FlashBack.

Gabriel Lestrange, il avait beau être connu de tous, les élèves de Poudlards le voyait de moins en moins. Il se faisait discret, rasait les murs, s'absentait souvent du château pour poursuivre son ascension vers la puissance avec l'aide de son mentor, Lars Menroth, rare son ceux qui magne aussi bien la baguette que lui, ses cicatrices parles de son expérience. Lestrange était en ce moment comme le calme avant la tempête. Des rumeurs toujours des rumeurs, certaines circulaient disant que le règne de l'élite sur le château était arrivé à son terme, d'autre disaient que Gabriel avait abandonné sous le poids de la résistance, et enfin, que Gabriel ne faisait que devenir plus fort, jours après jours, pour revenir avec encore plus d’impacts ; Là était la vérité. Au jours d'aujourd'hui, seul la lumière était visible, mais.. Par delà les hautes collines, la pénombre grandissait. De la lumière jaillira les ténèbres. Habillé d'un costume noir, Gabriel se tenait appuyé contre le lavabo, les mains de part et d'autre de l'objet en question. Il fixait son visage dans le miroir face à lui, il se regardait dans le blanc de ses yeux, fixement, sans claquer une seul fois ses paupières, il se regardait d'un air solenelle, comme s'il se faisait une promesse, en effet, seulement il ne s'en faisait pas qu'une. Vous aimeriez savoir qui se trotte dans sa tête ? Cela viendra bien assez vite.

- Ah. V.. vous voilà.

Une silhouette de corpulence chétive et bossu se dessinée à l'entrée de la porte, sa touffe de cheveux grasse ne trompée pas, son rendez-vous était là. Autre chose ne trompait pas, son odeur nauséabonde, il avança d'une démarche traînante et tremblante, sa voix était stridente, hésitante et bègue accompagné d'un accent abominable, son nez porcin donnait envie de le mettre dans une ferme avec ses semblables, autrement dit.. Les cochons. Il salua Gabriel lorsqu'il arriva à un mètre de lui et leva son visage pâle et osseux dirigeant son regard farouche aux yeux noirs sur son maître. Vu les cernes dominantes sur son visage, quelques nuits étaient passées sans qu'il ne ferme l’œil.

- Je vois que tu es cerné. J'en conclus que tu as bien surveillé celui dont je t'ai attribué la garde. Ou est-il en ce moment ?
- Il se trouve en se moment même dans la salle commune maître.
- Bien. Tu seras récompensé pour ta fidélité. Une paire de vielle chaussettes devraient faire l'affaire.
- Une paire de..
- Tait toi. Estime toi heureux que je t'assure la vie une fois que je serais à l’apogée de mon talent.
- Pardon, je ne voulais vous contre-dire.
- Une dernière chose Gunther, assure toi que Maximillian Giovaneli me rejoigne au Lac Mercredi à 12h00, quand tout le monde mangera, fait en sorte qu'il croit que c'est Swan qui demande sa présence, il rappliquera comme un toutou.
- Entendu.

Jours-J.
Mercredi. Salle commune des Serpentards.

Allongé sur le dos, Gabriel ouvrit les yeux, laissant éclater toute la lueur de ses yeux verts. Il ne se leva pas tout de suite, il regarda le lit de Maximillian, celui-ci était vide. Il devait sûrement être entrain de manger. Qu'il savoure chaque saveurs aujourd'hui, qu'il savoure. Gabriel se leva du pied droit, il passa une main dans ses cheveux, encore un peu endormi, il monta dans la salle de bain des brigadiers, se déshabilla puis s'immergea dans l'eau, pendant de longue minute, accompagné d'un livre intitulé ''A la recherche des pouvoirs cachés & magies anciennes''. Il n'était que 10h, Lestrange avait encore du temps devant lui, il n'avait pas prit son petit déjeuné ce matin. Il était préoccupé, excité, peut être nerveux. Gunther entra dans la salle de bain, il salua la tête de Gabriel qui dépasser de la mousse.

- A te voilà Gunther.
- Comme promis maître. Je lui ai fait passé une lettre, je l'ai vu la lire, je suis sur qu'il viendra.
- J’espère. Parlons de ce pour quoi tu es là. Tu as la potion ?
- Oui, ici monsieur Lestrange.
- Voici un de mes cheveux, met le dans le flacon. Je veux que à midi, tu l'ai bu et que tu sois dans la grande salle, fait en sorte d'être vu, engueule toi avec un sous-fifre ou un poufsouffle s'il le faut, mais fait toi voir, de cette façon, personne ne pourra dire que j'ai touché le moindre cheveux à Giovaneli.
- J’exécuterais votre couverture à merveille maître.
- Je compte sur toi. Tu peux disposer. Garde bien la potion avec toi. Et ! Gunther, je veux que quand j'arrive à la salle commune tu m'attendes en bas de l'escalier du dortoir, j'ai mon costume noir à te donner si on veut vraiment faire croire que c'est bien moi. Vas.

Gunther sortit de la salle de bain. Gabriel passa la serviette autours de sa taille et fit de même. Il regagna sa salle commune afin de se passer des vêtements, et récupérer sa baguette au passage. Gunther attendait, il avait beau être physiquement très laid, il était plus qu'utile et efficace.. Mais surtout fidèle. Gabriel passa à coté de lui en lui faisant signe de suivre, celui-ci emboîta le pas et suivit Lestrange jusqu'en haut. Gabriel lui donna un costume noir, et lui même en mit un autre pour son rendez-vous de midi. Il était bientôt l'heure, Gabriel se coiffa, et les douze coups de midi sonnèrent. Gabriel ferma un instant les yeux.. Respira un grand coup et partit. Lorsqu'il sortit la tête des cachots, il se vit entrer dans la grande salle, c'était en faite Gunther, qui referma les deux grandes portes derrières lui. Plus personne ne passer dans le hall, tout le monde était dans la grande salle, Gabriel sortit alors des cachots et alla rejoindre son vielle amis. Il marchait, d'un pas tranquille, les mains dans les poches. Au loin, il voyait la silhouette de Max'. Il traversa le pont et arriva au lac à son tour.

- Toi ? J'aurais du m'en douter..
- T'aurais du oui. Maintenant il est trop tard pour revenir en arrière. Regarde autours de toi Max', nous sommes tout seul. ''Nous avons des affaires à régler''. J'avais osé espérer que cet phrase te mettrait la puce à l'oreille, mais apparemment non, tu étais tellement omnibulé par le fait de voir Victoria Swan, la fille qui en vérité t'aura fait plus de mal que de bien. Elle ta pervertit. Avant nous étions bon amis, et il a fallut que tu te laisse tomber dans ses bras, tu n'as pas de principe, tu es faible d’esprit, j'ai presque envie de dire : Heureusement que Swan t'as eu dans ses griffes. Cela ma permis de voir que tu n'avais pas l’étoffe pour l'avenir que je nous réserver. J'aurais aimé régler ça en publique, que tout le monde voit ce qui arrive au traître, seulement, c'est impossible. Pas cette fois.

Gabriel leva sa baguette vers Maximillian.

- Confrigo.

L'explosion toucha la cible de Gab'. Lestrange avancer d'un pas serin vers son ancien amis.

Quand ce monde arrêtera d'y abriter des fous. Des psychopathes qui pense être du bon côté, alors que l'inverse est plus qu'envisageable, ils se disent les gentils.. Mais les gentils n'assassine que lorsqu'ils y sont poussé, ils ne font du mal que lorsque qu'un homme est en danger, surtout si cet homme s'avère être un amis. Une amours. Qu'importe l'avenir de se monde, qu'importe le nombre d'homme prêt à combattre le mal, Maximillian irait, seul ou accompagné d'homme bien intentionné et détérminé. Qui sont-ils pour décider de prendre une vie qui ne leurs appartient pas, qui sont-ils pour nous dicter tout nos faits et gestes, qui sont-ils pour nous infliger un régime de terreur. Il est temps. Temps au vaillant de relever la tête, une grande alliance doit être faite, les sangs-mêlé, les sangs purs, impurs, voir même les créatures magique. Il faut renverser le ministère, renverser le régime.

Maximillian se tenait debout devant le lac, regardant à l'horizon, s'imaginant une rébellion comme personne n'en avait jamais vu. Puis il tourna la tête, et vit dans l'ombre des yeux plus vert que de purs pierres émeraudes, des yeux d'un vert surnaturelle le regarder fixement, sang bouger, sans cligner des yeux, il ne faisait que le regarder. Max' fit de même, il ne détourna pas le regard, faisant face à son destin. Il se tourna vers Gabriel.. Un seul avait ces yeux là. Puis celui-ci avança, montrant son visage pâle, ses cheveux noirs comme des plumes de corbeaux, son costume aussi était noir, cela signifiait quelque chose ?

- Toi ? J'aurais du m'en douter..
- T'aurais du oui. Maintenant il est trop tard pour revenir en arrière. Regarde autours de toi Max', nous sommes tout seul. ''Nous avons des affaires à régler''. J'avais osé espérer que cet phrase te mettrait la puce à l'oreille, mais apparemment non, tu étais tellement omnibulé par le fait de voir Victoria Swan, la fille qui en vérité t'aura fait plus de mal que de bien. Elle ta pervertit. Avant nous étions bon amis, et il a fallut que tu te laisse tomber dans ses bras, tu n'as pas de principe, tu es faible d’esprit, j'ai presque envie de dire : Heureusement que Swan t'as eu dans ses griffes. Cela ma permis de voir que tu n'avais pas l’étoffe pour l'avenir que je nous réserver. J'aurais aimé régler ça en publique, que tout le monde voit ce qui arrive au traître, seulement, c'est impossible. Pas cette fois.

Victoria.. Elle était donc son point faible numéro un. Il était vulnérable à cause d'elle, il savait que c'était une mauvaise chose, son père lui avait pourtant dit de ne jamais s'accrocher à une femme. Qu'elles finissent toujours tôt ou tard à causé leur perte. Soudain, une idée sordide, mais possible vint à l’esprit de Max'. Victoria avait quitté la résistance, et il avait aussi entendu dire qu'elle avait voulu rejoindre l'élite. Peut être l'avait elle trompé, lui. Maximillian Giovaneli. Alors que son regard c'était perdu suite à cette sombre pensée, une explosion le fit valser dans le lac. Il ressortit avec un sortilège d’éjection hors de l'eau, et envoya un sortilège à Gabriel pendant qu'il était en l'air.

- Incendio !!!

Maximillian fut soufflé par la puissance de son sort, alors qu'il était en l'air, il partit en arrière et fit une roulade pour finir sur le fesse contre un arbre. Gabriel n'avait pas bougé, le sortilège avait visiblement échoué. Il fallait qu'il se reprenne, ses pensées empoissonné son style de combat, il fallait qu'il ai des réponses à ses questions.

Victoria est-elle impliqué ?.. Dit il doucement. Répoooond ! Victoria est-elle impliqué. Maximillian commençait à s'énerver. C'est-elle détourné de moi ?!! Du bien, de ses projets ! Vous l'avez manipulé ! Tu es le diable Gabrieeeeel ! Tu détruis tout ce que tu touche !

Maximillian s'était relever.

Écoutez les battements de son cœur. Boum Boum.. Boum Boum.. Boum Boum. Ce rythme lent et répétitif était à glacé de sang, aucune accélération ne se faisait ressentir, il n'exprimait aucuns autres sentiments que la confiance en soit, il était déterminé, sur de lui. Gabriel passa sa main dans ses cheveux afin d'en remettre une bonne partie sur le côté. Son autre main était dans sa poche, il n'avait pas bougé suite au sortilège lancé par Maximillian, soit disant à la hauteur de Lestrange d'après les autres. Là, il n'y aura aucun échappatoire, ni pour l'un, ni pour l'autre. Mais un des deux avait plus de soucis à se faire. Un sourire sadique se déposa sur les lèvres de Gabriel, il ferma les yeux tout en penchant sa tête en arrière. Il prit une très grand inspiration et leva légèrement sa baguette, alors, une brume épaisse vint s'installer aux alentours du lac et de la lisière de la foret. Maximillian était encore au sol, tout mouillé après avoir fait un tour dans l'eau suite au sortilège de Lestrange. Le pauvre traître avait tenté de riposter en lui envoyant un incendio, mais d'un geste de baguette, Maximillian fut expulsé, soufflé par sa propre déflagration.

- Relève toi. Je ne laisserais pas une déflagration me voler ma victoire.

Le traître se remit sur ses deux jambes. Il voulait apparemment parloter, Gabriel n'entendait pas à cause de la distance qui les séparée, jusqu'à que Maximillian cri afin de se faire entendre.

- Répoooond ! Victoria est-elle impliqué. C'est-elle détourné de moi ?!! Du bien, de ses projets ! Vous l'avez manipulé ! Tu es le diable Gabrieeeeel ! Tu détruis tout ce que tu touche !

Gabriel explosa alors de rire. Son rire légèrement grave avait quelque chose de sadique, machiavélique. A présent. Place à la manipulation.

- Sacré Victoria. Elle ne vous à donc rien dit ? Elle ne s'est pas seulement détourné de toi Giovaneli. Elle à accepté nos conditions pour être au sommet, elle à comprit que seul l'élite pouvait lui donner ce qu'elle voulait. Et que vous, ne valiez pas mieux que nous. C'est évident. Regarde toi, pitoyablement mouillé, le cul plein de terre après avoir prit de chute consécutive. Pense tu sincèrement pouvoir gagner ? Il est tant de me prouver ce que tu avançais il y a quelques temps non ? Tues moi si tu penses pouvoir y arriver. En attendant.. subit.

Gabriel pointa sa baguette sur son adversaire.

- Electro Maxima !

Un énorme courant électrique sortit de la baguette de Lestrange pour venir frapper Maximillian qui avait été mouillé par l'eau du lac.

- Quand tout ca sera fini. Tu me suppliera de te tuer. Seulement là, je te porterais le coup de grâce. Et personne ne viendra te sauver. Pas cette fois.