Re: [Finish]Un samedi après-midi comme les autres...(Malachy) Jeu 26 Avr - 18:39 | |
| Elle ria fort amusé de sa réaction, quoi de plus drôle qu’ils se rejetassent le fardeau l’un l’autre, elle n’était point dupe il essayait bien de se défiler et elle le savait parce aussi elle n’avait pas voulu choisir, elle avait ses raisons il devait avoir les siennes, de une : elle ne connaissait aucun de leurs noms, elle savait pas qui elles étaient, de deux : elle ne voulait pas échoir de la responsabilité, elle était un monstre mais elle possédait encore son âme et c’était bien tout ce qui lui restait, aussi noire soit elle … Rupture, le lien s’était rompu enfin il la laissa, tel deux amoureux qui ne s’aimaient plus, l’homme l’abandonnant pour une nouvelle conquête, pas par pas il s’avançait près de sa prochaine proie mais à mi-chemin, le lion hésita, faisait il le mauvais choix, il fit volte-face, face à face à celle qui l’avait quitté, préférait-il son ancien amour ? Peut-être pas …. « Mais avant tout. Je vais te poser une petite question. Tu ne sembles pas fille méchante. Tu ne sembles pas vouloir faire du mal aux personnes qui t'entourent. Et je ne pense pas que tu veuilles du mal, même à ces filles, malgré leur incompétence et leur stupidité. » « Tu ne sais pas qui je suis, tu ne sais rien, strictement rien !Je suis loin d’être gentille mais tu as juste sur un point ces filles tant qu’elle ne me font rien, je ne leur ferait pas de mal… » Théâtral c’était le mot, tous les deux jouait la comédie, chacun dans un rôle qui leurs était taillé sur mesure, la peste et l’enflure, tous les deux jouaient un rôle mais quand cessaient ils de le jouer ?Cet comédie prenait fin ?Quelle était la limite entre la fiction et la réalité, qui étaient-ils réellement ?Elle ne le savait pas, elle aurait voulu le savoir, elle voudrait se comprendre… Il essayait tant de lui rendre responsable d’un crime qu’elle ne commettrait pas, elle était muette de dégout, comment avait-elle pu croire qu’une once de bonté subsistait en lui ?Elle était une imbécile, ce n’était pas un rôle, ce n’était- pas factice, c’était vrai, tout était vrai il était peut-être même pire qu’elle l’imaginait, vouloir le mal à tout prix, même si elle lui avait donné la solution la moins mauvaise, par compassion elle n’était qu’une sotte mais elle ne pouvait pas. « Maintenant, choisis-en une? » Maintenant qu’il était loin d’elle, la bleue aurait eu tout le loisir de fuir loin ce fou mais elle n’en fit rien pire elle le rejoignit, il était le mal et elle le savait, c’était une évidence, lueur d’espoir ridicule qu’elle avait eue… Ensemble, comme eux autrefois, son corps exprimait sensualité mais son visage, ses yeux et sa bouche exprimait le dégout et la tristesse soudain elle plaça sa main gauche contre sa joue on aurait pu croire tout d’abord à une gifle mais c’était plus une caresse qu’une mère aurait put donner à son fils .. Et yeux dans les yeux, enfin elle énonça son verdict « Si il faut choisir...» Elle prononça cette sentence avec rancœur, « …Celle qui recevra ton courroux serra…» Une larme perla sur la joue de la jeune fille, « …Théodora Malaria. » Et elle l’embrassa, mais ce n’était pas un baiser factice, bien au contraire, il était passionnel, les doigts dans ses cheveux blonds qu’elle aurait pu arracher tellement qu’elle les serrait si fort, mais ce n’était pas de l’amour celui-ci contenait la haine, toute la colére de l’aigle…. Quand leur lèvres cessèrent de faire une, que Théodora se retira de ses bras, elle retenait de vomir, malade, elle avait honte, elle avait l’impression des trahir quelqu’un, elle le haïssait à un point qu’il ne pouvait imaginer. « Le contrat est remplit, la fille à subit ce qu’elle devait subir » Elle savait que son subterfuge ne marcherait probablement pas mais elle avait tenté.. Hrp: J'ai prit beaucoup de liberté sur la fin ^^' si ça te convient vraiment pas je changerais ^^
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♠ Date de naissance du joueur : 15/11/1989 ♠ Âge du joueur : 34 ♠ Arrivé sur Poudnoir : 18/04/2012 ♠ Parchemins postés : 339 Malachy M. Parch
| Sujet: Re: [Finish]Un samedi après-midi comme les autres...(Malachy) Ven 27 Avr - 14:47 | |
| Surprise, moment à la hâte, sentiments submergeant et dégout puissant. Oui ce terme définissait bien ce moment. Alors qu'il pensait finalement la piéger, cette dernière s'approcha de lui avec Ce Regard. Ce même regard qu'il avait tellement l'habitude de voir. Non pas de la crainte cette fois-ci, mais du dégout et de la tristesse, une véritable haine. Malachy pensait avoir gagné ce petit manège, car enfin il voyait poindre en elle tous ces sentiments néfastes à son encontre. Parfait et ultime moment dans le jeu de l'acteur, quand on voit la finalité escomptait revêtir un véritable sucés.
Et même si ceci, le détruisait encore un peu plus de l'intérieur, il prit le mal pour du bon. Au moins, une en moins qui l'éviterait, une en moins qui pourrait parler à son sujet à des termes peu élogieux, voir abjecte. Même lui trouvait être allez loin avec elle. Enfin bon, savourant cette victoire passagère, il la laissa lui caresser le visage telle une mère avec son enfant. Enfin scène plutôt comique au vu de la différence de taille des deux protagonistes, et connaissant la situation des deux. Mais peu importe, Malachy souhaitait lui offrir cet instant, ce cadeau, même si elle ne s'en rendrait jamais compte. IL attendait la réponse à sa question, quelque peu déçu d'elle même, alors qu'il espérait qu'elle renonce et que tout rentre dans l'ordre. Mais non, elle allait dévoiler sa cible, le Lion même était pendu à ses lèvres. Mais rien n'aurait pu le préparer à ce qui allait se passer. Pire avant même toute action, il vit une larme perlait sur son doux visage de jeune fille. Ce fit un choc, le miroir se brisa en d'infime morceau. Malachy sembla instantanément figé, cette scène hantant à jamais son existence. Depuis toujours, il avait éviter ce moment où sa victime pleure, ou cette dernière verse une larme. OH sentiment humain si pure, versé par l’odieux acte d'un horrible personnage. Mais dans cet état second, il ne put même pas réagir, à l'approche étrange de "sa compagne". Et même alors, que la vérité était sorti de la bouche de l'aigle. Le lion se senti prit au piège, comme le chaton au prise avec un prédateur dangereux.
Elle l'embrasse donc, Malachy trop perturbé pour opposé une quelconque résistance, ce qui pouvait sembler bizarre. Il comptait sur la haine que l'aigle éprouvait pour lui, pour qu'elle ne se doute de quoique se soit. Un long baiser passionné, plein de haine et de rancœur. Pas le genre de baisers auquel on s'attend à la normal. Mais même dans cet acte hideux et repoussant pour l'aigle, le Lion trouvait là un salut pour son avenir. Quel pensée étrange ,vous allez dire? Mais oui quand son chemin n'a que pour finalité la haine, la solitude et au bout la mort inéluctable, ce moment semblait être une oasis dans ce désert. Incompréhensible me diriez-vous? Mais jamais vous ne pourrez comprendre, tant que vous n'aurez pas vécu pareil situation.
Et finalement elle se retira, brisant ainsi cet instant horrible et magique à la fois. Elle lui faisait face Terminant sa phrase au sujet d'un quelconque contrat. Mais le visage de Malachy d'habitude, si froid ou au contraire sans une once de sentiment, affiché quelque chose d'étrange. D'indescriptible, et surtout d'improbable. Malachy semblait absent, comme prit d'une transe. Son visage montrait l'horreur d'une révélation, la tristesse d'un poids mystère qu'il transportait. Et pire une lute constante en lui, comme si la souffrance en devenait insoutenable. Rien, pas même le hurlement de la horde ne le tirait de son état. Horde qui se contenait difficilement de sauter sur l'aigle, par la présence du Lion rouge. Malachy pouvait semblait un être totalement différent, voir faible, momentanément aux yeux de Théodora. Fallait-il craindre un tel comportement? Ou en voir un quelconque mystère à résoudre?
L'aigle s'était sacrifiait pour les autres, elle avait versé une larme par sa faute. Et elle avait ressenti cette haine que beaucoup ressentait pour lui. L'âme du lion n'était plus qu'une tempête destructrice, broyant et exterminant tout sur son passage. Une dépression pointait le bout de son museau, en son fort intérieur. Et ce qu'il redoutait tant pouvait arriver d'un moment à l'autre. Mais pire, il ne devait pas apparaitre comme un faible auprès d'une personne encore moins un aigle. Il ne pouvait et ne devait pas perdre sa réputation, son jeu d'acteur ne devait pas être révélait. Il devait agir donc rapidement, et encore plus horriblement que le commun des mortel. IL reprit alors pieds sur terre, mû d'une nouvelle détermination, ses yeux fort d'une assurance nouvelle et douloureuse. Il regarda intensément la "Bleu". Puis sa voix retenti en échos dans les oreilles de la jeune fille, et espérait-il dans son cœur.
-En effet, je ne connais rien de toi. Mais ne passe pas pour un être noir. Admet-le ou non, cache le ou non, mais tu n'es pas une personne mauvaise, et tu ne le seras jamais. Tu n'es qu'une simple fille perdue. Seule une personne aussi noir peut en reconnaitre une autre. J'ai dansé et embrassé les ténèbres de ce monde, elle parcourt toute mon âme et mon sang. Et je ne reconnais pas ceci en toi, non.
Telle une créature, son charisme enveloppa toutes les personnes autour de lui. Les tentacules léchant chacune d'elle, faisant ressentir son incroyable puissance charismatique. Malachy semblait prendre toute la place de la pièce, même la horde s'était tu devant un tel phénomène. Mais Malachy, le réfléchit, savait contrôlait son aura charismatique. Et se paroles avaient pour but, d'empêcher une âme encore saine, de suivre le chemin des ténèbres, mais ceci personne ne pouvait se rendre compte d'un tel subterfuge. Devenir ignoble et abjecte pour tenter de sauver une vie. Mais son jeu n'était pas encore finie, il n'était pas assez repoussant. IL s'approcha d'elle finalement, les yeux cyan pétillèrent d'une lueur sensuel et de provocation.
-Tu as parlé de contrat, mais il n'est pas encore fini, ma mignonne. Un contrat doit être signé par les deux intéressés. Tu as signé, je dois à mon tour signé.
Aussi agile et rapide qu'un félin, il s'approcha et s'empara du corps de l'aigle. Bloquant de sa force toutes échappatoires, un faux sourire, plein de désir affichait sur son visage. IL s'approchait lentement, pour que la jeune fille se rende compte que son "destin" était scellé. Mais alors que son visage se rapprochait, elle pouvait être seul spectatrice de ce qu'elle pouvait voir. De ce mirage improbable et impossible. Car oui les yeux de Malachy était rempli de larme contenu, des larmes qui depuis tant de temps espérait tomber, comme libéré d'un fardeaux impossible. Mais aussi d'un dégout pour quelques choses autres, que l'aigle ne pouvait deviner.
La horde ne pouvant plus se retenir se rapprocha, craintive en la présence de Malachy, mais désireuse de faire leur justice auprès de l'Aigle qui avait touché et usurper leur dieu. Ses lèvres si appétissante, elles s'imaginaient, les mains de l'aigle parcourant, le torse musclé de Malak. La douceur et le goût de ses lèvres si parfaite. Elle ne pouvait plus tenir. C'est à ce moment, que le lion relâcha sa proie, reprenant sa froideur habituelle. Faisant miroiter le pâle souvenir d'un instant étrange chez le Rouge. IL la regarda encore un instant dans les yeux sans dire un mot. Comme si cet échange muet avait pour effet d'une conversation télépathique. IL la regardait droit dans les yeux, le bleu de ceux-ci aussi brillant et magnifique d'un ciel sans nuage, brillant d'une vitalité et d'une force impressionnante. Aucune méchanceté ne semblait émanait de lui. Un échange particuliers, mystérieux et impossible à comprendre. Qui était Malachy réellement?
Mais brisant ce moment, la voix du Lion chuchota quelques mots à son oreille.
-A présent, le contrat est clôt, mais sache que ta vie ne sera qu'un enfer pendant un certain moment. Cette horde de prétentieuse ne cessera d'être après toi.
Il lui sourit, comme un gamin ayant fait une bêtise, mais aussi par jeu. Il fit le tour de la Horde de son regard intense, les arrêtant momentanément. Puis leur souri avec espièglerie. Comme le roi des animaux, donnant son feu vert, à ses subordonnées. Puis il reprit la parole en direction de l'aigle.
-Ah au faite sache pour ton info, que je ne sais pas le nom d'aucune d'entre elle. Mais bonne continuation à toi.
IL se détourna dés lors, son visage tournait à demi, alors que la horde rageuse regardait l'Aigle. Mais pour un derniers instant, seul Théodora pouvait voir le regard spécial de Malak, qui la regardait d'un œil. Son simple regard semblait s'excusait, et dans le plus profond du bleu cyan, une dernière larme mourut. Mirage dans le désert insondable de l'être Malachy. |
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♠ Date de naissance du joueur : 28/07/1993 ♠ Âge du joueur : 31 ♠ Arrivé sur Poudnoir : 25/07/2011 ♠ Parchemins postés : 601 Théodora Malaria
| Sujet: Re: [Finish]Un samedi après-midi comme les autres...(Malachy) Mar 1 Mai - 1:33 | |
| Face à face, c’était à elle d’entendre le verdict, elle le savait son pari était risqué, et elle le perdrait à ne pas en douter, elle était une perdante, mais jamais encore le coup fatal lui fut porté, mais ce jour viendrait peut être, un jour échec et mat à la reine noire. Il clama encore la pureté de l’aigle, le jeune homme se raccrochait tenace à cette ridicule idée, et il ne voulait admettre qu’il avait tort comme si il ne pouvait voir que les siennes, étaient-elles si opaques, si infranchissables ?Il se complaisait dans sa solitude et son mal être et il rejetait ses pairs, ses frère d’arme, il ne se créait que des antagonistes, et jamais des alliés. « Alors tu ne sais pas reconnaitre ce que tu embrasses, tu es aveugle et tu n’as pas de gout! » « Tu as parlé de contrat, mais il n'est pas encore fini, ma mignonne. Un contrat doit être signé par les deux intéressés. Tu as signé, je dois à mon tour signé. » A ces mot l’aigle déglutit, elle comprit instantanément ou il voulait en venir, le lion fit rapidement les quelques pas les séparant et il l’attrapa, elle essaya en vain de se débattre, de s’échapper mais il avait trop de force, il était bien plus fort qu’elle et il força ses lèvres sans autre forme de procès, pourquoi faisait il cela, une fois ne l’avait pas suffi ? Aimait-il tant cela ? Mais alors pourquoi ces yeux larmoyant ? On peut pleurer de joie, mais ces larmes ici n’était pas dû à de la gaité, oui le sentiment premier était bien la tristesse, oui les goutes salées qui coulaient sur leurs joues, elle avait honte d’elle mais lui qui pleurait-il ? « A présent, le contrat est clôt, mais sache que ta vie ne sera qu'un enfer pendant un certain moment. Cette horde de prétentieuse ne cessera d'être après toi. » « Et tu es content ?De toute façon, j’ai l’habitude… » La groupe de dinde était prêt à attaquer la serdaigle elle s’en était rendu compte et elles n’hésiteraient pas, elles étaient idiote, mais Théodora ne l’était pas, elle avait un plan mais elle devrait faire vite, ou sinon elle se ferait probablement lapider par ces gueuses. «Ah au faite sache pour ton info, que je ne sais pas le nom d'aucune d'entre elle. Mais bonne continuation à toi.» Et il connaissait le nom de Théodora…C’était une menace du moins, la jeune fille le prit comme tel, il serait amené à se revoir, et la…Non elle ne voulait pas imaginer, c’était bien trop terrible, ellle devrait donc l’éviter, à tout prit ce type était malade, dire qu’elle avait crut un jour que son russe était fou, elle s’était rendu compte de son erreur et là aussi, monstre… Et ce fut la que tous se passa très vite, une fois que le gryffondor eu quitté le couloir les filles s’élancèrent sur la bleue, elle n’avait pas la moindre envie de se battre, elle n’avait pas le cœur à ça, complétement dégouté parce ce qui venait de se passer, elle exécuta son plan, très simple mais assez risqué, l’objectif la porte de la salle des professeurs le problème la horde, elle courra donc aussi vite qu’elle le put, et finalement elle put toquer à la porte souhaité, mais la horde était à ses talons, si elle ne s’ouvrai pas maintenant, elle allait pendre cher, mais heureusement pour elle il avait quelqu’un. « Oui ? Qu’y a-t-il Théodora ? » Le virus aurait préféré une personne autre que cet hurluberlue qui leur servait de professeur de botanique, mais il ferait l’affaire… « Bonjour, c’est justement vous que je cherchais j’ai des petit problème avec les notions que vous nous avez inculquer au cours derniers, est ce que je pourrai avoir des éclaircissements ? » « Si vous voulez, veuillez me suivre à l’intérieur, nous serions mieux pour que je vous explique.. » « Bien sur ..» Et ainsi que Théodora se débarrassa, des démones, du moins pour l'instant.... |
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