| [Finish]A la claire fontaine (H) | |
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♠ Date de naissance du joueur : 28/07/1993 ♠ Âge du joueur : 31 ♠ Arrivé sur Poudnoir : 25/07/2011 ♠ Parchemins postés : 601 Théodora Malaria
| Sujet: Re: [Finish]A la claire fontaine (H) Mer 16 Mai - 2:54 | |
| Une si précieuse étreinte, le lion enserrait le coup fin, une si tendre union mais pourtant elle se débattait, contre son tsar, son corps refusait la merveilleuse évidence : Son salut était enfin arrivé, mais il était trop faible pour résister à l’esprit, bientôt il céda devenant un bon patin de porcelaine. Bonheur mais douleur, elle souffrait l’air lui manquait c’était son lot, elle l’avait choisi, elle devait payer, c’était sa peine mais tout cela sera bientôt terminé. Elles coulaient les larmes de joie sur les joues de la condamnée, elle le savait son messager à coup sur cette fois délivrera sa missive morbide… Reconnaissance et dévotion brillaient dans les yeux noir de Théodora, il n’était que violence aucune douceur, aucune pitié elle avait fauté, il la punissait de la manière la plus dure qui soit, il lui devait cela, c'était sa dernière volonté, elle le voulait…. L’air ne venait maintenant plus, c’était l’eau qui venait remplir ses poumons un nouvel oxygène ? Peu a peu, ténèbres engouffraient ses sens de leurs sombres tentacules, un a un ils tombaient, dans leurs griffes redoutables, plus une seule lumière ne pouvait parvenir à ses yeux clos, plus une odeur ne pouvait se faire sentir, plus aucune parole ne pouvait se faire entendre, plus aucune main ne pouvait être sentit et plus aucune bouche ne pourrait gouter… Il est temps de dormir petite aigle… Sursaut, secousse et réveil, le sommeil de la belle au bois dormant est interrompu, malédiction ou bénédiction ? L’air qui courait de nouveau dans ses poumons, qu’elle inspirait et expirait ne semblait pourtant pas de lui porter un plaisir alors qu’elle venait à peine de le retrouver . elle était complétement stoïque ne réagit même pas au coup qu’il lui décocha, elle resta complétement immobile quand il lui lança un torchon pour qu’elle se sécha, puis finalement après de longue seconde elle s’activa et pendant sa sale besogne, elle parla au russe. « Alors voilà…Je suis en vie ? Amusant.. Très bonne farce Mercurius, je suis hilare…c’est d’un comique, dis-moi, pourquoi ? Pourquoi tu tues les autres et MOI, tu m’épargnes ! Pourquoi me sauves tu la vie à chaque fois ! C’est parce que je suis la seule à le vouloir ?C’est ça ?Tu ne fais ça que pour me tourmenter ?» Elle fit une pause car elle entreprenait maintenant de remettre ses vêtements, une fois cela fait elle reprit. « Je te hais, si j’avais force de le faire je te tuerai, mais je suis faible, une bouseuse hein ?Comme tu aimes tant m’appeler....Mais pourtant, je t’aime, à la folie même, c’est le mot, je suis complétement folle de toi mon bourreau…Ta marionnette docile qui obéit au moindre de tes ordres, tout ce que je déteste je ne suis plus un humain je suis un jouet qui attends à être jeter. » Elle s’approcha doucement du gryffondor «Et le pire dans tout ça…C’est que j’en ai plus rien à foutre, mon âme est morte et mon corps est à toi c’est un état de de fait, j’obéirai a n’importe lequel de tes désirs, si tu veux que je vive, si tu veux que je meure j’abdiquerai car je t’aime. » Elle lui déposa un chaste baiser sur les lèvres du russe puis elle s’accroupit à ses pieds. « Alors qu’elle est la sentence, pour avoir oser te toucher ?Je suis ta poupée docile mais n’oublie pas que je t’aime Seigneur.» |
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♠ Date de naissance du joueur : 26/02/1992 ♠ Âge du joueur : 32 ♠ Arrivé sur Poudnoir : 22/10/2011 ♠ Parchemins postés : 897 Mercurius H. Yakovsky
| Sujet: Re: [Finish]A la claire fontaine (H) Mer 16 Mai - 19:36 | |
| Pouvait on dire que H était énervé ? Pouvait on dire qu'il était en colère ? Ou encore qu'il était déçu ou frustré ? Non, rien de tout ça. Il était aussi étonnement convaincu que la croyance de la Serdaigle, n'était pas de la plus grande importance que ça. Elle ne croyait que sommairement, ne voyant là qu'une fin et nous tout un processus de démarche et de compréhension du mode de vie à adopter. Ce qu'elle considérait comme un but, n'était en fait qu'un simple plaisir illusoire à qui voudrait le servir, il n'y avait là qu'une seule pitié en l'art de tuer, à son tour devenir la proie et non le chasseur, ça, elle ne le comprendrait qu'à force de côtoyer H, c'était son seul moyen d'accéder à l'illumination.
Désirer la mort, au fond, elle le feignait, ce n'était qu'une façade qu'elle affichait, rien de plus, comme un air que se donnait les petites pour plaire aux plus grands, sans pour autant y arriver. Ce qu'elle pensait être une vie, n'était que la simple existence du servitude contre le pouvoir magique, elle devait servir et rien que ça, accepter les prétextes, les contraintes, les rites et les us et coutumes, sans quoi, elle ne serait jamais en état de comprendre l'immensité de ce qu'était Le Pouvoir. On avait rien sans rien, le pouvoir s'obtenait de par le divin, ou celui qui le possédait déjà, l'élévation la plus saine étant naturellement la première, Malaria ne cherchait par ce comportement qu'à plaire à H, il n'y avait pas le fondamental besoin de servir La Force.
L'attrapeur des lions se sécha assez vite, ses cheveux en pagaille lui donnaient un air encore plus taré qu'il l'était déjà, là, on voyait que son habituelle chevelure était en fait soignée, comparé à celle qu'il possédait de par sa nature, sang russe ou pas, on était bien coiffé ou on ne l'était pas. Même s'il était difficile à croire, malgré son élévation spirituelle, H cherchait une complaisance dans le physique, ce n'était pas du matérialisme, l'apparence était primordiale pour lui, pour une raison bien simple, avoir une gueule de beau gosse pouvait facilement avoir un impact sur la foi, et plus encore, une robe déchirée était moins classe qu'une tenue neuve et éclatante.
L'autre voulut faire la discussion, libre à elle de le faire, cela tiendrait plus du monologue qu'autre chose, le Gryffondor d'ordinaire bavard, était plus en train de réfléchir que de s'occuper de ce parasite défaillant au niveau du suicide et du masochisme.
« Alors voilà…Je suis en vie ? Amusant.. Très bonne farce Mercurius, je suis hilare…c’est d’un comique, dis-moi, pourquoi ? Pourquoi tu tues les autres et MOI, tu m’épargnes ! Pourquoi me sauves tu la vie à chaque fois ! C’est parce que je suis la seule à le vouloir ?C’est ça ?Tu ne fais ça que pour me tourmenter ?»
La sauver ? Non. Il ne la sauverait qu'une fois qu'elle aurait compris pourquoi mourir était un acte sacré, pourquoi détruire une vie était si jubilatoire, si elle ne voyait pas le pouvoir divin en cet acte, elle ne pourrait vivre, et mourir lorsqu'on est à deux doigts de comprendre, c'était tout bonnement débile. Ceux qui croyaient différemment ou qui ne croyaient pas, n'avaient de destin que la mort pour une cérémonie sacrificielle, ceux qui avaient le besoin de savoir et de comprendre, c'était autrement.
Il ne la regardait même pas, avait elle un intérêt à faire un speech ? Là maintenant ? Elle le voulait son Ostéoclaste, sauf que là, elle se mordrait les doigts si elle venait à agoniser sur le marbre blanc, encore une fois dans sa vie, elle ferait tâche. H resta torse nu, d'une part par flemme, et puis il faisait bon en cet endroit, remettre une robe et tout, c'était d'une inutilité totale.
« Je te hais, si j’avais force de le faire je te tuerai, mais je suis faible, une bouseuse hein ?Comme tu aimes tant m’appeler....Mais pourtant, je t’aime, à la folie même, c’est le mot, je suis complétement folle de toi mon bourreau…Ta marionnette docile qui obéit au moindre de tes ordres, tout ce que je déteste je ne suis plus un humain je suis un jouet qui attends à être jeter. »
H ne l'écouta pas, ou que très peu.
*Me tuer … mais j'aimerais mourir … *
Il n'avait de cesse que de le souhaiter depuis qu'il était sorti du néant, lui avait vu, il avait compris que c'était un don rare que peu pouvait obtenir dans les règles de l'art. Aimer … savait elle vraiment ce que c'était ? Non, assurément, elle n'obéissait qu'à un désir hormonal pré pubère, elle aimait à en être folle ? Elle l'était déjà de faire sans comprendre, elle le haïssait et l'aimait en même temps, comme la dualité qui les opposait, l'intellect et le corps. En l'aimant, elle se haïssait, en le haïssant, elle l'aimait, c'était compliqué, et cela pouvait rapidement faire monter le sang à la tête, surtout pour un type comme H, après, vous savez tous de quoi il en retourne quand c'est le cas …
«Et le pire dans tout ça…C’est que j’en ai plus rien à foutre, mon âme est morte et mon corps est à toi c’est un état de de fait, j’obéirai a n’importe lequel de tes désirs, si tu veux que je vive, si tu veux que je meure j’abdiquerai car je t’aime. »
Elle s'approchait de lui, sans le craindre, pour mourir, il fallait ne pas sous estimer le pouvoir de l'autre, et c'est clairement ce qu'elle faisait, téméraire, et pourtant intelligente dans sa manière d'éviter la mort. Son âme ne lui appartenait pas, pas plus à elle qu'à H, c'était bien plus grand que ce que le monde croyait … son corps ? Ce bout de viande si faible ? Une blague hilarante, elle n'avait pas de force, pas d'arguments suffisants pour faire craquer un homme, pas un visage gracieux ni emblématique, un déchet rien de plus. Elle offrait une fourchette en bois à un roi qui possédait un palace en or.
Là elle se fourvoyait, ce n'était pas à lui qu'elle devait offrir son corps, mais à plus grand ... son esprit ne devait pas être tourné vers H, mais vers les préceptes qu'il suivait, là, si elle comprenait, si elle se convertissait, elle aurait un ticket, sans quoi, c'était peine perdue. Pourtant, elle ne se débinait pas, elle avait de l'assurance, pas peur de souffrir, aussi, elle cédait son caprice en l'embrassant, mais se heurtait face à un mur d'indifférence, un détail humain, ce n'était que ce qu'elle était.
Intérieurement, H riait, elle avait bien plus de cran que Vasheden, son ex, vraiment, Kim avait toujours craint Mercurius, elle se montrait câline mais peu entreprenante, le Virus c'était autre chose, elle avait le courage d'accomplir les desseins de ses pulsions sentimentales, mais n'avait rien de convaincant. Elle n'avait qu'un corps de gamine, un esprit trop bridé et bordélique, la Serpentard elle, avait déjà un corps de femme presque accomplie, comprenant les joies du physique, ces pour et ces contre, ces petits plus que les adeptes de la chaire pouvaient apprécier, H en faisait naturellement partie, l'esthétique n'était pas qu'une carrosserie, il fallait s'en servir évidemment. Kim avait une tendance à être très tactile, ce qui plaisait en soi à H, qui l'avait posé sur un coup de gueule, non il ne l'aimait pas, non il ne l'avait jamais aimé, mais peu importe le cas, sa compagnie était appréciable, seuls dans un vestiaire ou devant une assemblée … Un faire valoir en devenir, un parasite, le Virus n'avait rien de bien attrayant physiquement parlant selon H, c'était peut être ça qui pêchait justement.
À genou, qu'allait elle faire ? Jusqu'où irait elle ?
« Alors qu’elle est la sentence, pour avoir oser te toucher ?Je suis ta poupée docile mais n’oublie pas que je t’aime Seigneur.»
Ce n'était que de la supplication, rien de plus, et oui, c'était une enfant encore, elle ne connaissait rien, que ça soit à la foi comme au corps. L'appeler 'Seigneur', voilà qu'elle se trompait, ce n'était pas lui le Seigneur, lui n'était qu'un simple moine exécutant la volonté et le commandement, rien de plus.
Il la toisa, voir les autres à genou devant lui, c'était inhabituel, d'ordinaire, c'était un corps qui gisait devant lui, pas être humain suppliant pour on ne sait trop quoi. Là c'était pitoyable, tout bonnement pitoyable. La regardant de sa stature, il daigna enfin ouvrir la bouche.
« Alors c'est tout ? Tu crois que je vais t'achever comme ça ? Sans jeu ? Sans plaisir ? Sans souffrance ? »
Une main du jeune homme vint relever le visage de la gamine pour qu'elle le fixe les yeux dans les yeux.
« T'es quoi toi … une sorte d’accroc au châtiment divin ? »
A peine eut elle commencé de répondre qu'il posa son pied sur le torse de celle ci, la pression la poussa à la renverse dans la flotte, dans un plouf assez lamentable, maintenant, elle aurait les fringues trempées, punition que H n'aurait pas aimé recevoir, fait aux autres ce que tu ne veux pas qu'on te fasse, un noble précepte. Tombant le pantalon à nouveau, il entra dans l'eau pour la rejoindre, la poussa sur le bord du bassin, le corps du russe lui bloquant l'échappatoire, piégée, était ce là la punition divine ? Il l'embrassa à son tour, très brièvement, qu'elle devait savourée …
Et il la fixa et lâcha avec franchise :
« Vasheden se démerdait mieux que toi ... »
Titiller son orgueil, de la provocation pour arriver à ses fins, c'était bas, mais pas encore en dessous de la ceinture, peut être que cela ne saurait tardé. Il l'embrassa à nouveau, fondant sur elle, il passa une main sur le cou frêle qu'il avait étreint précédemment, l'autre passa dans le dos de Théodora, là, elle découvrait un H plus proche de l'humain, une face que peu connaissait. Ne prenant pas le soin de lui enlever son t-shirt, la main qui se trouvait sur l'échine glissa sur le torse de Malaria alors que le baiser se prolongeait.
La punition avait le goût des lèvres du russe, des lèvres teintées d'un cyanure délicieux et subtile, au fond, était ce pire que le baiser du détraqueur ? La mort devait avoir meilleur goût.
Hrp : J'espère que tu aimes la surprise, à toi de voir si on continue sur ce terrain là ou pas =) |
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| Sujet: Re: [Finish]A la claire fontaine (H) Sam 19 Mai - 18:32 | |
| « Alors c'est tout ? Tu crois que je vais t'achever comme ça ? Sans jeu ? Sans plaisir ? Sans souffrance ?» Il lui tenu le menton lui forçant ainsi à qu’ils se regardaient dans les yeux, étrange, que cherchait il ?Il n’y avait rien à trouver dans l’obscurité des yeux de Théodora, à part le vide le plus absolu, mais ce vide pouvait-il être réconfortant ?Ou bien une promesse de perdition ? «T'es quoi toi … une sorte d’accroc au châtiment divin ? » Et sans plus de ménagement Il la repoussa sans dans l’eau, Noyade encore ?Il manquait décidément d’originalité ce garçon…Elle souffla d’exaspération une fois la tête hors de l’eau, il aurait pu prendre la peine d’attendre qu’elle se soit dévêtu ou alors avant qu’elle se rhabilla, enfin bref lui prenait le temps de se dévêtir avant de la rejoindre dans la baignoire.Et une fois à l’intérieur, il l’embrassa elle en fut un peu surprise, mais cela fut très court très bref au final Il lui lâcha après observation avec franchise , lui dit « Vasheden se démerdait mieux que toi ... » Elle fit la moue, de qui pouvait-il s’agir, une ex ? Probablement, mais si il voulait parler de ça à un moment pareil donc elle ne gênerait pas elle aussi, alors sur le même ton qu'elle lui rétorqua . « Et toi, tu ne fais pas mieux que Josh enfin…Pour l’instant j’espère.» Le jeune homme semblait cependant avoir encore de la réserve, il ne tarda pas de nouveau à l’embrasser cette fois fougueusement et le baiser s’éternisa si bien qu’il fut un moment ou le rompre était salutaire pour ne pas mourir d’asphyxie, ce qui aurait été ballot surtout après avoir survécut à cela une fois. L’objet de sa folie se donnait enfin à elle, cela était troublant pour la jeune fille, celui qu’elle aimait avait désiré se produisait, elle ne savait que faire maintenant, devait-elle être contente ?Ou bien triste ?Elle ne savait pas comment devait elle céder ? Surement mais pas dans cet accoutrement, elle se dégagea de sa douce étreinte et sortit de l’eau,le slave était alors en contrebas d’elle, qu’elle commença un petit monologue, les deux jeunes gens aimaient bien ça apparemment. « C’est vraiment que tu veux ? C’est Inattendu… » Elle ôta ses collants désormais dans un sale état, un dommage elle se ferait passer un savon par Kessy, mais là le cadet de ses soucis, au pire elle lui remplacerait. « …Et J’en suis fort ravi, La mort et L’amour la même nuit … » Elle ôta la robe blanche qui était plus que superflue maintenant , devenu complétement transparente au contact de l’eau, et ne remplissait donc plus son rôle. «…tu me comble, le méritais-je ? Cependant… » A présent plus qu’en petite tenue, elle devait de passer au reste, elle enleva le haut avec délicatesse, masquant jusqu’au derniers moment sa poitrine , derniers vestige de sa pudeur, et ces ruines allait bientôt être totalement détruite . « …Sauras-tu me faire croire que c’est la première fois ? » Et là elle le rejoignit dans le baignoire une fois complétement, immergée elle leva la culote et peau contre peau coller contre lui, l’objet de tous ses désirs, elle lui susurra à l’oreille «Je te veux.»
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♠ Date de naissance du joueur : 26/02/1992 ♠ Âge du joueur : 32 ♠ Arrivé sur Poudnoir : 22/10/2011 ♠ Parchemins postés : 897 Mercurius H. Yakovsky
| Sujet: Re: [Finish]A la claire fontaine (H) Mer 23 Mai - 4:05 | |
| Un esprit sain dans un corps sain. Cela voulait il dire que si on avait le diable au corps, il était aussi le poison de l'esprit ? Cela voulait il dire que si on communiait avec la Grandeur, notre corps s'en retrouvant plus à même de supporter cette illumination ?
Possible. Depuis son passage par la case Sainte-Mangouste, il y a de cela plus d'un an, H avait nettement perdu du poids, se retrouvant à la limite du cure-dent, très fin, mais pas squelettique, il n'avait pas un poil de graisse, que du muscle ou presque, des pectoraux bien plus intrigants que ses biceps à peine plus développé que la normale, au fond, le culte du corps qu'il entretenait, était à son image, incohérent, peu commun, et diablement compliqué. Lui qui était un homme de quidditch, était bien moins baraqué que d'autres comme Achille ou encore Lestrange, qui, il fallait le dire, avait le physique de l'emploi. Même Swan paraissait plus balèze que lui, c'était mal le connaître, car sous ce physique peu encourageant, se cachait un des plus redoutables joueurs de quidditch de Poudlard.
Attrapeur des lions incontesté ou presque, premier de Poudlard, partageant cette place avec celui des Serpents, capitaine exigeant, il formait ses joueurs au meilleur, à l'accomplissement maximum de leur jeu. Mais ce qui faisait de lui l'un des joueurs clefs de cette année, c'était sa polyvalence, capable de jouer attrapeur, poursuiveur, voir même gardien, il avait une palette technique en matière de quidditch qui pouvait faire pâlir les autres élèves, pour ne mentionner que le fait que ce soit lui qui ait formé Vasheden, détentrice du record de but mis en un match.
H c'était une foi qui animait un corps pour en faire quelque chose de vraiment étrange, à la fois pure violence et complaisance dans la souffrance, le parfait soldat qui prend des coups et qui ne vit que pour les rendre. Mercurius n'était jamais doux ou tendre, c'était ce qu'il provoquait qui l'était, à savoir la souffrance, le dernier ressenti le plus jouissif. Le frisson, c'était ce qu'il recherchait, l'adrénaline, un moyen de sentir l'action, vivre le moment par le corps, rien de plus, et enfin parvenir à la plus belle de toutes les sensations. Ce qui faisait de H un être à part, c'était que pour lui, le corps n'avait d'important que l'image qu'on en avait, ce qui comptait, c'était la foi.
Malaria ne l'avait pas compris, comme tous les autres, mais elle, elle était spéciale, la vie ne semblait pas avoir d'importance pour elle, trop faible elle était contrainte que de subir, encore et toujours, c'était un peu comme si elle s'était faite une raison, comme si son seul salut était de mourir, elle aurait l'illumination tôt ou tard, et ce jour là, elle serait estimée par H, elle aurait de quoi exister, mais pas avant. Ce baiser volage, n'était rien encore, le désir se faisait grand, quand le corps était insatisfait, la pulsion prenait le dessus, comme toujours avec H, au fond, elle était toujours consentie, alors en était ce une ?
La gamine ne pouvait pas lui résister, force ou pas, il avait clairement le dessus, plus que tout, elle semblait le désirer, sans savoir ce que c'était, elle était jeune, innocente, et candide, une parfaite victime pour un mec aussi violent et sans pitié. Elle le repoussa brièvement, d'une main tendre qui s'attarda presque sur un de ses pectoraux, sortant de l'eau, elle ôta ses collants et sa robe devenue désormais dérisoirement inutile. Elle commença encore une fois à parler alors que ce n'était guère nécessaire.
« C’est vraiment que tu veux ? C’est Inattendu…Et J’en suis fort ravi, La mort et L’amour la même nuit … »
Elle retourna son regard vers son 'prince charmant', qui n'avait rien d'un prince, et pas grand chose de charmant non plus, et elle enchaîna sur une autre partie de son monologue.
«…tu me comble, le méritais-je ? Cependant… »
Elle retira son soutien-gorge, dévoilant la maigre poitrine, tout ce qu'une gamine de quinze ans pouvait posséder, on était bien loin de ce que Vasheden pouvait bien offrir, mais l'âge et la personne n'était pas vraiment similaire, il fallait faire avec ce qu'on avait. Timide, la Serdaigle essayait ne pas tout dévoiler au Gryffondor, car elle était encore très pudique, pas comme lui qui était toujours très décontracté, ce n'était pas vraiment comme s'il avait déjà goûté à la nature et la chaire d'un corps féminin. Maigre prise que Théodora Malaria, il fallait en faire quelque chose de cette gamine, désigné volontaire, Mercurius Yakovsky se devait de l'éduquer, un début à tout, il se doutait bien qu'elle n'était encore qu'une novice, le jeu du corps n'en serait que plus délectable et amusant.
« …Sauras-tu me faire croire que c’est la première fois ? »
Un aveux tourné de façon littéraire pour indiquer une virginité, ça ne le choquait pas, plus la forme, la façon de tourner la phrase, et puis, il finit par se désintéresser de ce fait, quand elle le rejoignit à nouveau, elle ne put guère longtemps continuer à cacher sa poitrine, enfin le peu qu'elle avait. Entièrement baignée, proche de son bourreau, elle tomba le dernier de ses vêtements, en confiance, elle était comme subjuguée, transportée ailleurs, sur une autre planète, son corps et son désir parlait pour elle, c'était une libération pour ce maigre esprit et ce corps presque trop candide pour exister tel quel. Elle se colla à lui, envie et désir, son corps suintait le vice charnel, mais elle ne l'admettait pas, enfin pas encore, elle ne savait pas, ne connaissait pas, pauvre elle, c'était à un monstre qu'elle se donnait, et le plus déstabilisant, c'était que Théodora en était totalement consciente. Collée contre lui, comme elle n'y connaissait rien, elle lui susurra à l'oreille d'une voix grave et étouffée.
«Je te veux.»
Décidément, elle était surprenante, mais peut être pas assez pour H, enfin, chose faite, la main du Gryffondor passa de la taille de la gamine à sa poitrine, rencontre qui la fit frémir, plaisir ou non ? Elle ne devait pas être habituée à ça la petite vierge, le vice, elle l'apprendrait comme toute, sur le tas, car il n'y avait que ça pour se former à cet art. Il lui déposa un baiser dans le cou, sa deuxième main passa du dos à la hanche, puis plus bas, sans qu'elle en soit dérangée, relevant la tête, front contre front, il l'embrassa. Elle n'était pas entreprenante pour une demoiselle sûre d'elle, l'inexpérience était criante mais il ne lui en voulut point, au fond, conduire la danse ne le dérangeait pas, il l'avait toujours fait avec les précédentes, alors une fois de plus, qu'importe.
Il souriait, comme quand il avait tué le prisonnier pendant le jeu de Scofield, c'était presque la même chose, tuer une vierge en la souillant ainsi, sans sentiments, juste pour le plaisir du corps, c'était mettre fin à la vie d'un être pur, et cette perspective, moins sanglante, l'enchantait tout autant qu'un meurtre fin.
Rompant le baiser, il décida d'accélérer le rythme, le plaisir se faisait attendre, la main sur un des seins de la jeune fille descendit le buste, le nombril, pour trouver moins catholique lotissement, l'art de plaire. Les caresses étaient toujours douces et plaisantes, comme une bénédiction de la plus belle violence, comment pouvait elle résister ? Il était impossible pour cette novice ne pas se complaire en ce statut de victime volontaire, elle était entre de bonnes mains, connaisseuses et savantes en plus d'expérimentées. Malaria ne possédait plus son corps, son esprit devait être ailleurs, à profiter d'on ne sait quel délire, mais le plaisir était de mise, toujours et souvent, car plus que tout H savait donner la plus belle des souffrances, celle que l'on nommait maladroitement plaisir.
Ces minutes durent paraître des heures pour la jeune Serdaigle, mieux, elle devait s'abandonner à tout souhait de son geôlier, et y prendre goût et plaisir. H, dans un moment d'égoïsme ou de générosité, à vous de voir, prit doucement la main de la gamine, l'amenant sur lui, comme il l'avait précédemment, cette mis mima son action, descendant du buste à un autre endroit, où il laissa la demoiselle se débrouiller par elle même, continuant de s'occuper d'elle en bon amant. Quand le moment vint, lui tomba le dernier rempart de l'union charnel, les laissant livrer à eux mêmes, dignes descendants d'Adam et Ève, seuls, dans cette eau douce et tiède, trop froide en comparaison du moment qu'il passait.
C'était l'émancipation d'un être, le plaisir des deux, la perspective d'une nouvelle et d'un nouveau présent, le moment.
La suite, peu la connaîtrait, c'était un fait, une sorte de fresque, les corps se chevauchant, s'entremêlant comme ils se devaient de l'être, et contre toutes attentes, défiant les pronostiques, l'eau se tintant du sang de la pureté, diluant ainsi ce vestige d'un passé pas si éloigné que ça dans l'immensité qu'était Poudlard, c'était le processus le plus simple, celui qui était de nature même humain et animal, sauvage et maîtrisé, mais ici, bien autrement, c'était eux, les ennemis d'hier, et quoi pour demain ? Nul ne le savait, et ne voulait le savoir, car seul le moment comptait rien de plus.
La nuit se prolongea, elle était à eux, mais n'était pas éternelle, comme pour tout, il y avait une fin. Quel fut elle ? Quand ? Pourquoi ? Et ensuite quoi ? Aux alentours de trois heures du matin, le tableau s'ouvrit, laissant les deux élèves sortirent de la salle de bain luxueuse de Poudlard, contre toute attente, et par soucis de transparence et de sûreté, Mercurius raccompagna sa belle jusque vers le tableau qui la laisserait retourner à son dortoir et à ses rêves, un dernier baiser futile, bref, et insignifiant, puis il la quitta, retournant lui à ses occupations de brute épaisse sans peur et sans reproches.
La nuit aurait pu être parfaite s'il n'y avait pas cette autre rencontre …
Arrivant au septième étage, il entendit des pas derrière lui, se retournant, il y avait là un élève, un septième année sans doute, des poches sous les yeux, l'air fatigué par une ronde qui avait du se prolonger encore et encore, un poufsouffle, un des rares de la brigade, se tenait là. Titus Brenan, un ancien joueur de quidditch très impliqué dans la vie des élèves, il semblait défié le Gryffondor, dommage pour lui.
« Yakovsky … qu'est ce que tu fais en dehors de ton dortoir à cette heure ? Tu devrais, comme tous les quatrièmes années, dormirent paisiblement au lieu de te balader.
_ Vas te faire mettre Brenan, dégages de là, je suis capitaine de Gryffondor, alors le putain de blaireau que tu es va vite fait bouger son petit cul de péteux pour me laisser passer.
_ Restes polis Yakovsky, sinon je serais contraint d'utiliser la force. Tu as beau être capitaine de quidditch, ça ne te donne pas le droit de faire ce que tu veux.
_ Petrificus Totalus ! »
Le corps du jaune tomba raide, ses yeux bougeaient encore, mais il avait du comprendre trop tard la manœuvre, H avait la baguette facile, il avait rapidement dégainé, et mis en joug sa cible, le sort avait mouche, l'effet de surprise étant un atout que même un septième année ne pouvait contrer, le talent, on l'avait, ou on ne l'avait pas. S'approchant du corps, donnant un coup de pied dans la baguette du Poufsouffle, H s'accroupit et le fixa, baguette en main, toisant son adversaire défait, il s'adressa à lui en un ultime avertissement.
« Je t'avais dit de dégager Brenan … une fois pas deux. La suite elle est simple, tu m'as pas vu, sinon tu vas rapidement avoir un bon nombre de petit première année pouffy à l'infirmerie, ou ptêtre même à Sainte-Mangouste tu vois, alors jte dis, t'es maudit.
Je vais te laisser croupir là, et quand demain on te trouvera comme ça, tu fermeras ta gueule sinon tu vas vite déchanter, fini ton année sans me recroiser, ça vaudra mieux pour toi. Et au fait, bonne nuit ahah ! »
Le Gryffondor continua son chemin, fier de lui, laissant le corps du septième année dans le couloir, il réveilla la grosse dame, retourna au dortoir des lions. Le lendemain, on le trouva fatigué, peu causant, un peu engourdi, de mauvaise humeur, et quand il croisa au hasard d'un cours le regard de Théodora Malaria, il sut que cette nuit là, elle ne l'oublierait pas, et qu'il y aurait un avenir. Lui par contre … rien n'était moins sûr. |
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| Sujet: Re: [Finish]A la claire fontaine (H) Mer 6 Juin - 4:00 | |
| Il était tard ou tôt selon que l’on prenait la chose, cela étant l’heure approchait des trois heure du matin, enfin elle le supposer, ou c’était le russe qui lui avait dit… En faite, il pouvait être 6 heure du matin comme minuit cinq elle s’en foutait royalement, pour elle seul l’instant présent comptait, car elle avait eu ce qu’elle désirait mais au final, le prix avait été bien grand elle avait perdu son âme. Les deux jeunes gens s’habillèrent, sans plus d’histoire, il fallait à vrai dire être vêtu pour se balader dans le château, si ils se faisaient prendre à faire du naturisme dans les couloirs ce n’est pas le retenue qu’ils les attendait mais l’exclusion ; La bleue du passer par contre par la case séchage du linge, ses affaire étaient encore trempé n’ayant pas eue le temps de sécher en si peu de temps…bref le résultat n’était pas fameux mais elle ferait avec, elle ne croiserait personne de toute façon et au pire elle le ferait taire, bref une fois tous les deux a peu près sortable ils sortirent de la salle de bain grand luxe. Le silence fut absolu, le couple hétéroclite ne pipa pas un mot lors de leur voyage de retour, pas seulement parce qu’à cette heure ils n’avaient rien à faire là mais plus car ils étaient dans leurs monde, parler briser cette bulle de bien être…Une chose plutôt curieuse se passa, le rouge la raccompagna jusque à son nid, ce jour était déciment à marquer avec une pierre blanche, pour bien des raisons, elle haïrait et aimerait cette nuit toute sa vie .En la quittant il fit un baiser au revoi, ou bien était-ce un baiser d’adieu ? Bref, maintenant seule devient le heurtoir, elle revenait doucement à la réalité, et elle commença à maugréer , il y avait vraiment des fois où elle haïssait à un point inimaginable la maison de Rowena Serdaigle, car sous prétexte qu’ils étaient censé être intelligents, ils devaient se coltiner chaque à fois une énigme a la porte de leur sale commune, oui elle enviait ceux des autres maisons parce eux ils n’avaient pas à se casser la tête quand ils voulaient rentrer dans leurs dortoirs, et ne parlons surtout pas des poufsouffles ou elle la jeune allait encore plus s’énerver . Une fois avoir fait travailler ses méninges pendant au moins vingt bonnes minutes elle put enfin franchir cette satanée porte, elle était vraiment très fatigué tant physiquement que moralement et elle n’avait donc qu’une hâte se jeter dans son lit, et dormir de tout son soul sauf qu’une fois les deux pieds dans la salle commune, elle entendit une petite voix l’appeler, instinctivement elle se couvrit le cou pour cacher son trésor, bref la voix féminine cherchait à savoir si il s’agissait de la jeune fille…C’était le cas après tout, elle s’appelait Théodora Malaria, et elle se tourna donc vers l’origine du bruit, et s’adressa à elle sèchement. Une fois avoir fait travailler ses méninges pendant au moins vingt bonnes minutes elle put enfin franchir cette satanée porte, elle était vraiment très fatigué tant physiquement que moralement et elle n’avait donc qu’une hâte se jeter dans son lit, et dormir de tout son soul sauf qu’une fois les deux pieds dans la salle commune, elle entendit une petite voix l’appeler, instinctivement elle se couvrit le cou pour cacher son trésor, bref la voix féminine cherchait à savoir si il s’agissait de la jeune fille…C’était le cas après tout, elle s’appelait Théodora Malaria, et elle se tourna donc vers l’origine du bruit, et s’adressa à elle sèchement. « Quoi?! » « Toujours aussi amiable Dora…C’est moi Kessy .» Effectivement, c’était bien elle, la bleue ne l’avait reconnu dans la pénombre de la pièce, le feu dans l’âtre étant quasiment éteint, elle était peu surprise de la trouver la, les fauteuils étaient fort confortable il vrai mais rien ne remplaçait un bon lit pour dormir, elle ne put s’empêcher de lui demander ce qu’elle faisait la, ce a quoi l’autre répondit. « Je t’attendais, bécasse ! Aller viens d’assoir et raconte-moi tout, je vous tout savoir !Hi hi hi. » Sachant que c’était perdu d’avance elle s’exécuta de mauvaise grâce, elle avait de la chance l’obscurité ambiante masquait presque totalement sa cicatrice, elle devrait trouver une solution mais cela n’était pas à l’ordre du jour. « Pourquoi m’as-tu attendu ici toute la nuit ? Tu aurais dû te coucher…» « Peut-être, mais je n’ai pas voulu attendre, tu me connais je ne suis pas patiente .» Le virus soupira, était ce juste pour ça qu’elle était restait la ? Oui probablement c’était son amie après tout adorant les potins et les romans à l’eau de rose, chose paradoxalement assez éloigné quand on y pensait, bref elle aurait dû se douter qu’elle subirait un interrogatoire en règle, maudit soit-elle. « Alors ? » « Alors quoi ?Que veux-tu que je te dis enfin, il n’y a rien dire !» « Huum…Ça c’est mal passé ? » Son ainé semblait pensive, elle réfléchissait activement à ce qui aurait pu se passer, Théodora préféra mettre terme à sa réflexion en se décidant à parler. « Non non…C’est juste que… » Elle ne put finir sa phrase, les mots restaient bloqué dans sa gorge comme étranglés, alors elle essaya de s’esquiver « Je suis fatigué, je… » Mais l’autre ne la laissa pas partir, elle semblait ferme mais emplit de douceur, et elle lui intima de rester assise. « Théodora, qu’est ce qu’il y a ? Dis-moi ce qui se passe ! » « Ça va !Je vais te répondre vu que c’est tout que tu veux, il faudrait peut-être apprendre à foutre la paix aux gens Kessy. » « Théodora, parle ou sinon je te fous une baffe… » Lui rétorqua-t-elle d’un ton mi-figue mi-raisin, elle ne plaisantait qu’a moitié, a ne pas douter elle métrait sa menace à exécution si sa camarade continuait être si têtue. « D’accord tu as gagné…Je vais te raconter, si ça te fait tant plaisir, tout c’est bien passé mais pas comme je l’avais imaginé, pas du tout même, totalement différent…Et cela ne fut pas désagréable loin de ça, j’ai apprécié pourtant je suis triste car je l’aime ET ÇA ME REND MALADE ! Tu entends je le hais mais pourtant je l’aime, et plus je le hais plus je l’aime encore plus, je suis folle complétement folle pourtant…Je suis heureuse de cette nuit, je ne changerai rien si c’était à refaire, c’était si magique….Admire, je suis qu'une imbécile. » La petite était en larmes, pleurait elle de joie ou bien de tristesse ? Impossible à savoir, peut-être des deux, peut-être de l’un ou peut-être de l’autre ? Cela étant elle était visiblement éprouvée et fatiguée La petite était en larmes, pleurait elle de joie ou bien de tristesse ? Impossible à savoir, peut-être des deux, peut-être de l’un ou peut-être de l’autre ? Cela étant elle était visiblement éprouvée et fatiguée, Kessy s’approcha pour la réconforter. « Pardon Théodora, je n’aurais pas dû te pousser à bout…Tu es amoureuse c’est tout…Tes sentiments peuvent te sembler étranges des fois voire même contradictoire mais…C’est normal la haine est si proche de l’amour et vice-versa donc oui tu es une imbécile mais tous ceux qui aiment et qui détestent le sont aussi, tu sais, il y a même des gens qui vous envient alors sois fière et pas honteuse… » Celle qu’on surnommait la slut, serrait tout contre elle si fort, celle qu’on surnommait le virus, les deux parias de la maison de serdaigle! Celles qu’on rejetait et celles qu’on avait honte!Elles pleuraient à chaude larmes certes, pas pour pas les même raison mais les deux enfants pleuraient, combien de temps restaient-elles à sangloter ?Longtemps…Car elles en avaient besoin. Hrp: Terminé, diantre j'ai écris un pavé x) |
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| [Finish]A la claire fontaine (H) | |
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