Spoiler:

La chambre de la serdaigle était significative d’une personne ne dormant pas à l’intérieur, il n’avait aucun poster accroché aux murs d’une blancheur à faire pâlir une chambre d’hôpital et cela manquait tout simplement de vie.

Et ce n’était pas la jeune fille lisant un livre sur le lit qui changeait grand-chose, on pourrait supposer que c’était dû au faite qu’elle n’était au final quasiment jamais la car la majorité du temps à Poudlard, elle emportait ses objets fétiches avec elle mais tout cela était faux, elle n’avait pas d’objet fétiche, la seule chose qu’elle trimbalait avec elle, était sa chatte Chouba, qui devait probablement dormir dans le salon, un lieu bien plus chaleureux…

C’était enfin les vacances et malgré que les dernières furent très proches, l’adolescente était fatiguée, ces semaines passées avait été éprouvantes, elle avait découvert des choses dont elle avait honte, fait des choses qu’elle regrettait, ce fut un plaisir pour elle de quitter l’école et elle ne passait plus que ses journée à bouquiner.

D’ailleurs elle avait fini celui-là, il ne lui avait fallu que peu de temps, mais contrairement à d’autre livre elle y tenait vraiment, il était son premier cadeau venant d’une autre personne que sa famille, Kessy, elle était si gentille, bien trop gentille avec elle se disait Théodora, elle posa donc son bien, sur la commode en pin en face du lit et elle sortit de la pièce.

Une fois descendu au rez-de-chaussée, elle se dirigea dans le salon, elle avait ben en effet besoin de la cheminée, non pas qu’elle besoin de faire un tour (Elle ne sortait jamais) mais user du service de location de livre de la Bibliothèque Catherine Valverde, ou elle était aussi plus communément appelée BMI(La Bibliothèque Magique Internationale).

Une fois arrivée au lieu souhaité, la bleue ne trouva personne à part la chatte lové sur le petit canapé, ce qui était normal, sa mère ne rentrait que dans la soirée, la laissant toujours seule toute la journée, pour seul réconfort le feu brûlant dans l’âtre, dans une petit pot sur le manteau ellle préleva un peu de poudre de cheminette, pour ensuite dans le brasier et qui devenu quasi instantanément d’un beau vert émeraude, pour tout suite un jeter un bon de commande préalablement remplit …

Citation :

Nom : Malaria Prénom : Théodora

Code client : MT90F#990000 Référence : ISBN 978-2-07-054127-0

Le livre commandé arriva peu après qu’elle crié l’adresse de bibliothèque, c’était exactement celui qu’elle voulait et elle n’avait rien au à débourser, enfin sur le moment, car il avait bien le prix de l’abonnement mais le prix était vraiment modique et elle faisait vraiment des économies, et elle pouvait lire autant qu’elle voulait…

Mais cela ne serait pas pour tout de suite, quelqu’un frappait a la porte de la maison, de mauvaise grâce, car elle aurait préféré son nouvel ouvrage, elle alla ouvrir, la baguette à portée de main, préférant prendre des précautions.

« Bonjour, c’est pour quoi ? »

Le sorcier car cela ne pouvait être qu’un sorcier, la maison étant sous repousse-moldu, était d’une quarantaine d’année, plutôt bien habillé, dans un style que l’on pourrait qualifier de bobo chic, et qui semblait plutôt sympathique ce qui n’empêcha de laisser le virus toujours méfiante.

« Si vous êtes pour ma mère, elle n’est pas là, mais je peux prendre un message si vous voulez ? »

Dire qu’il y avait pas si longtemps, elle l’appelait sa génitrice Jane Crawford….

« Je me présente Jackson Lawrence Gregory Gilbert. Et vous vous êtes Théodora Malaria je présume... »

Il lui sera la main, sans qu’elle lui ai présenté, ce que Théodora laissa faire encore abasourdit par le faite qu’il connaissait son nom, mais elle revenait doucement à elle…

« J'ai lue le nom sur la boite aux lettres . »
*Espèce de pervers !!!*

Se dit la jeune fille estomaqué, elle entreprit de suite de refermer la porte, le plus rapidement possible, vraiment peu rassuré du comportement étrange de l’homme, mais à l’instant où elle aller refermer la porte, le sorcier lui présenta une vielle photographie sorcière, curieuse d’en savoir plus elle s’empêcha de finir son geste.

« Connaissez-vous cette femme ? Patty Crawford. »

Elle ne connaissait pas cette femme, elle ne l’avait jamais vu de sa si courte vie, par contre le nom, elle le connaissait que trop bien, cela ne pouvait être un hasard, Crawford…Le même nom que celui de sa mère, se pourrait-il que cette femme soit son ancêtre ?

Elle était surprise et cela se voyait, mais elle se méfier toujours autant de Jackson, il était plus que louche, pourquoi s’intéressait-il autant à son aïeule ? Elle devait être prudente, très prudente, mais la curiosité était bien trop forte, elle tenta donc d’en savoir plus sans trop se dévoiler, mais la manipulation n’était pas l’une des cartes maitresses de la serdaigle, et elle commença à s’énerver au lieu de rester calme.

«Que lui voulez-vous ? Et surtout pourquoi voulez-vous savoir cela ? Que je sache…Ça ne vous regarde PAS !»

Et voilà que la jeune fille agitait sa baguette vers l’homme, elle aurait pu tirer, il devait le savoir vu son teint blême, mais elle ne le fit pas, pour deux raisons, la première était qu’elle se trouvait à la vue de tous les passants, qui trouvé être tous des moldus, et elle ne voulait pas avoir le Ministère sur le dos.

La deuxième raison était de satisfaire sa curiosité, elle voulait savoir à tout prit savoir ce que l’homme manigançait, ce défaut allait surement un jour la perde, mais elle avait pris sa décision, et elle n’en démordrait pas.

« Entrez. »

Lui ordonna-t-elle sur un ton qui n’autorisait pas un quelconque refus du quadragénaire, elle lui fit signe de la suivre à l’intérieur de la maison, et une fois dans le salon elle lui ordonna cette fois, de s’assoir sur le canapé deux place, à côté du chat dormant paisiblement toujours, la baguette toujours pointait sur l’homme, elle n’était pas de bonne humeur et au moindre faux pas, il était sur de recevoir un maléfice en représailles.

« Déjà que les choses soient bien clair, si vous m’avez mentit ou que si vous tentez quoi que soit… »

L’aigle tendit sa baguette vers l’entrejambe de l’adulte, son visage froid et elle semblait sur d’elle

« …Vous le paierez cher, est-ce clair ? »

Une fois qu’il montra, qu’il coopérait, le virus relâcha la pression, mais avant de commencer, elle avait besoin de quelque chose, ce qu’elle fit savoir à son invité

« Je reviens, ne bougez pas ! »

La serdaigle, monta quatre à quatre les marche de l’escalier, direction la chambre de sa mère, elle savait que sa mère conservé dans sa console, des documents et des photos de sa famille.

Elle revient dix minutes plus tard les bras chargé de paperasse qu’elle posa lourdement sur la table basse, et c’est un peu essoufflé qu’elle s’adressa au sorcier,

«Voila…Nous pouvons reprendre…Pour tout vous dire je ne connais pas très bien ma famille maternelle, tellement si peu que cela m’a causé quelque soucis… »

La jeune fille éclata d’un rire jaune, elle s’en voulait encore, mais elle était le mal, elle n’y pouvait rien, juste limiter les dégâts.

Spoiler:

« Mais passons, sur cet arbre généalogique, vous pouvez voir, qu’il y a deux Patty Crawford, l’une est ma tante, mais votre photo est ancienne, ce n’est donc pas elle n’est-ce pas ? »

Cette question était purement rhétorique, elle n’attendait pas qu’il réponde, que c’était sa tante qu’il recherchait, sinon il serait pas la, se disait la jeune fille.

« Enfin bref, c’est donc mon arrière-grand-mère qui vous intéresse….Alors que voulez-vous savoir ? Je dois avoir plein de papier sur elle, autant faire des recherches approfondis, vous ne croyez pas ? »

Elle était plus calme, beaucoup moins stressée que depuis leur rencontre, pas confiante, mais rassuré cet homme n’était pas méchant, elle le sentait car malgré ses fanfaronnades, Théodora savait bien qu’il aurait pu faire tous ce qui voulait, avant qu’elle puisse lever le petit doigt…

D’ailleurs geste à l’appui, elle commença à fouiller dans la paperasse et ne tarda pas à trouver une enveloppe jauni par le temps, destiné à la femme qu’ils recherchaient.

Citation :

Ma douce,

Si longtemps que je n’ai pu te voir, cela me rend malade, je voudrai te voir plus souvent, mais si lointaine est la distance qui nous sépare, mais sache que je ne t’oublis pas….
Je ne le pourrai pas, tu es inoubliable, si belle, si intelligente, tu dois être une vélane, non tu es mieux.
Je t’aime Patty, je t’aime tant ! Pourquoi donc continues-tu ?je…Déteste ton « travail », je veux t’avoir pour moi, je ne veux pas te partager, je t’aime !
Mais je dois reconnaitre que sans cela je n’aurai jamais pu connaitre ton âme rayonnante et tes lèvres de velours, ta peau velouté et tes cheveux d’or, ô mon amour tu me manque….
Ne voudrai pas tu arrêter pour moi ? Je m’occuperai de toi, je t’entretiendrai, je ne laisserai pas tomber, ai confiance ! Je pourrais même acheter une maison, on pourra se voir plus souvent, mon amour…Si tu veux on en parle, le mois prochain quand je viendrai te voir.

Bien à toi, ton aimé, David Gilbert.

«Vous savez qui c’est ce David, vous ? »

« Je crois bien oui. C'était un ancien oncle ou grand-père. D'après ce que je sais, il n'a jamais été beaucoup apprécié par ma famille mais je n'ai jamais découvert pourquoi... »

Donc cet homme était son ancêtre, louche mais intéressent décidément, elle devait rester sur ses gardes, il en savait plus qu’elle, et n’aimait pas ça, de plus pourquoi tenait il à enquêter sur ces deux personnes avaient eu une liaison amoureuse ?Et pourquoi être venu ici ?Il avait meilleur endroit pour trouver des infos..

« Mais cette Patty...c'était une prostituée non ?Il y en avait beaucoup dans votre famille ...? »

La serdaigle resta muette de consternation, comment pouvait-il lui dire cela avec autant d’aplomb et de flegme ?Elle ne savait quoi lui répondre tellement qu’elle été séché, et ce fut finalement après de longue minute d’un silence pesant que le Virus put placer un mot, elle tenta de rependre contenance mais le cœur n’ était plus

« ….De une, Je n’en sais rien…Et vous n’en savez rien, rien au grand rien, dans cette lettre ne vous permet de l’affirmer avec certitude, a moins que vous ne me cachez des choses...De deux…Insulter encore une fois moi ou ma famille d’être des putes, et je vous met dehors directement, est ce clair ? »

Elle se leva subitement du canapé, visiblement la tête ailleurs, elle fit quelque pas vers la cuisine puis se retournant légèrement vers Jackson elle s’adressa à lui un bien plus amicale que depuis son arrivée de l’homme, mais Théodora restait Théodora, il ne fallait pas s’attendre, ag quelqu’un de sympathique.

« Vu qu’on a pour un certain temps, vous voulez quelque chose à boire, à manger ?Ne vous gênez pas pour fouiller dans les papiers, ils sont la pour ça vous trouverez peut être quelque chose d’intéressent et de un peu plus concret que cette lettre.»

Et la bleue s’en alla dans la cuisine, aller préparer quelque collation et récupérer, ils auraient besoin de force et d’énergie, l’homme probablement apporté des documents à lui enfin elle l’espérait ou sinon ils n’iraient pas bien, ou plutôt elle n’irait pas bien loin mais lui oui, enfin bref elle revenu dans le salon portant dans ses un plateau de victuaille et de boisson, il y avait des sandwiches que la jeune fille avait fait elle-même aux différentes saveurs, des cookies et des biscuits que la serdaigle avait également fait, il dater de quelque jour, la serdaigle pour passer le temps notamment faisait des pâtisseries

« Voilà servez-vous, mais ne salissez pas mes documents ! Enfin bref dites m’en plus sur ce David, vous avez des documents, des lettres ? »

Pensive en sirotant une bierraubeurre la jeune fille questionna l’homme mur

« Pourquoi vous vous intéressé à Patty ? »

« Je m'interessse à cette femme par-ce-qu'il se pourrait bien qu'elle est été...une voleuse professionelle !»

Cette dernière réplique laissa la laissa sans voix, l’homme avait vraiment le don pour la rendre coïte, il n se rendait pas compte à quelle point cette affirmation était incongrue et stupide ? Et surtout ce n’était pas du tout cela qu’il suggérait, à la fillette tout a l’heure, pourquoi changeait il si subitement d’avis ?Bref, il avait des incohérences…

Et pourtant, elle se laissa pendre à son jeu, Jackson eut donc l’honneur de voir un phénomène très rare et que peu de monde avait eu la chance de voir à ce jour…Théodora était joyeuse, ses yeux pétillant d’excitation et de malice, un état qui n’avait put être observé que jusque-là que dans les cuisine de Poudlard, pendant que l’aigle cuisinait de bon petit plat en compagnies des elfes.

« Une Voleuse professionnelle ?!Mais mais…C’est possible ?Je veux dire…Je croyais que cela n’existe que dans les livres…Il y a vraiment des voleurs professionnels alors…Enfin vous en êtes pas sur, qu’elle en est une, n’est-ce pas ?C’est vrai que ce dessin laisse songeur…Si ce David était effectivement épris de Patty, pourquoi lui aurait il fournit un dessin de ce genre ?Ce n’est pas un cadeau qu’on donne à celle qu’on aime mais alors…Elle lui aurait mentit ?Elle la séduit juste récupérer la bague ?»

Elle laissa sa phrase en suspens, ce que cette femme devrait avoir la laissait pensive, pas qu’elle était romantique, loin de la même c’était plus son amie Kessy qui l’était, elle comprenait même les raisons qui pourrait pousser à faire une chose pareil, c’était un moyen comme un autre, pourtant elle n’était pas convaincu, elle sentait qu’il avait autre chose qu’une simple manipulation, elle devait en avoir le cœur net, elle relu donc la lettre…

« Bref, selon la lettre il semblait être au courant de son travail, peut-être qu’elle a tenté de voler la bague et David lui a pris la main dans le sac ?Et par la suite, ils sont tombés amoureux et ça… Je ne sais pas, pour quelle raison...Donc il lui a donné cette fameuse bague…je ne sais pas elle se trouve, elle peut être ici comme perdu ou peut tout aussi bien se trouver chez mon oncle ou ma tante. »

Elle soupira, et se leva pour se dégourdir les jambes, l’excitation était retombé car ils n‘avançaient à rien, cela ne restaient que toujours des suppositions, bref cela ne servait à rien, elle avait aussi la mauvaise impression qu’il lui disait pas tout.

« Et puis…Elle a quoi de spécial cette bague ?Elle a des propriétés magique ou je ne sais quoi ?Parce que pour venir ici chercher un foutu bijoux qui a disparu depuis fort longtemps, il faut le vouloir vraiment.. »

Elle s’ennuyait, si cela n’avançait elle allait le mettre à la porte, et elle pourrait retourner à son bouquin, et ne plus jamais revoir cet homme excentrique et profiter de ses vacances parce que la ellle perdait son temps, si il ne mettait du sien aussi….Bref en passant devant la radio, elle l’alluma pour mettre un de musique, ça l’occupera et en avait rien a faire si l’aimerait pas qu’elle choisirait, elle était chez pardi.
(https://www.youtube.com/watch?feature=player_detailpage&v=eLhz8WELr00#t=21s)

« …Chers auditeurs cet après-midi j’ai sorti rien pour vos oreille, un disque de dernière les fagots, La nuit je mens, de Bashung ! »

La jeune fille se laissa à se déhancher au rythme et la mélodie de la musique, elle aimait cette chanson, elle aimait son double sens, elle se sentait curieusement bien quand elle l’écoutait, dommage qu’elle n’ait pas un pas phonographe, elle pourrait écouter ce qu’elle veut plus souvent et ne pas être dépendant de cette radio.

« Dites Jackson, cette chanson vous parle ? »

aaaaaaaaaaaarg

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