| Le mystère du livre & la recherche d'un maitre des soins. PV | |
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♠ Date de naissance du joueur : 08/05/1996 ♠ Âge du joueur : 28 ♠ Arrivé sur Poudnoir : 09/08/2011 ♠ Parchemins postés : 350 Gabriel Lestrange
| Sujet: Le mystère du livre & la recherche d'un maitre des soins. PV Jeu 3 Mai - 1:43 | |
| L'image était floue. Il y avait un feu, un feu marié à une cheminé en bois massif, au dessus de celle-ci ci trouvait un beau livre, noir, orné de ligne doré, les lignes faisait des fantaisies, elles bougeaient, se croisaient, comme par enchantement. L'envie de s'en emparer était présente, mais il était bien trop fixé au mur. Dans la pièce se trouver deux personnes, l'une plus petite que l'autre.. Beaucoup plus petite que l'autre. Tout deux avaient les cheveux noirs, ils étaient assis dans un canapé, le plus petit sur les genoux du plus grand. Le plus grand venait de finir de compter une histoire au deuxième qui s'avérait être un enfant. L'histoire compté était sensé l'endormir, seulement, la tentative avait était veine, il en voulait une autre, puis encore, les histoires des grands mages le fasciné, elles le transcender, lorsque qu'elles lui étaient compté, ses yeux étaient ronds, ses oreilles attentives, sa respiration en suspend, et son cerveau plein de rêve et d'imagination.. De projet, et d'objectifs.
- Ce mage est un imposteur.. ''L'enchanteur'' fut un bien plus grand savant et combattant que lui.
- Tu as un cerveau formidable maintenant, une intelligence qui ne peut réellement être calculée, tu as déjà absorbé plus de connaissances que la plupart des gens n'en peuvent amasser dans toute une longue vie. Mais tu es. .. boiteux. Tu sais des choses. Tu vois des choses. Mais tu n'as pas encore atteint à la compréhension ou - disons mieux - à la tolérance. Tu les traites d'imposteurs, mais quand donc l'un ou l'autre a-t-il jamais prétendu être parfait ou surhumain ? Ce sont des gens prodigieusement ordinaires eux. Mais pas toi. Tu ne peux te contenter de l'ordinaire. Tu ne peux faire preuve d'imposture en feintant de connaître ce qu'est la vrai sagesse. Ne te contente pas du minimum, ne te contente pas de ce que tu aime, vois plus loin, même si une chose ne t'attire pas spécialement, elle peut être utile. Un jours je ne serais plus là mon fils. Et tu devras te débrouiller seul. Je sais que tu y arriveras, je sais que tu feras du mieux que tu peux. Je t'ai assez observé pour en avoir la certitude. Vois tu se livre en haut ? Suspendu dans les aires qui l'évite.
- Oui.
- Seulement toi pourra le prendre un jours. Parce qu'il est justement pour toi, tu es mon seul héritié. Lorsque tu seras grand, tu peux avoir la certitude que le livre n'aura pas bougé d'un centimètre, il est protégé par un enchantement qui fait que quiconque habitera cette maison, les futurs proprio ne pourront y accédé. Un jours tu viendras récupérer ce qui te revient, et si la personne essaye de t'en empêcher.. Tu feras ce qu'il faut. Car ce livre est un peu comme un guide que je te laisse, un héritage de ton vieux père, et que moi même j'ai hérité du miens, à l'intérieur s'y trouve des notes, depuis plusieurs centaine de générations, nous notons nos plus grandes découverte, ce livre renferme de trèèès très vielles magies.
- Comment ce fait-il que ce livre ai réussi à contenir l'ancre de plusieurs centaine de générations à lui tout seul ?
- La magie est partout mon enfant. Tout est possible, il faut seulement le vouloir, et faire ce qu'il faut pour y arriver. C'est un membre de la famille qui l'a conçu, au temps de la chasse aux sorcières de Salem, une de nos ancêtres y à participé, et elle fut aussi malheureusement attrapé et brûlé. Avant de subir ce châtiment, elle sauvegarda ses connaissances pour sa petite fille dans un livre, et ce livre s'avèra être infini, jusqu'ici en tout cas. Il y'a des magies dont tu ne soupçonne pas une seul secondes l'existence.
- Je ne demande qu'a voir. Puis faire par la suite.
- Faire d'y tu ? Je le savais. Et ce n'est pas pour rien que ce livre est suspendu en attendant que tu grandisses pour pouvoir en hériter. Dans ce livre, certaine chose ne sont pas à prendre à la rigolade, certaine chose pourrait te tuer. Il faut utiliser les connaissances de ce livre avec grande précaution.
Soudain. Les deux disparurent, la cheminée, la pièce, l'appartement, le paysage exterieur. Puis Gabriel ouvrit les yeux. Les mêmes yeux verts émeraudes que ce petit garçon. Ce petit garçon si passionné qui s'avérait en faite être lui. Quelques fois, vous rêvez des choses incroyables, mais d'autre fois, votre cerveau ne créer pas, il restitue. Ce rêve, Gabriel l'avait déjà vécu, en vrai. Il y avait vraiment un livre qui l'attendait, que ce soit sous les décombres d'une maison en ruine, ou encore suspendu au dessus de cette si belle cheminée. Dans tout les cas, c'était aujourd'hui que le jeune garçon à la tête pleine de rêve devenu homme à présent allait réclamer son dû. Ce soir là, il avait créché dans un etap hotel moldu, il n'avait plus pour habitude de dormir chez lui, il y passer pratiquement que les vacances d'été, hors là, c'était les vacances d'hiver. Gabriel aimait vagabonder, là et là. A la recherche d'un pouvoir plus grand, de défis monumental et de grand mage. Dans un style de vie comme le siens, il n'ai pas difficile de retracer le chemin des grands, ou d'aller à la poursuite d'objet magique puissant, ou de relique renfermant un un secret particulier. Lorsqu'il part à la poursuite d'une relique, c'est sur des dires qu'il aurait entendu un peu partout, des rumeurs dans un bar disant ceci ou cela.. Quelques fois elles sont fausses, mais lorsqu'elles sont vrais.. Il s'instruit, puis les revends à des collectionneurs pour des sommes mirobolantes. Gabriel sortit de l’hôtel et reprit la route. En une heure et demi il serait arrivé, mais quand il vit le magicobus arriver.. Il comprit qu'il y serait en trente minutes. La vilaine petite tête rasta s'adressa à Gabriel avait un large sourire laissant ses dents sale sortir de sa bouche.
- Alors jeune homme ? On va ou ?
- Près au lard s'il vous plait. Voilà 20 gallions.
- Le billet de transports c'est seulement 2.
- Je vous offre le reste alors.
L'argent, ce n'était pas ce qu'il lui manquait, la fortune de son père était colossale, mais malgré ça, Gabriel grandit dans un petit appartement. Son père habitait un grand château avant sa naissance, mais lorsqu'il vint au monde, Rabastan déménagea. Il ne voulait pas que son fils grandisse dans le luxe, comme tout ces petits bourges qui ne bouge pas un doigt pour avoir ce qu'il désir, il voulait que Gabriel soit débrouillard, et qu'il ne soit pas accroc à la luxure, il ne voulait pas d'un enfant pourris gâté née avec une cuillère en argent dans la bouche. Il voulait que son fils devienne un grand homme, un grand sorcier, et tout homme logique sait que l'éducation détermine le genre d'homme que deviendra l'enfant plus tard. Flemmard ? Déterminé ? Chochotte ? Presque tout est définie à l'enfance. A présent, Gab' habite dans un grand château, mais sa mentalité diffère de la plus parts des autres Serpentards.
Gabriel monta à bord du magicobus et partit pour s'asseoir au fond. Il posa son derrière, alors que l'homme qui était monté derrière n'était pas encore assis, mais bien debout au milieu du passage, le magicobus démarra à toute vitesse. Le passagé encore debout(ou du moins dans les airs), tapait contre le plafond, le sol, les côtés du bus, c'était assez drôle à voir, jusqu'à qu'un sorcier du bus tende sa baguette et le stabilise, il pu se reprendre et s'asseoir bien sagement, avec des bosses sur la tête suite aux multiples coup reçu.
Enfin, Gabriel arriva à Près-Au-Lard, ont y croiser pas beaucoup de sorcier durant cette périodes. Le froid les faisaient fuir. Une sorcière attira l'attention de Gabriel. Elle était assise sur le côté, les vêtements déchiré à quelques endroit. Elle avait le nez crochu et cassé, la mine dépressive, bouche pulpeuse, lèvre gercé, craquelé. Son regard était presque vide, elle avait un plus fermé que l'autre à cause d'un coquard.. sûrement l’œuvre d'un ivrogne du soir. Son œil présent était vitreux et laissait paraître de la triste et de la fatigue. Elle avait la peau grêlée par le froid, ses cheveux étaient longs, sale et bouclé, on ne reconnaissait même plus la couleurs. Son visage était osseux, voir squelettique, le teint pâle. Son corps était maigre. La pauvre.. Cette pauvre femme était recroquevillé dans son coins les jambes arqués, personne ne venait la voir, elle était tremblante, et semblait être malade à en croire son nez qui coulait, elle reniflait tout les trente secondes. Gabriel entra dans le magasin juste à côté et en sortit avec quelques provisions, il s'approcha de la femme, tout le monde semblait avoir peur d'elle, pourtant elle serait charmante si sa condition lui permettrait.. Dommage. Les gens n'avaient pas peur d'elle, mais de son apparence. On dit souvent que ce sont les personnes pauvres qui ont le plus à donner, et qui ont le plus de valeur humaines.
- Tenez. C'est pour vous. Prenez ça aussi. Dit il en enleva sa robe de sorcier. Vous êtes mal en point, vous devriez venir avec moi, je me rend à un vielle appartement, celui de mon enfance, avec un peu de chance il ne sera pas habité.
La femme accepta sans condition, et se mit à manger sur la route. Elle n'avait pas décroché un mot, lorsqu'il lui avait donné la nourriture et la boisson, elle s'était contenté de hocher la tête en guise de remerciement. Il est vrai qu'on pourrait croire que Gabriel est un garçon ''méchant''. Mais en vérité il est juste en quête de pouvoir. Ce qui le fait quelques fois agir mal. Ou alors quelques fois il s'amuse en torturant ses ennemies, il est un peu sadique, je vous l'accorde, mais bon, on ne peux pas avoir tout les qualités requise pour être un homme parfait, sa générosité rattrape largement ses multiples défauts. Il poussa la porte du vieux bâtiment, et monte les escaliers, tout en aidant la femme en la retenant par la taille.
- Entrez, c'est ici.
Gabriel poussa la porte, sans vraiment se soucier si l’appartement appartenait à quelqu'un. Dans sa tête, il était encore à lui, c'est pour cela que l'idée que le logement ai changé de propriétaire ne lui était même pas venu à l’esprit.. et pourtant. La roue tourne. Ce n'est que lorsqu'il invita la pauvre femme à s'asseoir dans le canapé près de la cheminé qu'il remarqua que le mobilier avait changé, et que ça ne c'était pas fait tout seul. Quelqu'un avait racheté l'appartement. Gabriel se mit en face de la cheminé, afin de contempler le livre encore intacte, il n'osait pas y toucher, après temps d'année. D'après son père, le livre était sensé se détacher du mur des que Gabriel y aurait toucher, pour le moment, il était impossible pour quiconque de l'enlever ou même de l'ouvrir. Il était impatient, mais n’oubliait pas la femme pour autant. Gabriel fit un accio ''chiffon'', et le mouillât au robinet avec de l'eau chaud, il le posa sur le front de la malade qu'il avait installé dans le premier canapé trouvé, il fit ensuite un accio ''draps'' cette fois-ci pour la couvrir et l'installer confortablement au chaud. Enfin, il approcha du livre, et lorsqu'il tendit la main. Une voie l'interpella. Il n'avait pas bien entendu, es-que la personne disait qu'il était impossible de prendre le livre, ou demandait-il simplement ce que Gabriel faisait là, avec cette femme malade dans le canapé.
Dernière édition par Gabriel Lestrange le Mer 2 Jan - 18:40, édité 3 fois |
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♠ Date de naissance du joueur : 15/10/1987 ♠ Âge du joueur : 37 ♠ Arrivé sur Poudnoir : 14/12/2010 ♠ Parchemins postés : 1218 Gordon Weiss
| Sujet: Re: Le mystère du livre & la recherche d'un maitre des soins. PV Ven 4 Mai - 3:46 | |
| Pour une fois, cela n'avait pas été une trop mauvaise journée, en fait, ce fut une journée plutôt intéressante si l'on aime les énigmes médical. Et durant toute l'après midi ce fut un défiler de personnes malades, souffrant de bizarreries magiques toutes plus atroces les unes que les autres, autant dire que Gordon s'amusa beaucoup (l’absorption de certaines plantes avaient aider également, l'expérience avec Seymour lui avait montré, que les dites plantes, étaient assez efficaces pour rendre de bonne humeur, même si ce n'était qu'illusion mais le guérisseur aimait à se dire «je préfère l'illusion au désespoir!»). On ne peut imaginer, à quel point cela est hilarant d'observer de prêt des plais dégoulinantes, des excroissances étranges ou des membres poussant sur le dos d'une personnes, ah, les joies des maléfices ratés, des potions mal dosés, des créatures magiques qui mordent, griffent ou piquent, un festival de monstres auxquels le petit guérisseur avait tendu les bras et soigné, avec une telle passion que cela en était presque devenu inquiétant, la plupart des guérisseurs ne montraient pas un engouement spécial pour le gore, Weiss si, un petit homme tordu.
Ma foi, l'écossais passa donc un bon moment, sauf lorsqu'il dut se reprendre une dose d'herbes magiques, son moral de dépressif alcoolique menaçant de reprendre le dessus et de ça, le guérisseur n'en avait pas, mais pas du tout envi. Oh certes, il ne pouvait pas y échapper pour toujours, mais au moins pour quelques heures, quelques heures de légèreté, était ce trop demander? Eh bien non, après tout, le pauvre barbu avait lui aussi le droit de ce payer une franche rigolade, même en soignant un pauvre homme au corps envahit par des choses rampant sous sa peau, fort heureusement, Gordon avait été seul à ce moment là avec son patient, sinon, aurait il fini enfermer avec les autres dingues de l’hôpital, une sacrée ironie de situation, peut être en aurait il rit de ça aussi. Dans sa folie douce, le sorcier avait saluer son jeune collègue Misha avec un sourire d'illuminer plaquer sur son visage maigre, les yeux énormes, gentil son collègue, Gordon se rappelait avoir passé un moment avec ce charmant jeune homme (et n'avoir jamais été aussi bourré de toute sa vie, grands dieux), il n'avait fait attention si son collègue avait répondu à son salut, replongeant dans ses pensées presque aussitôt, mais ressentit une curieuse pointe de joie à l'idée de l'avoir vu.
Malheureusement, toutes les bonnes choses ont une fin et la journée, malgré que le guérisseur travailla beaucoup, passa assez vite et le soir arriva rapidement. Il ne pouvait décemment pas dormir à Saintes-Mangouste, ni travailler durant toute la nuit (et il avait demander, on avait refuser, dommage n'est ce pas?). Le petit homme se devait donc de rentré chez lui, dans son petit appartement, mais avant passa-il dans un bar histoire de boire quelques verres, commençant toujours la soirée de cette façon là. Pour une fois, il ne pensa pas à sa femme ou à tout autre sujets douloureux mais plutôt aux patients du jour et surtout à certains qui avaient sembler avoir perdu l'esprit, les objets magiques étant parfois très dangereux et buveurs d'âmes. Rares étaient ces objets là, ils n'étaient pas comme les horxuxes, on ne mettaient pas intentionnellement son âme dedans, c'était l'objet en lui même qui s'en emparait, maléfices, magie noir, Gordon ne s'y intéressait pas mais se demanda comment remédier à ce genres de situations et finalement en conclu, au bout du quatrième verre, que ce n'était pas forcement possible en fin de compte.
L'euphorie passa et ce fut un petit homme bien sombre, revenu à son état normal, qui sorti du bar, prenant le chemin de son petit trou perdu. N'aimant pas transplaner, aller savoir pourquoi, le petit homme prit le magicobus, transport plutôt remuant mais le sorcier préférait, lui semblant plus naturel et moins désagréable que transplaner (et il n'avait jamais réussi à parfaitement bien le faire, ayant toujours une peur irraisonnée de perdre un membre). Le transport magique était bondé, Gordon eu alors bien du mal à trouver une place, s'installant au font du bus au final, coincé entre un sorcier à l'allure de troll et une petite sorcière tout grisonnante, Weiss ne se senti pas nécessairement à l'aise mais du faire avec. Ce fut long et pénible, mais toujours moins pire que de transplaner, les clients partant un par un, laissant le guérisseur seul au bout d'un moment, ce qui n'était pas une mauvaise chose. Cela lui laissa alors le loisir tout entier de se plonger dans ses pensées, plus ou moins mélancoliques, souvent incohérentes, des images et des sons, comme des rêves éveiller, jusqu'à ce qu'on lui indique qu'il était arriver à destination.
Son chez lui, le petit homme avait hâte de pouvoir être tranquille, la fatigue prenant désormais le dessus, il se sentait le besoin d'être seul. Entrant dans le vieux bâtiment, l'écossais mit peut de temps à arriver devant la porte de son appartement, cependant, quelque chose n'était pas normal, peut-être était ce parce qu'il s'y trouvait déjà deux personnes, un gamin et une femme. Très vite, le sorcier sorti sa baguette d'une de ses poches de sa tenue de guérisseur et la pointa vers le jeune homme, la femme elle, semblait ne pas être en état de nuire, au contraire même. Qui étaient ils? Que faisaient ils ici? Certainement pas pour voler quelque chose, Weiss ne possédait aucuns objets de valeurs, sauf de vieux grimoires sur la magie de guérisons, des plantes magiques de soins et autres sujets de ce genre là. D'une voix forte, il s'exclama:
«Qui êtes vous? Que faite vous ici? Comment êtes vous entrez??»
La dernière question étant un peut idiote, n'importe qui avec un bon sort pouvait débloquer une serrure et aussi, avait il certainement oublier de fermer à clé en partant le matin même. Mais, ce n'était pas ça le plus important, le plus important était qu'il ce trouvait des étranger chez lui et qu'il n'aimait pas du tout ça. Sourcils froncés et lèvres pincer, Gordon s'approcha des deux personnes, sa baguette toujours en main et pointer vers eux, aux moindres geste suspects, le petit homme était mentalement près à lancer un sort. En tout cas, rien ne semblait avoir bouger, à part ses draps qui se trouvaient désormais autour de la femme, celle-ci donnant l'air d'être effrayer, l'arriver du guérisseur ne l'ayant pas rassurer apparemment. L'adolescent se trouvait devant la cheminé, que cherchait il? A prendre ce livre étrange? Jamais Gordon n'avait réussi lui et avait fini par l'oublier, le voyant comme une bizarie du lieu, un objet fascinant toutefois.
Des bruits ce firent entendre, brisant pendant un instant la tension régnant dans l'air, c'était tout simplement le hibou du guérisseur, entrant d'une partie de chasse. L'animal ce posa gracieusement sur une poutre, observant les trois humains de ses grands yeux yeux jaunes, ululant doucement, comme pour vouloir calmer son maître. Celui ci n'avait toujours pas attaquer, ce n'était pas dans son genre, le barbu n'était pas un homme violent et préférait plutôt avoir des réponses claires, qu'on lui explique le pourquoi du comment, n'étant pas un adepte des méthodes brutales (au contraire de certains mangmorts par exemple). Et ce gosse ne semblait pas menaçant, juste incroyablement intrusif …. |
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♠ Date de naissance du joueur : 08/05/1996 ♠ Âge du joueur : 28 ♠ Arrivé sur Poudnoir : 09/08/2011 ♠ Parchemins postés : 350 Gabriel Lestrange
| Sujet: Re: Le mystère du livre & la recherche d'un maitre des soins. PV Lun 7 Mai - 11:33 | |
| Le cycle d'un projet
Faisant disparaître toute trace de vie, Le brouillard descend ; Puisque la Faucheuse l'a suivie, La mort bondit soudainement
Le feu et le sang colorent le ciel en rouge, Sidérés, plus personne ne bouge ; Alors que le tonnerre martèle, Ici, le le sauveur est Gabriel
Tentant d'apprendre à lutter Contre les créatures indigne, Il chasse dans l'obscurité Comme dans la clarté Toute trace d'impureté
Aidée par un bienveillant sorcier, Il obtiens un pouvoir particulier ; Commençant à le maîtriser, Il devrais bientôt triompher
Détruisant les impures, restaurant l'équilibre, Les sangs les plus purs nettoieront cette terre damnée ; Son esprit se hasarde à croire et continuer.
Lestrange n'avait pas que du talent pour se battre, apprendre, ou manipuler. Il avait un esprit créatif, depuis sa première année, sa plume déposée l'ancre sur les parchemins, pour divers raisons : Copier la leçon, mettre au point des enchantements, écrire des morceaux marquants de sa vie, ou encore écrire des poèmes. Il aime ça, la poésie est un art qu'il faut pratiquer, elle aide à s'évader lorsque quelque chose ne va pas, à faire éclore son imagination, à s'ouvrir aux autres afin de ne plus être à l'écart pour certain. Pour Gabriel, la poésie à une toute autre utilité, elle l'aide à se canaliser, il s’énerve moins, et réfléchie plus, ce qui est bon pour tout. ''Agir moins, réfléchir plus''. Devise d'un grand sorcier. Lestrange à appris une chose au cours de sa vie, quelque soit le camp d'un puissant sorcier, il aura toujours quelque chose à t'apporter. Gabriel se fichait qu'un tel soit contre ou avec le régime, surtout que lui même n'aimait pas l'idée d'être utilisé comme un pantin par le lord, jouer les marionnettes n'était vraiment pas son genre.
Gabriel repensait à cet poésie qu'il avait écrite il y a peu, intitulé le cycle d'un projet. Sa main était tendu vers le livre, et en le voyant, il se réciter la poésie. Très vite, il sortit de ses rêveries et avança sèchement sa main pour s'emparer du bouquin quand la porte fut brutalement ouverte. Gabriel tourna la tête rapidement afin de voir qui rentrer dans son appartement. L'intru sortit sa baguette et pointa l'étudiant à Poudlard. Celui-ci ne bougea pas, il fixa l'homme qui venait de rentrer, cet homme avait l'air épuisé, les escaliers peut êtres ?
«Qui êtes vous? Que faite vous ici? Comment êtes vous entrez??» Gabriel arqua un sourcil.
A en croire toutes ces questions, le propriétaire n'était plus le propriétaire, mais l'intru désormais. Les rôles c'étaient inversé dans sa tête, ce lieu n'était plus son chez lui, mais juste un vague souvenir de son enfance.
« Calmons les esprits. Dit il en marquant une pause. Je ne suis pas ici pour je ne sais quel raison malsaine, ni envers vous, ni envers votre mobilier. Je suis étudiant de dernière année à Poudlard. (A Serpentard), ajouta t-il en chuchotant tellement doucement qu'il rendit ses paroles innodible. Je m'appel Gabriel. »
Lestrange.. Mais il garda son nom pour lui, simple précaution. Il ne connaissait pas encore assez l'homme en question pour lui révéler son identité complète. Certaine personne engageraient un combat rien qu'en entendant ce nom, des personnes pas très futé bien sur. Parce que si Gabriel venait à être tué, l'auteur du crime le sera aussi, à moins de se cacher dans les recoins inconnue du monde sorcier, voir moldu. Gabriel avait marqué une pause, s'éloignant du livre qui lui était resté à sa place. Lestrange alla s'asseoir à la table en bois, lorsqu'il se posa sur une chaise, celle-ci produisit un grincement à en faire saigner les oreilles. Gabriel ferma les yeux et retroussa sa bouche jusqu'à que le bruit ne se fasse plus entendre, enfin, le vacarme prit fin, et la grimace de Lestrange elle aussi.
« Je suis rentré par la porte. Elle était ouverte, alors j'ai cru que cet maison était inhabité, et que j'en étais donc le proprio. Balança t-il en haussant les épaules. Et.. En pensant que c'était chez moi, je comptais héberger cette femme mal en point, elle était dans la rue, dans une position et une situation pire qu'inacceptable. La raison de ma venu est ce livre, en haut de ma.. Heu, pardons, votre cheminé. En revanche, ce livre est à moi, je l'ai reçu de mon père qui lui même l'a reçu du siens etc. C'est un objet familial qui abrite un grand savoir, des siècles de connaissances en tout genre. »
En même temps que Gabriel parlait, il s'était levé et c'était mit à marcher en direction du livre, une fois en face, il le regardait, d'une façon admirative. C'était une des seuls choses qu'il avait reçu de son père, c'était LA seul chose, avec sa bague familial. Il regardait se livre, des étoiles pleins les yeux. Enfin, il posa sa main dessus, et au premier contact, un coup de vent traversa la pièce, les cheveux de Gabriel virevoltaient, alors que lui fermait les yeux, détendu, il le sentait, il sentait la magie de ce livre, le poids du savoir. Sourire aux lèvres, il se mit à ricaner.
« Enfin.. Ca faisait tellement longtemps que j'attendais de pouvoir m'en saisir. Ce livre est intriguant. Mais avant d'y jeter un coup d’œil, j'aimerais me pencher sur cette dame qui n'a pas dit un mot depuis le début. J'ai vu que vous avez des livres de soins chez vous, beaucoup, vous devez sûrement travailler à saint-mangouste vu la proximité, si j'en crois le niveau de vie, j'imagine que vous nettes pas spécialisé en quoi que ce soit, et que vous êtes le genre de médecin qui voit a peu près tout les cas, et doit faire appel à des connaissances différentes à chaque fois. Mon sens de l’observation et mon sens d’interprétation ne me trompent pas en général. Es-que je me suis excuser pour être rentré chez vous.. Par effraction disons ? Si ce n'est pas le cas.. Je suis désolé. »
Gabriel était assis sur la table, le livre était face à lui. Ce n'était pas Gabriel qui regardait le livre, mais le livre qui regardait Gabriel. Il était comme envoûté, c'est alors qu'il pensa à la nécromancie, une forme de magie ancienne et assez sombre qu'il avait pour projet de maîtriser. Je vais vous confier un secret. La magie noir ne sert pas uniquement à faire le mal, on peut en faire bon usage. Soudain, le livre se mit à tourner les pages lui même, le livre semblait être infini, les plages défilé à une allure folle, l'antiquité n'avait pas de fin. Quand les pages arrêtèrent de tourner, à gauche se trouver un cadavre ambulant, et Gabriel comprit que le chapitre portait sur ce à quoi il pensait, la nécromancie. Le livre savait à quel page s'ouvrir, heureusement pour son utilisateur, car chercher un chapitre en particulier dans ses siècles de page est presque impossible.
« Dites moi Mr.Weiss, ne me demandait comme je sais votre nom, il est encadré là-bas, avec votre diplôme des soins. Je voulais vous demandez si vous aviez des connaissances en Nécromancie, imaginons que cela ne vous intéresses, je sais que vous l'avez survolé pendant vos études en médecine, après, j'ignore si vous avez approfondie, mais si vous avez encore vos cours du temps ou vous étiez à l'école de médecine, j'aimerais bien récupérer ces archives si vous ni voyez aucun inconvénient. »
Gabriel se montrait très respectueux avec le nouveau propriétaire du lieu, la femme sur le canapé était entrain de dormir profondément, c'était très certainement la meilleure sieste qu'elle faisait depuis un moment. |
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♠ Date de naissance du joueur : 15/10/1987 ♠ Âge du joueur : 37 ♠ Arrivé sur Poudnoir : 14/12/2010 ♠ Parchemins postés : 1218 Gordon Weiss
| Sujet: Re: Le mystère du livre & la recherche d'un maitre des soins. PV Lun 14 Mai - 4:04 | |
| Sincèrement, Gordon n'avait pas tout enregistré de ce qu'avait dit ce jeune homme, en cause la fatigue, l'alcool, la fatigue surtout et l'envie d'aller s'allonger dans son lit (malheureusement ce n'était guère possible maintenant), quoiqu'il en soit il avait compris l'essentiel: Ce gamin avait un nom, Gabriel, était à Poudlard et fut dans un passé plus ou moins lointain le propriétaire des lieux, c'était logique, sinon l'étrange livre ne lui appartiendrait pas. En tout cas, Gordon compris également assez rapidement que cet adolescent ne voulait pas de mal et en fait, cela l'arrangeait grandement, le petit homme ne ce serait pas vu ce battre, d'une part parce qu'il n'était vraiment pas fait pour les combats et d'autre part, eh bien, mince il était fatiguer, avait eu une longue journée de travail et aspirait qu'à boire un peut (encore) et dormir bon sang.
Cependant, maintenant qu'ils venaient de faire connaissance, enfin, qu'il savait qui était Gabriel, il ne pouvait guère le mettre dehors, parce que le plus jeune pourrait mal le prendre et la femme était visiblement blesser, mal au point, Weiss n'était pas un monstre, juste un type pas très sociable. Ainsi, rangea-t-il sa baguette dans l'une de nombreuses poches de sa robe puis, ce mit en quête de boire quelque chose de fort histoire de ce remettre les idées en place, avant de faire quoi que se soit d'autres. La nécromancie hein? Le guérisseur ne c'était jamais intéresser à cette branche de la magie, un jour avait il frôler l'idée de s'y lancer afin de faire revenir sa femme puis avait abandonner ou oublier, car, parfois, il en oubliait des choses, surtout les pensées qui venaient pendant ses beuveries. Peut importe, le gamin, Gabriel, voulait des renseignement là dessus, avec ses anciens cours, oh, cela ne devait pas être difficile à trouver mais avant …
Ah, une bonne bouteille de whisky, l'écossais l'ouvrit et en bu une gorgée, n'ayant encore décrocher un mot depuis que le jeune homme lui avait parler, il devait paraître étrange ou très rustre, l'un dans l'autre, ce n'était pas tout à fait faut. S'envoyant une deuxième gorgée, Gordon posa ensuite la bouteille sur la table puis regarda le plus jeune dans les yeux, ou un peut à coté, eh bien, il n'avait pas un regard très fixe, c'était le moins qu'on puise dise. Enfin, il dénia ouvrir la bouche et grommela:
«Huuummm, non, je me suis jamais intéresser à la nécromancie, je suis guérisseur tu sais …. je vois souvent la mort, très souvent et cela ne donne pas très envi d'approfondir le sujet …. Quoique pour certaines choses, causes, peut-être, qui ne violeraient pas tant que ça les lois de la nature qui disent que toutes créatures sont mortelles … oui, c'est possible, mais … Eh bien je pense en tout cas pouvoir trouver ce que tu cherche»
Sans plus attendre, il lança un «accio parchemin de cours», ayant pas le courage de chercher par lui même, ils étaient quelques parts dans l'appartement, vraisemblablement dans sa chambre ou ailleurs , rangé sur des étagères ou dans un coffre. Avec grande satisfaction, Gordon les vit arriver et foncer sur lui, le petit homme attrapa les parchemins, soigneusement roulé, encore en état quoique légèrement abîmer par le temps. Le sorcier était il devenu soudainement serviable? Non, juste méfiant, des gens dangereux il en avait déjà rencontré, des gens imprévisible aussi et donc avait prit l'habitude de ne pas chercher les conflits, Gordon un gars pas trop courageux (ou aillant trop de soucis en tête pour jouer les durs, ça il le laissait aux autres idiots).
Posant le tout sur la table, le guérisseur s'approcha ensuite de la femme pour l’examiner et voir ce qu'il pouvait faire pour elle. Oh certes, cela ne devait pas être très intéressant comme énigme médical mais, avait il eu sa dose durant la journée, maintenant, pouvait il guérir en toute simplicité. Il s’essaya à coté d'elle, ne pouvant s’empêcher de pousser un soupir et de fermer les yeux un instant, il n'était pas si vieux mais tellement attaquer, autant physiquement que psychologiquement, comme un poids qu'il porterait constamment sur les épaules. Suite à un «accio bouteille», le sorcier déclara:
«Je ne sais plus exactement quel parchemin traite de la nécromancie mais, tu peut fouillé, ce n'est pas comme si j'avais quelque chose à cacher là dedans»
Cela avait été dit avec plus ou moins de brusquerie autant dans le ton que dans la voix, Gabriel c'était montré aimable et courtois, Gordon était trop naz pour le faire et puis, il pouvait être largement le père de cet adolescent (excuse bidon il est vrai). Troisième gorgée, la pièce commença à tourner, mais le petit homme l'ignora et ce pencha sur la femme, relevant avec grande délicatesse la couverture qui la couvrait. Weiss n'était pas très agréable en parole ou en comportement mais était toujours très doux, très délicat quand il s'agissait de toucher un patient, de vérifier ses blessures ou quelque chose de ce genre là. Ce n'était pas par gentillesse, juste par soucie de professionnalisme, faire souffrir les gens inutilement ce n'était pas vraiment son tripe.
Elles n'étaient que de banales blessures, rien de bien méchant à soigner, en réalité, Gordon ne mit que peut de temps à réfléchir aux sortilèges qu'il devait employer. Ressortant sa baguette, il la pointa sur la patiente et sans mot dire, lança les sortilèges qui formèrent comme d'habitudes une traîner de couleur plutôt argentés, c'était joli à voir et c'était l'une des rares choses qui pouvaient faire sourie notre cher guérisseur. Quelques petites minutes passèrent et enfin, la femme pouvait continuer à dormir tranquillement, quoiqu'en fait, elle ne c'était même pas réveiller de toute l'opération, en voilà une autre qui avait besoin de sommeil, avec autant de délicatesse, Gordon remit la couverture en place. Ce relevant, le sorcier senti son corps protester, or, bien vite il se rassit sur une chaise en face du jeune homme, se sentant désormais perturber par le fait que son appartement était pleins de vies (oui deux personnes en plus, c'était beaucoup pour lui). Ne sachant réellement quoi dire ou faire, il murmura doucement:
«La femme va mieux, mais une nuit sur le canapé ne lui fera pas de mal …. Humm bien, elle est discrète et pas gênante je vais la laisser tranquille …............ Tu as trouver ce que tu voulais? Tu veux un thé?»
L'écossais pouvait paraître très familier mais c'était seulement parce qu'il … Parce qu'il avait envie et avait d'autres chats à fouetter que de se soucier des convenances et puis lui même avait envie d'un thé alors autant le partager avec ce Gabriel. Sans attendre de réponse ou non, le petit homme s’affaira à la préparation du thé, aimant le faire, cela lui rappelant la préparation des potions, chose qui aimait beaucoup ... Mélanges des différentes herbes, tout un art! |
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♠ Date de naissance du joueur : 08/05/1996 ♠ Âge du joueur : 28 ♠ Arrivé sur Poudnoir : 09/08/2011 ♠ Parchemins postés : 350 Gabriel Lestrange
| Sujet: Re: Le mystère du livre & la recherche d'un maitre des soins. PV Sam 9 Juin - 1:58 | |
| Gabriel circulait dans le salon, observant la pièce du sol au plafond. Il avait son livre à la main, son héritage. Ce livre était sans doute la plus belle chose qu'on aurait pu lui offrir, avoir un objet aussi vieux, avec la marque écrite de chacun de ses ancêtres. Gabriel se sentait accompagné à présent, il se sentait, soutenue, il se disait que son père aussi y avait laissé une marque, et qu'à présent, il serait en quelque sorte toujours avec lui. Gabriel avait callé un marque page au chapitre de la nécromancie, même si cela semblait inutile puisqu'il le livre s'ouvrait selon nos désir. Lestrange se remit assis sur la table. Gordon Weiss répondit après avoir bu sa gorgée de Whisky. Ce qui fit le fit légèrement sourire.
«Huuummm, non, je me suis jamais intéresser à la nécromancie, je suis guérisseur tu sais …. je vois souvent la mort, très souvent et cela ne donne pas très envi d'approfondir le sujet …. Quoique pour certaines choses, causes, peut-être, qui ne violeraient pas tant que ça les lois de la nature qui disent que toutes créatures sont mortelles … oui, c'est possible, mais … Eh bien je pense en tout cas pouvoir trouver ce que tu cherche»
Quoique pour certaines choses, causes, peut-être. Il y avait une ouverture. Cet homme avait une raison de s'y interesser, cette raison était peut être mince, mais il fallait essayer de s'y engoufrer. Gabriel avait le don de lire entre les lignes, et ce qu'il avait réussi à déchifrer chez cet homme était énorme. Il lisait en Gordon comme dans un livre ouvert. Il n'avait qu'a observer. Observer la disposition de l'appart, aucun signe de féminité, forte odeur d'alcool sur lui, signe de refoulement de sentiment du à une souffrance pas encore cicatrisé, attentionné, qualitée que beaucoup de femme recherche, et enfin, peu éxpréssif, c'est comme cela que beaucoup d'homme ou femme deviennent après avoir perdu un être ou un objet qui leurs est chers. Gabriel penchait plus pour une femme, parce que la tristesse de perdre un objet est beaucoup moins profonde que la perte du femme, le ravin qui sépare les deux est très très large.
- Vous dites ne pas vous y être intéresser. Mais ne pensait vous pas que ca pourrait vous être utile ?.. Moi, quand je serais bien maîtriser la nécromancie, je ramènerais mon père à la vie, j'inventerais le processus de résurrection. Peut être que ce sera le projet de toute une vie.. Mais je pars, et je partirais toujours du principe que rien, n'est impossible. Il n'y à personne que vous aimeriez ramener à la vie Mr. Weiss ?
Gabriel regardait Gordon d'en les yeux. Il le remercia pour le thé, puis remplit la tasse de Whisky après l'avoir vidé, puis remit la bouteille au milieu de la tasse. Gabriel observait le nouveau locataire des lieux qui ne réagissait pas. Il fallait provoquer une réaction, seulement là, Lestrange pourrait savoir si son hypothèse était la bonne. Il sortit sa baguette, et mit le feu au whisky se trouvant dans la tasse, puis lança un sortilège de gèle flemme pour que le feu soit inoffensif. Gabriel ouvrit sa main et déplaça le feu au creux de celle ci, il passa ensuite sa baguette doucement au dessus des flammes dansantes, et une silhouette de femme en feu fit son apparition. Lestrange porta sa main à sa bouche, et souffla légèrement ; la silhouette de femme vola jusqu'à Gordon. Certain signe ne trompe pas.
Une femme par exemple ? Dit il en levant un sourcil.
Il fouillât ensuite dans les cours de l'ancien étudiant en médecine avant de reprendre la parole.
- Exercez vous avec moi ! A deux, nous pourrons avancer. Vous avez l’expérience, et moi l'avenir. Je ne voudrais pas vous faire la moral, mais n'est-il pas mieux de donner un sens à sa vie, que de faire tout les jours la même chose, et rentrer alcoolisé chez sois tout les soirs. Je vais vous dire une chose. Quand on perd une personne qui nous est chère, tout ne devient que poussière, tout perd son sens, même la vie, elle ne vaut plus la peine d'être vécu, hélas, elle continue. Ensemble, nous pourrions réussir à ramener les êtres que nous aimons.
Gabriel regardait fixement Gordon. |
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♠ Date de naissance du joueur : 22/01/1990 ♠ Âge du joueur : 34 ♠ Arrivé sur Poudnoir : 09/07/2007 ♠ Parchemins postés : 5411 Admin
| Sujet: Re: Le mystère du livre & la recherche d'un maitre des soins. PV Sam 9 Juin - 1:58 | |
| Le membre ' Gabriel Lestrange' a effectué l'action suivante : Lancer de dés'Elève Connaisseur' : Résultat : |
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♠ Date de naissance du joueur : 15/10/1987 ♠ Âge du joueur : 37 ♠ Arrivé sur Poudnoir : 14/12/2010 ♠ Parchemins postés : 1218 Gordon Weiss
| Sujet: Re: Le mystère du livre & la recherche d'un maitre des soins. PV Mer 13 Juin - 3:21 | |
| Gordon devait avouer que ce jeune homme n'y allait pas par quatre chemins, quelqu'un de direct, ce qui n'était pas une mauvaise chose au fond. Le petit homme avait voulu se saisir de la silhouette féminine, la prendre au creux de ses mains et la protéger et la chérir, comme si elle était une vraie femme, comme si elle était une représentation miniature de sa femme morte. Malheureusement, la flamme avait disparue, se désintégrant rapidement, si rapidement que le guérisseur était presque prêt à croire que cela n'avait été qu'une illusion; cependant, ce n'était pas le cas, l'adolescent en face de lui avait bien soufflé cette silhouette et attendait de lui de se lancer corps et âme dans la nécromancie. Quelque peut perturber, le sorcier s'envoya une bonne moitié de sa bouteille (ah tient, il ne se rappelait pourtant pas l'avoir de nouveau prit dans sa main, curieux ça) avant de répondre, sa voix érailler:
«Putain, toi au moins tu es direct et bon sang, c'est marqué sur mon front que je suis veuf? Tu n'as pas tord mais tu rêve un peu non? Ha, redonner vie aux gens qu'on aime, un joli rêve mon petit ... Ouai joli joli rêve, qui ne se réalisera peut-être pas ou imagine le bordel, on fait revenir ton père ou ma femme, ou les deux, imagine qu'ils reviennent sous la forme de morts-vivants dangereux? Tu aurais les tripes de le tuer, de voir ton père mourir une deuxième fois? Humm? Moi-même ne sais même pas si je pourrais, pourtant j'ai déjà fait des choses assez dures, mais ça ... mais ça ........................»
Incapable d'aller jusqu'au bout, le petit homme posa la bouteille et plongea son visage dans ses mains, il aurait bien aimé garder la petite silhouette, oh, il l'aurait conservé dans un petit bocal de verre et l'aurait observé des heures durant, aurait peut-être même fini par lui parler. Finalement, il releva la tête, plongeant ses yeux noirs dans ceux verts du jeune homme en face, jeune homme qui venait de lui faire la proposition la plus délirante qu'on ne lui avait jamais fait depuis un moment, cela éveilla quelque chose en lui, une envie folle de reprendre les expériences, comme avec Nikolaï, pour un but très précis même si ce but semblait encore plus obscur et insaisissable pour le moment. Sans dire quoi que ce soit d'autre, Gordon se leva et parti dans la pièce à côté. Endroit intéressant, qui aux premiers abords n'apportait rien en particulier mais qui possédait d'amusantes cachettes.
Le guérisseur cachait parfois des choses, conservait des choses, prise à l'hôpital, des choses qu'il n'avait aucune envie que quelqu'un d'autre trouve (bien que jusqu'à maintenant, il ne se serait douté une seule fois qu'une personne puisse entrer dans son antre ...) bref, des choses s'y trouvaient et au fil du temps, le sorcier lui-même avait oublié ce qui pouvait bien s'y trouver, sauf pour une seule chose. Il revint dans la pièce principale, le corps d'une femme morte flottant devant lui, ce n'était la sienne (heureusement), juste une patiente de Sainte Mangouste, il l'avait ramené chez lui aux cours des expériences avec Asinofs, il ne ce rappelait plus trop bien pourquoi au juste. Quoi qu'il en soit, c'était un cobaye parfait pour commencer, ne voulant pas risquer de le faire à l'hôpital et puis il avait la flemme de bouger de son appartement (en réalité, il se sentait toujours aussi fatiguer, peut-être que manger quelque chose aiderait).
Déposant délicatement le corps par terre, Weiss jeta un coup d'oeil sur la femme toujours endormie, qui dormait vraiment profondément c'était remarquable et pensa avec sagesse qu'elle ne serait pas très à l'aise de se réveiller dans un appartement inconnu avec deux hommes inconnus en trains de faire des choses pas très nette au cadavre d'une femme qui présentait d'horribles marques dû à la maladie. Non, vraiment, elle n'aimerait pas du tout la situation et Gordon pouvait fort bien le comprendre, ce ne serait pas un réveil agréable et ce serait fatiguant de devoir expliquer de long en large et en travers que non, ils n'étaient pas deux fous qui s'amusaient à tuer des femmes (au contraire même). Alors, tout doucement il souleva la femme avec un sortilège et l'emmena dans sa propre chambre, eh bien, ce n'était qu'une chambre avec lit et quelques photos, elle dormirait avec le chat et serait bien, revenant à nouveau, le petit homme déclara:
«Bien, on peut commencer les festivités!! …. Que dit ton livre?»
Il s'essaya par terre, aux côtés du cadavre, l'observant attentivement, pourquoi l'avait il ramener chez lui? En tout cas, le corps était en bon état, grâce aux sorts, un bon sujet pour les débutants en nécromancie n'est-ce pas? Le livre, de l'avis de Gordon, devait être plus complet à ce sujet que ses propres cours, après tout, il n'avait fait que survoler la nécromancie et c'était plus intéressé aux autres cours plus spécifiques au métier de guérisseur. Néanmoins, cela ne l'empêcha pas de regarder dedans, déjà à fond alors que quelques minutes auparavant il n'avait été sûr de vouloir le faire. En de fin de compte, il fallait peu pour le convaincre, juste faire naître un nouvel espoir en lui, une illusion peut-être. Il relut ses cours avec beaucoup d'attention, mieux valait être véritablement préparé avant de ce lancer dans la pratique pure, une façon de faire plus sage, plus prudente, la nécromancie n'étant pas une branche de la magie facile à aborder ... |
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